Après l'assassinat, le 12 février, du cerveau du Hezbollah libanais Imad Moughniyeh par l'explosion d'une voiture piégée à Damas, le Hezbollah libanais a immédiatement accusé Israël d'avoir commandité et exécuté le meurtre.
Dix jours plus tard, le mouvement chiite semble moins catégorique dans ses affirmations. La veuve de Moughnieh, d'origine iranienne, s'est empressée, dès son retour à Téhéran, de déclarer à l'agence iranienne Pars : "Des traîtres ont facilité le meurtre de mon mari. Le refus de Damas que des enquêteurs iraniens participent à l'enquête sur l'attentat est une preuve flagrante de l'implication du régime syrien dans la meurtre d'Imad."
Courrier international.
Dix jours plus tard, le mouvement chiite semble moins catégorique dans ses affirmations. La veuve de Moughnieh, d'origine iranienne, s'est empressée, dès son retour à Téhéran, de déclarer à l'agence iranienne Pars : "Des traîtres ont facilité le meurtre de mon mari. Le refus de Damas que des enquêteurs iraniens participent à l'enquête sur l'attentat est une preuve flagrante de l'implication du régime syrien dans la meurtre d'Imad."
Courrier international.