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Vivre dans le ressentiment est une source considérable de stress et d'anxiété. Pour faire bon usage de son intelligence émotionnelle et surtout épargner sa santé, il faut donc apprendre à pardonner !
Sans rancune ? Ce serait préférable quand on sait ce que provoque la rancune à l'intérieur de notre corps...
D'un seul coup le rythme cardiaque s'emballe et provoque une poussée brutale de la pression artérielle. Autant de chocs qui à chaque fois maltraitent l'organisme et bien sûr la tête.
La rancune est donc génératrice de Stress et, en plus, la pseudo satisfaction morale qu'elle apporte à celui qui l'entretient est vaine.
Des chercheurs américains et français se sont penchés sur les bienfaits psychologiques du pardon, en développant des thérapies pour soigner des traumatismes sévères comme l'inceste ou le meurtre d’un proche peuvent en susciter.
En apprenant aux victimes à pardonner, celles-ci verraient diminuer l'anxiété qui les hante de façon notoire. Le plus souvent, les victimes sombrent dans un cycle dépressif car elles sont simplement désemparées après ce qu'elles ont dû subir. L'acte de pardon arrive comme la première pièce apportée à leur reconstruction personnelle. Ces recherches ont pu déboucher sur une théorie de l'acte du pardon en 4 paliers successifs.
première étape du pardon consiste à accepter de réexaminer la situation, par exemple une fâcherie avec un ami. Ce retour en arrière permet, avec le recul, de mieux analyser le fond des choses.
Dans un second temps, on se prépare à envisager la possibilité du pardon.
Troisième étape, on essaie d’éprouver une certaine empathie à l'égard du fautif ou du coupable. De la position de victime, on passe à celle d’acteur/spectateur qui consiste à ne plus voir les choses uniquement comme une victime.
Lorsqu’on y parvient, c’est la quatrième étape, l'instant de la libération, le pardon va permettre à la victime de ne plus se ronger les sangs.
- AP
Le pardon n'est pas l'oubli et il n'abroge pas la gravité d'un comportement. Pas question de faire comme si rien ne s'était passé. Il s'agit comme l'entend le sens étymologique du mot "pardon", de donner sa grâce. Ce que l'on peut ou pas pardonner relève de la conscience de chacun. Il est en revanche avéré que pardonner l'offense fait du bien à l’individu sur le plan physique et mental. Savoir pardonner est un acte qui suppose une certaine noblesse d'esprit.
Sans rancune ? Ce serait préférable quand on sait ce que provoque la rancune à l'intérieur de notre corps...
D'un seul coup le rythme cardiaque s'emballe et provoque une poussée brutale de la pression artérielle. Autant de chocs qui à chaque fois maltraitent l'organisme et bien sûr la tête.
La rancune est donc génératrice de Stress et, en plus, la pseudo satisfaction morale qu'elle apporte à celui qui l'entretient est vaine.
Des chercheurs américains et français se sont penchés sur les bienfaits psychologiques du pardon, en développant des thérapies pour soigner des traumatismes sévères comme l'inceste ou le meurtre d’un proche peuvent en susciter.
En apprenant aux victimes à pardonner, celles-ci verraient diminuer l'anxiété qui les hante de façon notoire. Le plus souvent, les victimes sombrent dans un cycle dépressif car elles sont simplement désemparées après ce qu'elles ont dû subir. L'acte de pardon arrive comme la première pièce apportée à leur reconstruction personnelle. Ces recherches ont pu déboucher sur une théorie de l'acte du pardon en 4 paliers successifs.
première étape du pardon consiste à accepter de réexaminer la situation, par exemple une fâcherie avec un ami. Ce retour en arrière permet, avec le recul, de mieux analyser le fond des choses.
Dans un second temps, on se prépare à envisager la possibilité du pardon.
Troisième étape, on essaie d’éprouver une certaine empathie à l'égard du fautif ou du coupable. De la position de victime, on passe à celle d’acteur/spectateur qui consiste à ne plus voir les choses uniquement comme une victime.
Lorsqu’on y parvient, c’est la quatrième étape, l'instant de la libération, le pardon va permettre à la victime de ne plus se ronger les sangs.
- AP
Le pardon n'est pas l'oubli et il n'abroge pas la gravité d'un comportement. Pas question de faire comme si rien ne s'était passé. Il s'agit comme l'entend le sens étymologique du mot "pardon", de donner sa grâce. Ce que l'on peut ou pas pardonner relève de la conscience de chacun. Il est en revanche avéré que pardonner l'offense fait du bien à l’individu sur le plan physique et mental. Savoir pardonner est un acte qui suppose une certaine noblesse d'esprit.
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