Boubekeur Khaldi, secrétaire général du département de l’éducation nationale, affirme que d'ici 2 ans, la réussite au BEF sera l'unique condition pour s'inscrire dans un lycée algérien.
Certes, les arguments qu'il avance sont louables, mais que deviendront les 60% de collégiens qui n'auront pas réussi au BEF (taux de réussite de 41,73% en 2005)? Les collèges auront-ils les moyens de les accueillir pour une deuxième chance ?
Même si relever le niveau est la raison d'être de cette mesure, je pense que cette mesure servira aussi à envoyer plus de jeunes dans la rue, déjà saturée.
Comme le baccalauréat pour les élèves de terminale, le brevet de l’enseignement fondamental sera à l’avenir le seul examen sur la base duquel sera évalué le collégien pour son accès au lycée.
À partir de la prochaine année scolaire, au plus tard la suivante, les notes obtenues par les candidats au BEF, dans le cadre du contrôle continu ne compteront plus pour leur admission au secondaire.
Cette mesure révélée hier par Boubekeur Khaldi, secrétaire général du département de l’éducation nationale au cours d’une conférence de presse sur les résultats de la session 2005, tenue au siège du ministère, est justifiée par le souci de la tutelle à valoriser davantage le brevet. “Ce sera le seul examen qui déterminera le passage de l’élève”, a soutenu le collaborateur de Boubekeur Benbouzid. “C’est un peu comme le bac”, a-t-il martelé devant les journalistes.
Suite : http://www.liberte-***********/edit.php?id=473
À partir de la prochaine année scolaire, au plus tard la suivante, les notes obtenues par les candidats au BEF, dans le cadre du contrôle continu ne compteront plus pour leur admission au secondaire.
Cette mesure révélée hier par Boubekeur Khaldi, secrétaire général du département de l’éducation nationale au cours d’une conférence de presse sur les résultats de la session 2005, tenue au siège du ministère, est justifiée par le souci de la tutelle à valoriser davantage le brevet. “Ce sera le seul examen qui déterminera le passage de l’élève”, a soutenu le collaborateur de Boubekeur Benbouzid. “C’est un peu comme le bac”, a-t-il martelé devant les journalistes.
Suite : http://www.liberte-***********/edit.php?id=473
Même si relever le niveau est la raison d'être de cette mesure, je pense que cette mesure servira aussi à envoyer plus de jeunes dans la rue, déjà saturée.
Commentaire