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Village touristique d'excellence de Emiral
Le rêve grandeur maquette
Des projets similaires sont en préparation au Club des Pins et à Zeralda. Une mission de prospection est envisagée dans le Sud algérien, à Timimoun et Djanet.
Le groupe émirati Emiral commence à concrétiser son premier projet en Algérie. Il s'agit d'un village de tourisme d'excellence appelé Forum El Djazaïr et constitué de six axes : un hôtel 5 étoiles de 10 étages avec tous les services y afférents, un centre commercial moderne avec une surface horizontale de 7000 m2 (R+1) et une surface bâtie de 34 000 m2, un centre d'affaires et une polyclinique ultramoderne, des bureaux de diverses superficies, des salles de réunion équipées répondant aux exigences professionnelles qui offriront un climat de travail propice aux hommes d'affaires, aux cadres et aux employés. C'est aussi une adresse d'excellence pour les sociétés aussi bien locales qu'étrangères. Il y a aussi des appartements dont certains se distinguent par leur localisation privilégiée donnant directement sur la mer et une marina qui offre à ses hôtes ainsi qu'aux plaisanciers un lieu de détente et de pratique des diverses activités nautiques. Mustapha Kojok, président du conseil d'administration d'Emiral, a bien voulu nous recevoir hier dans son bureau pour nous donner en exclusivité les détails de ce projet. Selon une première évaluation, le coût prévisionnel avoisine les 41 milliards DA et la durée des travaux est estimée à trois ans à partir du début effectif des travaux après l'obtention des autorisations nécessaires des autorités. « Nous pouvons vous assurer qu'on respectera les mêmes formes, caractéristiques et standards annoncés dans les encarts publicitaires. Nous voulons débuter ce premier investissement en Algérie en misant sur la qualité et un nouveau style car nous avons remarqué que les Algériens aiment le beau et l'excellence. » Mais au fait qui est Emiral ? Il s'agit, selon notre interlocuteur, « d'une société émiratie composée de personne physique et morale de droit algérien ».
Le rush des premiers postulants
L'annonce parue dans la presse de l'ouverture des préinscriptions pour donner la priorité de l'achat des appartements aux premiers postulants a attiré beaucoup de monde à Fransabank El Djazaïr, agence Hydra, de Sidi Yahia. Nous l'avons constaté sur place dès le 2 mars où plusieurs personnes se sont présentées pour retirer les formulaires ou avoir plus d'informations sur le projet. Dans une étape ultérieure, seront ouvertes les préinscriptions concernant les bureaux et les locaux commerciaux. La priorité dans l'acquisition d'appartements sera donnée aux premiers inscrits dans la limite des disponibilités. Mustapha Kojok tient à nous donner des précisions : « En vérité, cette annonce avait pour but d'obtenir des données statistiques et n'avait pas de but commercial. On devait absolument collecter des statistiques sur le marché algérien, avoir une idée sur les besoins du citoyen et de la famille algérienne, ses préférences, ses goûts et ses tendances quant au choix de son lieu d'habitation. » Cette opération a pu donner un éclairage certain. « Après deux jours de préinscription, on a une meilleure lisibilité. On devra apporter quelques aménagements sur la superficie et la répartition : on a su que 70% des demandes ont tendance à vouloir une superficie des appartements entre 150 et 160 m2. Il y a une forte demande pour les 3 pièces avec une salle de séjour. La femme algérienne veut une grande cuisine. » Il a été demandé aux postulants d'ouvrir un compte avec un montant d'au moins 3 millions DA dans le but « d'être sûr du sérieux et de l'engagement des gens, mais nous n'avons exigé de payer aucune somme à l'entreprise. Au regard de la forte demande en logements, si nous avons laissé cette opération ouverte, nous aurions reçu des milliers de demandes et nous n'aurons pas pu affiner notre travail de recherche de statistiques et de connaissance de la demande ». Quant au prix de vente, il nous assure qu'il sera « raisonnable et très près des prix de Hydra, Ben Aknoun et Staouéli ».
Investissements touristiques : le nouveau souffle
Emiral compte multiplier les projets : ils sont prévus à Zéralda, Club des pins et les dossiers sont en préparation pour les soumettre au conseil national de l'investissement pour qu'il donne son accord. Le Sud algérien est aussi à prospecter. « La semaine prochaine, nous allons visiter Djanet et Timimoun », nous annonce le représentant de cette société. Concernant la vision du tourisme en Algérie, M. Kojok déclare : « L'Algérie n'a pas tiré profit lors des périodes précédentes de ses potentialités touristiques pour diverses raisons. L'Etat faisait tout pendant les années socialistes et a privilégié l'industrie lourde et l'agriculture aux dépens du tourisme. Lors de la décennie sanglante, on ne pouvait pas parler de tourisme. Aujourd'hui, nous percevons une nouvelle orientation et je ressens personnellement un changement, si je me réfère aux encouragements et à l'appui du ministère de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme et des institutions qui dépendent de lui ainsi que du suivi du ministre lui-même qui tente d'aplanir les obstacles et lever les difficultés rencontrées par les investisseurs. » A ses yeux, « il y a un nouveau souffle et un dynamisme qui permettent d'entrevoir l'avenir sous de meilleurs auspices. Ce climat est propice également à la concurrence entre les investisseurs qui s'intéressent au marché algérien et permet de lancer des projets qui auront un impact positif sur le secteur et le pays en général ».
Le rêve grandeur maquette
Des projets similaires sont en préparation au Club des Pins et à Zeralda. Une mission de prospection est envisagée dans le Sud algérien, à Timimoun et Djanet.
Le groupe émirati Emiral commence à concrétiser son premier projet en Algérie. Il s'agit d'un village de tourisme d'excellence appelé Forum El Djazaïr et constitué de six axes : un hôtel 5 étoiles de 10 étages avec tous les services y afférents, un centre commercial moderne avec une surface horizontale de 7000 m2 (R+1) et une surface bâtie de 34 000 m2, un centre d'affaires et une polyclinique ultramoderne, des bureaux de diverses superficies, des salles de réunion équipées répondant aux exigences professionnelles qui offriront un climat de travail propice aux hommes d'affaires, aux cadres et aux employés. C'est aussi une adresse d'excellence pour les sociétés aussi bien locales qu'étrangères. Il y a aussi des appartements dont certains se distinguent par leur localisation privilégiée donnant directement sur la mer et une marina qui offre à ses hôtes ainsi qu'aux plaisanciers un lieu de détente et de pratique des diverses activités nautiques. Mustapha Kojok, président du conseil d'administration d'Emiral, a bien voulu nous recevoir hier dans son bureau pour nous donner en exclusivité les détails de ce projet. Selon une première évaluation, le coût prévisionnel avoisine les 41 milliards DA et la durée des travaux est estimée à trois ans à partir du début effectif des travaux après l'obtention des autorisations nécessaires des autorités. « Nous pouvons vous assurer qu'on respectera les mêmes formes, caractéristiques et standards annoncés dans les encarts publicitaires. Nous voulons débuter ce premier investissement en Algérie en misant sur la qualité et un nouveau style car nous avons remarqué que les Algériens aiment le beau et l'excellence. » Mais au fait qui est Emiral ? Il s'agit, selon notre interlocuteur, « d'une société émiratie composée de personne physique et morale de droit algérien ».
Le rush des premiers postulants
L'annonce parue dans la presse de l'ouverture des préinscriptions pour donner la priorité de l'achat des appartements aux premiers postulants a attiré beaucoup de monde à Fransabank El Djazaïr, agence Hydra, de Sidi Yahia. Nous l'avons constaté sur place dès le 2 mars où plusieurs personnes se sont présentées pour retirer les formulaires ou avoir plus d'informations sur le projet. Dans une étape ultérieure, seront ouvertes les préinscriptions concernant les bureaux et les locaux commerciaux. La priorité dans l'acquisition d'appartements sera donnée aux premiers inscrits dans la limite des disponibilités. Mustapha Kojok tient à nous donner des précisions : « En vérité, cette annonce avait pour but d'obtenir des données statistiques et n'avait pas de but commercial. On devait absolument collecter des statistiques sur le marché algérien, avoir une idée sur les besoins du citoyen et de la famille algérienne, ses préférences, ses goûts et ses tendances quant au choix de son lieu d'habitation. » Cette opération a pu donner un éclairage certain. « Après deux jours de préinscription, on a une meilleure lisibilité. On devra apporter quelques aménagements sur la superficie et la répartition : on a su que 70% des demandes ont tendance à vouloir une superficie des appartements entre 150 et 160 m2. Il y a une forte demande pour les 3 pièces avec une salle de séjour. La femme algérienne veut une grande cuisine. » Il a été demandé aux postulants d'ouvrir un compte avec un montant d'au moins 3 millions DA dans le but « d'être sûr du sérieux et de l'engagement des gens, mais nous n'avons exigé de payer aucune somme à l'entreprise. Au regard de la forte demande en logements, si nous avons laissé cette opération ouverte, nous aurions reçu des milliers de demandes et nous n'aurons pas pu affiner notre travail de recherche de statistiques et de connaissance de la demande ». Quant au prix de vente, il nous assure qu'il sera « raisonnable et très près des prix de Hydra, Ben Aknoun et Staouéli ».
Investissements touristiques : le nouveau souffle
Emiral compte multiplier les projets : ils sont prévus à Zéralda, Club des pins et les dossiers sont en préparation pour les soumettre au conseil national de l'investissement pour qu'il donne son accord. Le Sud algérien est aussi à prospecter. « La semaine prochaine, nous allons visiter Djanet et Timimoun », nous annonce le représentant de cette société. Concernant la vision du tourisme en Algérie, M. Kojok déclare : « L'Algérie n'a pas tiré profit lors des périodes précédentes de ses potentialités touristiques pour diverses raisons. L'Etat faisait tout pendant les années socialistes et a privilégié l'industrie lourde et l'agriculture aux dépens du tourisme. Lors de la décennie sanglante, on ne pouvait pas parler de tourisme. Aujourd'hui, nous percevons une nouvelle orientation et je ressens personnellement un changement, si je me réfère aux encouragements et à l'appui du ministère de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme et des institutions qui dépendent de lui ainsi que du suivi du ministre lui-même qui tente d'aplanir les obstacles et lever les difficultés rencontrées par les investisseurs. » A ses yeux, « il y a un nouveau souffle et un dynamisme qui permettent d'entrevoir l'avenir sous de meilleurs auspices. Ce climat est propice également à la concurrence entre les investisseurs qui s'intéressent au marché algérien et permet de lancer des projets qui auront un impact positif sur le secteur et le pays en général ».