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Un repenti assurait la liaison entre eux et Al Qaïda
Le tribunal criminel près la cour d’Alger ouvre aujourd’hui le dossier des compagnons d’Abdelkader Benhadj, fils du no2 de l’ex-Front islamique du salut, qui appartiennent à l’ex-Groupe Salafiste pour la prédication et le combat. Deux d’entre-eux vont répondre de l’accusation de terrorisme, dont l’un est un repris de justice.
Le juge du tribunal criminel va interroger les deux jeunes Adel Bouaroura et Fateh Bahlouli, au sujet de trois accusations concernant leur relation avec le réseau de recrutement de personnes au sein du groupe Salafiste (actuel Al Qaïda au Maghreb islamique), les accusations sont : appartenance à un groupe terroriste armé, non-dénonciation de groupe terroriste armé et apologie d’actes terroristes.
Selon l’arrêt de renvoi du dossier, de la chambre d’accusation au tribunal criminel, les faits remontent au mois de Ramadhan 2006, date des rencontres répétées dans le quartier de Kouba, qui ont réuni les deux accusés avec plusieurs jeunes à la mosquée El Wafa Bi l’Ahd, parmi eux Abdelkahar Benhadj, fils du vis-président du FIS dissous, Ali Benhadj, ainsi que quatre personnes, toutes originaires des environs d’Alger. La décision de renvoi les désigne sous le terme d’ « accusés en fuite ».
Il a été mentionné, dans le document judiciaire, que les réunions tournaient autour du « devoir du djihad et sa légitimité en Algérie », de plus, un terroriste qui s’est rendu à la fin 2006 pour bénéficier des mesures de la réconciliation, et répondant au nom de Mohamed Kechad, assurait la liaison entre ces jeunes et les « émirs » du groupe Salafiste dans la deuxième région (est de la capitale).
Le tribunal criminel près la cour d’Alger ouvre aujourd’hui le dossier des compagnons d’Abdelkader Benhadj, fils du no2 de l’ex-Front islamique du salut, qui appartiennent à l’ex-Groupe Salafiste pour la prédication et le combat. Deux d’entre-eux vont répondre de l’accusation de terrorisme, dont l’un est un repris de justice.
Le juge du tribunal criminel va interroger les deux jeunes Adel Bouaroura et Fateh Bahlouli, au sujet de trois accusations concernant leur relation avec le réseau de recrutement de personnes au sein du groupe Salafiste (actuel Al Qaïda au Maghreb islamique), les accusations sont : appartenance à un groupe terroriste armé, non-dénonciation de groupe terroriste armé et apologie d’actes terroristes.
Selon l’arrêt de renvoi du dossier, de la chambre d’accusation au tribunal criminel, les faits remontent au mois de Ramadhan 2006, date des rencontres répétées dans le quartier de Kouba, qui ont réuni les deux accusés avec plusieurs jeunes à la mosquée El Wafa Bi l’Ahd, parmi eux Abdelkahar Benhadj, fils du vis-président du FIS dissous, Ali Benhadj, ainsi que quatre personnes, toutes originaires des environs d’Alger. La décision de renvoi les désigne sous le terme d’ « accusés en fuite ».
Il a été mentionné, dans le document judiciaire, que les réunions tournaient autour du « devoir du djihad et sa légitimité en Algérie », de plus, un terroriste qui s’est rendu à la fin 2006 pour bénéficier des mesures de la réconciliation, et répondant au nom de Mohamed Kechad, assurait la liaison entre ces jeunes et les « émirs » du groupe Salafiste dans la deuxième région (est de la capitale).