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AIDE À L’EXPORTATION
40 entreprises algériennes vont bénéficier durant 2 ans d’un accompagnement personnalisé», selon M. Martinant, chef du projet
Le programme OPTIMEXPORT (programme de renforcement des capacités exportatrices des PME algériennes) inscrit dans le cadre du plan de renforcement des capacités commerciales de l’Algérie, selon l’exposé du chef du projet, M. Mark Martinant, présenté lors de la tenue de la journée d’information sur la présentation du nouveau décret portant de nouvelles mesures de promotion des exportations algériennes hors hydrocarbures est doté de 2,1 millions d’euros par l’Agence française de développement (AFD). Cette initiative se veut une logique de consolidation des activités «exports» en favorisant l’accès aux marchés étrangers des entreprises algériennes hors hydrocarbures. Dans son intervention, M. Mark Martinant a mis l’accent sur la coordination des efforts entre le ministère du Commerce, AFD, CACI et ALGEX. Il n’a pas manqué, en outre, de rappeler les missions de ce programme de trois ans (2007- 2009) pour sensibiliser les exportateurs présents afin qu’ils y adhèrent. L’OPTIMEXPORT participe à une logique de développement, dit-il, de l’offre de l’information commerciale au profit des entreprises exportatrices algériennes ou potentiellement exportatrices. Il s’agit en outre de renforcer, a-t-il ajouté, la formation et la professionnalisation aux techniques du commerce international des acteurs publics et privés concernés par l’exportation. «Nous allons ainsi accompagner les entreprises algériennes dans leurs conquêtes de marchés étrangers», soutient M. Martinant. Il a annoncé dans ce sens qu’un groupe pilote d’environ 40 entreprises va disposer d’un accompagnement personnalisé durant 2 ans pour un programme d’actions «sur mesure» à l’international dénommé «Le challenge OPTIMEXPORT». D’autres groupes d’entreprises potentiellement exportatrices vont, dit-il, bénéficier cette année de ce programme d’accompagnement personnalisé afin de relever leurs potentialités exportatrices et leur savoir-faire pour conquérir des marchés. Il n’est pas exportateur qui veut, même si ses produits sont de haute qualité. «Il faut séparer la fonction de production de celle de l’exportation», dit-il, affirmant que l’exportateur est un métier qui demande une formation spécifique. M. Martinant a, par ailleurs, annoncé la 2e édition du forum d’affaires «MED-ALLIA 2008» qui se tiendra à Tunis les 31 mars, 1er et 2 avril prochain. Plus de 500 participants sont attendus à ce forum d’affaires. Cette rencontre rassemblera, dit-il, 200 entreprises françaises, 200 tunisiennes et 100 algériennes, marocaines, libyennes, mauritaniennes, égyptiennes et jordaniennes. Il s’agit pour les entreprises participantes de réussir des projets commerciaux en Tunisie et dans 7 autres pays cibles du marché euro-mediterranéen (Algérie, Egypte, Jordanie, Libye, Maroc, Mauritanie et France). Les principaux secteurs identifiés se rapportent, dit-il, à l’agriculture, l’agroalimentaire, automobile, biens de consommation, BTP, industries mécaniques et électriques, sous-traitance et l’énergie ainsi que le tourisme.
A. Meziane.
http://www.horizons-dz.com/rubriques/economie.htm
40 entreprises algériennes vont bénéficier durant 2 ans d’un accompagnement personnalisé», selon M. Martinant, chef du projet
Le programme OPTIMEXPORT (programme de renforcement des capacités exportatrices des PME algériennes) inscrit dans le cadre du plan de renforcement des capacités commerciales de l’Algérie, selon l’exposé du chef du projet, M. Mark Martinant, présenté lors de la tenue de la journée d’information sur la présentation du nouveau décret portant de nouvelles mesures de promotion des exportations algériennes hors hydrocarbures est doté de 2,1 millions d’euros par l’Agence française de développement (AFD). Cette initiative se veut une logique de consolidation des activités «exports» en favorisant l’accès aux marchés étrangers des entreprises algériennes hors hydrocarbures. Dans son intervention, M. Mark Martinant a mis l’accent sur la coordination des efforts entre le ministère du Commerce, AFD, CACI et ALGEX. Il n’a pas manqué, en outre, de rappeler les missions de ce programme de trois ans (2007- 2009) pour sensibiliser les exportateurs présents afin qu’ils y adhèrent. L’OPTIMEXPORT participe à une logique de développement, dit-il, de l’offre de l’information commerciale au profit des entreprises exportatrices algériennes ou potentiellement exportatrices. Il s’agit en outre de renforcer, a-t-il ajouté, la formation et la professionnalisation aux techniques du commerce international des acteurs publics et privés concernés par l’exportation. «Nous allons ainsi accompagner les entreprises algériennes dans leurs conquêtes de marchés étrangers», soutient M. Martinant. Il a annoncé dans ce sens qu’un groupe pilote d’environ 40 entreprises va disposer d’un accompagnement personnalisé durant 2 ans pour un programme d’actions «sur mesure» à l’international dénommé «Le challenge OPTIMEXPORT». D’autres groupes d’entreprises potentiellement exportatrices vont, dit-il, bénéficier cette année de ce programme d’accompagnement personnalisé afin de relever leurs potentialités exportatrices et leur savoir-faire pour conquérir des marchés. Il n’est pas exportateur qui veut, même si ses produits sont de haute qualité. «Il faut séparer la fonction de production de celle de l’exportation», dit-il, affirmant que l’exportateur est un métier qui demande une formation spécifique. M. Martinant a, par ailleurs, annoncé la 2e édition du forum d’affaires «MED-ALLIA 2008» qui se tiendra à Tunis les 31 mars, 1er et 2 avril prochain. Plus de 500 participants sont attendus à ce forum d’affaires. Cette rencontre rassemblera, dit-il, 200 entreprises françaises, 200 tunisiennes et 100 algériennes, marocaines, libyennes, mauritaniennes, égyptiennes et jordaniennes. Il s’agit pour les entreprises participantes de réussir des projets commerciaux en Tunisie et dans 7 autres pays cibles du marché euro-mediterranéen (Algérie, Egypte, Jordanie, Libye, Maroc, Mauritanie et France). Les principaux secteurs identifiés se rapportent, dit-il, à l’agriculture, l’agroalimentaire, automobile, biens de consommation, BTP, industries mécaniques et électriques, sous-traitance et l’énergie ainsi que le tourisme.
A. Meziane.
http://www.horizons-dz.com/rubriques/economie.htm