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L’Algérie est riche mais les Algériens s’interrogent

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  • L’Algérie est riche mais les Algériens s’interrogent

    L’Algérie est riche mais les Algériens s’interrogent

    L’excellente situation financière de l’Algérie ne profite pas à beaucoup d’Algériens qui paient le prix de l’incompétence de leurs dirigeants.
    mercredi 5 mars 2008.

    Pour de nombreux Algériens, les bons chiffres du gouverneur de la Banque d’Algérie sur la situation financière du pays ne les concernent pas, cela concerne l’Etat, cette chose si distante. Avoir de l’argent, c’est bien, cela ne fait pas pour autant une économie. Cela ne réduit pas l’envie de la « harga » si largement partagée du chômeur au cadre, cela ne donne pas des travailleurs satisfaits de leurs salaires, ni des entrepreneurs heureux... Tout un environnement manque. Avec des moyens financiers inférieurs à ceux de l’Algérie, l’économie tunisienne a un rendement à nous faire rougir de honte. Certains s’étonnent que l’exemple des pays du Golfe qui ont créé des fonds souverains ne semble pas susciter un grand intérêt en Algérie. « Au lieu de s’extasier sur les chiffres de la rente pétrolière, on ferait mieux de créer un fonds souverain et acheter, par exemple, 4% des grandes boites françaises, comme BNP, EADS, Danone, directement en bourse. Cela a plus de sens qu’une encaisse dormante... », nous explique un spécialiste.

    Celui-ci fait remarquer que la Norvège a évité le piège du syndrome hollandais, en créant un fonds souverain pour gérer, au mieux et dans la transparence, les excédents des réserves de change générés par l’exportation du pétrole. Mais la Norvège, c’est loin. Le système algérien a toujours fonctionné sur le pouvoir régalien d’allocations des ressources, aller vers la création d’un fonds souverain équivaut à une « perte de pouvoir ». Voilà qui expliquerait que les réformes marchent « lentement », elles ont un effet politique indésirable. La transformation d’un potentiel financier en dynamique de création de richesses et en amélioration sensible et durable des conditions d’existence des citoyens en Algérie, peut-elle se passer d’un changement du mode de gouvernance politique ? Cela fait des années que la réponse paraît évidente. Les bons chiffres servent en définitive à noyer cette question essentielle de la réforme générale du système qui continue d’être fondé sur la rente.

    Synthèse de Samir, www.algerie-dz.com
    D’après le Quotidien d’Oran

  • #2
    L'article entier:

    Algérie : Les bons chiffres et l’algéro-pessimisme

    mercredi 5 mars 2008.

    Dans l’algéro-pessimisme ambiant, le gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohamed Laksaci, fait exception.


    Depuis que le pétrole est en hausse, il n’a pratiquement que de bons chiffres à livrer aux médias. C’est un gouverneur des années fastes. La dette extérieure, hantise des années 90, a été réduite à 4,889 milliards de dollars, soit 3,6% de PIB et 4,4% des réserves officielles de change. Celles-ci ont atteint, à fin 2007, le record de 110,18 milliards de dollars contre 77,78 milliards de dollars, à fin 2006.

    Sonatrach est encore la locomotive et le coeur de l’économie du pays. Les exportations en volume ont connu une baisse mais celle-ci a été compensée par la hausse des prix. Les recettes ont ainsi atteint 59,3 milliards de dollars contre 53,61 milliards de dollars en 2006. L’Algérie a donc d’excellents chiffres, beaucoup d’argent et, nous explique-t-on, est à l’abri d’un choc externe.

    Résumé en peu de mots : ces chiffres indiquent que le pays est solvable et qu’il est en mesure de financer ces importations sur plusieurs années. Et d’ailleurs, on importe toujours plus : 26,25 milliards de dollars en 2007 contre 20,68 milliards de dollars en 2006 et 19,86 milliards de dollars en 2005. Les importateurs, eux aussi, ont des raisons d’être optimistes surtout qu’on n’assiste pas à un frémissement en matière de substitution des importations. On peut avoir de l’argent sans que cela ne fasse une économie.

    Les opérateurs privés se plaignent de la difficulté d’accès aux crédits bancaires. D’autres ne comprennent pas que des investisseurs étrangers viennent chercher du crédit chez les banques algériennes pour investir. Signe des temps, le Fonds monétaire international a suggéré que l’Algérie prête de l’argent aux pays pauvres...

    Apparemment, l’on pense que l’Algérie a tellement d’argent et qu’elle ne sait pas quoi en faire... Et qu’elle est toujours dans le syndrome hollandais où rente rime avec appauvrissement.

    Pour de nombreux Algériens, les bons chiffres du gouverneur ne les concernent pas, cela concerne l’Etat, cette chose si distante. Avoir de l’argent, c’est bien, cela ne fait pas pour autant une économie. Cela ne réduit pas l’envie de la « harga » si largement partagée du chômeur au cadre, cela ne donne pas des travailleurs satisfaits de leurs salaires, ni des entrepreneurs heureux... Tout un environnement manque. Avec des moyens financiers inférieurs à ceux de l’Algérie, l’économie tunisienne a un rendement à nous faire rougir de honte. Certains s’étonnent que l’exemple des pays du Golfe qui ont créé des fonds souverains ne semble pas susciter un grand intérêt en Algérie. « Au lieu de s’extasier sur les chiffres de la rente pétrolière, on ferait mieux de créer un fonds souverain et acheter, par exemple, 4% des grandes boites françaises, comme BNP, EADS, Danone, directement en bourse. Cela a plus de sens qu’une encaisse dormante... », nous explique un spécialiste.

    Celui-ci fait remarquer que la Norvège a évité le piège du syndrome hollandais, en créant un fonds souverain pour gérer, au mieux et dans la transparence, les excédents des réserves de change générés par l’exportation du pétrole. Mais la Norvège, c’est loin. Le système algérien a toujours fonctionné sur le pouvoir régalien d’allocations des ressources, aller vers la création d’un fonds souverain équivaut à une « perte de pouvoir ». Voilà qui expliquerait que les réformes marchent « lentement », elles ont un effet politique indésirable...

    La transformation d’un potentiel financier en dynamique de création de richesses et en amélioration sensible et durable des conditions d’existence des citoyens, peut-elle se passer d’un changement du mode de gouvernance politique ? Cela fait des années que la réponse paraît évidente. Les bons chiffres servent en définitive à noyer cette question essentielle de la réforme générale du système qui continue d’être fondé sur la rente... C’est pourtant cela qui fait le pessimisme algérien malgré les chiffres... Le baril, selon certaines estimations, pourrait atteindre les 150 dollars. Les réserves vont augmenter, la rente sera plus consistante. Toutes les conditions sont réunies pour que la réforme ne paraisse pas une urgence malgré les tumultes qui montent de la société.

    Le Quotidien d’Oran

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    • #3
      Ce n'est pas parce que l'état engrange des milliards de réserves qu'aussitôt l'algérien moyen va sortir de la pauvreté...
      Les 150 milliards, on les répartirait par tête de pipe, ça ne donnera guère que 5 ou 6000 dollars à chaque Algérien... tu ne fais pas l'opulence avec ce que représente la moitié du revenu d'un RMiste d'ici....

      L'Algérie n'est pas du tout riche. Elle sera riche quand la majorité des Algériens seront riches.
      Pour qu'ils soient riches, il faut que l'état fasse tout pour faire combler à l'Algérie tous ses retards et Dieu sait qu'elle n'en manque pas.

      Maintenant est-ce que l'état est incompétent ?
      Je trouve que cet autre journaliste est aussi creux que bon nombre d'autres...
      Quand on évalue en cette matière, il faut démontrer...
      Le journaliste ne démontre rien...
      Dernière modification par Bachi, 06 mars 2008, 02h10.

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      • #4
        A defaut d'economistes, en Algerie, on agit en bon pere de famille.
        1-Payer ses dettes,
        2-Bien manger
        3-Bien se loger
        4-Bien s'ediquer
        5-Ameliorer les infrastructures
        6-Rendre plus performants les systemes de communication
        .
        .
        .
        On ne perd pas la tete et on ne se prostitue pas.

        L’Algérie en 2008 est définitivement engagée dans une dynamique de développement sans précédent. Les efforts gigantesques consentis depuis ces six dernières années dans tous les domaines et une stabilité retrouvée permettent au pays de reprendre à un rythme accéléré le chemin de la croissance économique et offrir des opportunités immenses pour les firmes tous secteurs confondus, les banques, les compagnies d’assurances de s’impliquer fortement dans le vaste programme d’investissements dans les secteurs stratégiques et à forte valeur ajoutée.
        La volonté résolument affichée de promotion économique induit nécessairement un engagement plus fort et plus soutenu avec les partenaires étrangers. Le programme de développement économique projeté estimé à plusieurs dizaines de milliards de dollars soutenu par une embellie financière tirée par le secteur énergétique, est une réalité sans ambiguïté du potentiel d’affaires qui s’ouvre aux partenaires et aux compagnies étrangères. Les opportunités offertes par ce programme donnent une place importante aux investissements dans l’industrie des nouvelles technologies de l’information, des services bancaires et des assurances.


        Le développement du secteur financier constitue une priorité pour les pouvoirs publics. Il vise :
        • le renforcement de la stabilité et de la rentabilité du secteur bancaire ;
        • un meilleur rendement du marché du crédit et la réduction du coût de l’intermédiation ;
        • la modernisation rapide des systèmes d’information et de paiement pour améliorer la qualité des services bancaires ;
        • le développement substantiel du crédit immobilier ;
        • l’amélioration des performances du marché des prêts/emprunts ;
        • la privatisation de banques publiques qui devrait permettre une accélération de la modernisation du secteur bancaire dans son ensemble par l’amélioration du niveau de la concurrence et l’augmentation de l’intermédiation financière.
        Un Chantier gigantesque

        L'Etat Algérien investi 150 milliards de dollars d'ici 2009. Un engagement sans précédent d'un pays qui veut une mise à niveau de son infrastructure de base et dans les secteurs stratégiques et à forte valeur ajoutée.
        Le programme de développement économique soutenu par une embellie financière tirée par le secteur énergétique est une réalité sans ambiguïté du potentiel d’affaires qui s’ouvre aux partenaires et aux compagnies étrangères.

        La volonté résolument affichée de promotion économique induit nécessairement un engagement plus fort et plus soutenu avec les partenaires étrangers.

        Les opportunités offertes par ce programme donnent une place importante aux investissements dans l’industrie des Nouvelles Technologies de l’Information, des services Bancaires et des Assurances.

        fif-alger.com

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        • #5
          ..........
          Dernière modification par alessandro, 06 mars 2008, 09h27.

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          • #6
            Quand le dollar plonge, l’Algérie boit la tasse !

            Le Matin le 06 Mars, 2008

            Quand le dollar plonge, le monde boit la tasse !

            La vieille règle s’est confirmée une fois encore, mais cette fois-ci à nos dépens. Le dollar a plongé et l’Algérie a bu la tasse, jusqu’à l’asphyxie… La politique financière mise en place par des ânes savants (pardon pour l’oxymore !), singeant jusqu’au suicide la démarche des pétro-monarchies du Golfe, imitant jusqu’à l’absurde leur modèle économique et répétant en boucle les articles de foi d’un marché financier conçu sur mesure par et pour les puissances économiques capitalistes, cette stratégie vient de nous placer devant un terrible verdict arithmétique : l’érosion des capacités financières de l’Algérie induite par la dépréciation du billet vert par rapport à la monnaie unique européenne. Désormais, les 110 milliards $ US de réserve de change algérienne représentent, en terme de pouvoir d’achat, l’équivalent de 55 milliards $ US. En économie, le ridicule ne tue pas mais il peut entraîner la ruine, la banqueroute ; il peut hypothéquer l’avenir et enterrer l’espoir d’un futur meilleur.

            La culbute du dollar entraînant celle de l’ensemble de nos avoirs libellés dans cette monnaie, le scénario le moins pessimiste serait que seule la valeur des 43 milliards de dollars placés aux Etats-Unis, essentiellement en emprunts obligataires d’Etat, ait fondue comme neige au soleil ; le plus sombre − et le plus plausible puisque de l'aveu du gouverneur de la banque d'Algérie le dollar reste la monnaie de réserves dominante −, serait que ce soit tout le matelas de réserves de change qui se serait dégonflé, perdant près de la moitié de sa valeur sous l’effet de la dernière dépréciation de la monnaie américaine face à l’euro ! Et d’ailleurs, ne faudrait-il pas interpréter le silence du ministre des Finances, si prompt à communiquer quand il s’agit de dorer la pilule – il n’a même pas pris la peine de contester les calculs des experts algériens −, comme une confirmation de ces chiffres ?

            De l’avis de nombre d’économistes, quel que soit le montant des pertes subies par notre pays, la stratégie financière appliquée par le pouvoir algérien depuis l’embellie des cours pétroliers et l’envolée des rentrées de devises n’en constitue pas moins une aberration. Observant d’un œil critique la chute du marché obligataires américain mis sous pression par l’instabilité de la devise US et plombé par un désintérêt croissant des investisseurs étrangers, ces analystes constatent que les pays en développement cherchent de plus en plus à acheter des actifs autres que les obligations pour diversifier leurs vastes réserves de changes et gonfler leurs retours sur investissement et que, même revalorisés afin d’attirer les placeurs, le taux de rendement du marché obligataire reste à un niveau historiquement bas. Cette désaffection est telle que l'émission de 8 milliards $ US de bons à 10 ans par le Trésor américain en juin 2007 avait attiré moins de banques centrales étrangères qu'à l'accoutumée. Or, font-ils observer, paradoxalement, l’Algérie, qui a des besoins immenses au niveau interne et qui continue à solliciter des investissements étrangers quand elle a les moyens de les réaliser elle-même, navigue à contre-courant de la tendance actuelle privilégiée par des pays en développement. Pour user d’une métaphore commune, on peut dire qu’au lieu de mettre leurs précieux oeufs à couver afin de développer leur poulailler et gagner ainsi en autonomie, les Algériens continuent de les placer tous dans un même panier pour se précipiter à les céder au premier acheteur venu ; autrement dit, au lieu d’injecter nos pétro-devises dans l’économie nationale, des « décideurs » irresponsables, optant pour une solution insensée, choisissent de déposer une bonne partie des fabuleuses recettes pétrolières dans des banques américaines, en placements obligataires garanties par le gouvernement, des placements qui…, dans le meilleur des cas, ne nous rapporteront rien et, dans le pire, peuvent tout simplement nous dépouiller.

            Cette politique financière calamiteuse, dont une des perversités est de détourner l’argent, devant légitimement aller au développement et à l’investissement national, vers le soutien à la croissance états-unienne, et dans une moindre mesure nipponne ou européenne, a fait l’objet d’un éloge par Karim Djoudi en personne, quelques jours avant l’effondrement que l’on sait.

            Le premier argentier du pays, cherchant sans doute à donner plus de crédibilité à ses déclarations, proclamait auprès d’une agence de presse étrangère : « les risques [des placements effectués auprès du Trésor américain] sont nuls parce que ce ne sont pas des risques de marché et que la Banque d'Algérie pratique une gestion sécurisée de ces réserves. ». D’autres « spécialistes », planqués dans les appareils de décisions − tel le gouverneur de la banque d’Algérie qui concède l’existence de quelques turbulences sur le marché −, nous assuraient avec un même aplomb que la crise financière internationale aurait peu d’impact sur nos placements financiers à l’étranger, et donc sur nos réserves de change… Bref, que ses effets s’arrêteraient à nos frontières comme le nuage radioactif de Tchernobyl aux portes de l’Hexagone ; tous ceux qui débitaient, sans peur d’être contredis, pareilles inepties n’ont pipé mot lorsque la nouvelle de la plongée de la devise américaine est venue leur apporter un cinglant démenti.

            Heureusement, à quelque chose malheur est bon, puisque cette (énième) chute du dollar US aura eu un double effet : consacrer clairement la faillite de la stratégie financière du pays et dévoiler la propagande mensongère dont elle était l’objet. Car, comme le faisait remarquer un lecteur de notre site, « il n’y a jamais un placement sans risque ; quelque soit le marché où vous placez votre argent, vous récupérerez, cinq ans plus tard, la somme placée mais celle-ci n’aura pas la même valeur en terme de pouvoir d’achat, car entre-temps, l’inflation et les fluctuations du taux de change seront venues rogner le faible taux de placements ».

            En attendant, nous sommes enferrés dans un marché de dupes dans lequel nous tenons le rôle de dindons de la farce et où les USA, maître du jeu, ramasse toute la mise. Si nous ne rompons pas avec cette politique, quand les vapeurs de l’ivresse suscitée par l’envol du prix du baril se seront dissipées, que les taux se seront tassés et les puits asséchés, il sera, sûrement, trop tard pour l’Algérie. Elle aura raté, une fois de plus, le train du développement …
            Ghania Hammadou.
            Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
            Mahomet

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            • #7
              A defaut d'economistes, en Algerie, on agit en bon pere de famille.
              et les milliers de jeunes économistes algériens on en fait quoi, on les jette à la poubelle?

              sinon sortez dans la rue et vous verrez les milliards de dollars qui sont distribué sous le manteau à certains privilégiés par ce laksasi.



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              • #8
                je constate que ces constats sont le fait d'algeriens , sur des supports d'information algeriens ,ce qui pousse a l'optimisme , contrairement aux decinies boumedienne chadli où le tout va bien reignait en maitre ,on descend en flamme les politiques du systeme a leur tête boutef ds les journaux algeriens , le changement de politique est inevitable , dieu merci ce pays est beni de dieu , on aura assez de ressources pour reparer les trorts , et rattrapper le temps perdu , le petrole , l'or prochainement , servent à celà , entamer des reformes de fond sans precipitation , et prendre son temps , miser sur la formation , le savoir , investir ds l'homme , ce qu'on fait actuellement c'est yune perte de temps certe ,mais c'est pas perdu pour autant il faut reconnaitre que bcp d'argent est mis ds les infrastructures ,en attendant une autre ere ,d'autres hommes qui investiront ds les universités , les grandes ecoles , les labo, la culture , le sport , etc ..
                en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                • #9
                  autre constat , il ne suffis pas de faire ds la critique , noircir des papiers en critiques est tt facile , faut aussi etre assez outillé pour proposer , presenter l'alternative , malheureusement non seulement nos journalistes non prefessionels ,parlent de tout mais ne se specialisent en rien , qd aux experts leur avis vaut souvent celui d'un autre qui abonde ds le sens contraire , nos hommes politiques leur seul programme est etre au pouvoir et s'y accrocher , l'algerie n'a pas la chance de posseder un monsieur industrie,, un monsieur finance , un monsieur agriculture etc , elle manque d'homme d'etat
                  en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                  • #10
                    il faut prendre les 100 milliards et les distribuer aux 33 millions d'algériens comme ça on en parle plus...

                    ça fait quoi 3000 dollars personnes?

                    mm pas de quoi s'acheter une maruti, ou bien il faut arreter les chantiers en cours et reccuperer ce qui reste de l'enveloppe budgetaire ..peut être 80 milliard de dollars.

                    Alllez ca fait 5000 dollars chacun pour solde de tout compte...

                    En fait les Algériens se croient riches parecque chacun croit que ces 100 milliards lui appartiennent et à lui seul
                    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                    Commentaire


                    • #11
                      il faut prendre les 100 milliards et les distribuer aux 33 millions d'algériens comme ça on en parle plus...

                      ça fait quoi 3000 dollars personnes?

                      mm pas de quoi s'acheter une maruti, ou bien il faut arreter les chantiers en cours et reccuperer ce qui reste de l'enveloppe budgetaire ..peut être 80 milliard de dollars.

                      Alllez ca fait 5000 dollars chacun pour solde de tout compte...

                      En fait les Algériens se croient riches parecque chacun croit que ces 100 milliards lui appartiennent et à lui seul

                      Bledard

                      ...........................................

                      C'est ce qu'on appelle un calcul d'épicier ( et encore l'epicier cherche le profit).

                      Il faut faire fructifier les 100 milliards et non les distribuer.

                      Et c'est ce que ces dinosaures (qui gouvernent depuis 1962) n'arrivent pas à faire en maintenant le pays dans une économie de bazar.
                      Dernière modification par chicha51, 06 mars 2008, 18h46.

                      Commentaire


                      • #12
                        Ce n'est pas parce que l'état engrange des milliards de réserves qu'aussitôt l'algérien moyen va sortir de la pauvreté...

                        Bachi

                        ..........................................
                        Quand alors ?

                        Ca va faire bientôt un demi siecle que l'Algerie est independante et que les hydrocarbures existent.

                        La tendance va vers la fin des énergies d'origine fossile.

                        Commentaire


                        • #13
                          Il faut faire fructifier les 100 milliards et non les distribuer.

                          oui mais quand tu vois des centaines de personnes chaque jour stationner leur voitures à 900 millions et acheter de la dalle de sol à longueur de journée pour leur villas c'est a se poser des questions.

                          d'ou sort cet argent? que produit-on? que produisent-ils ces chômeurs?

                          de plus l'inflation actuelle ne peut s'expliquer que par la mise sur le marché noir par laksasi des sommes colossales de dinars.

                          Commentaire


                          • #14
                            Ca va faire bientôt un demi siecle que l'Algerie est independante et que les hydrocarbures existent.
                            sa fait 6 a 7 ans que nos caisse ont commencé a faire le plein !, se gouvernement s'est monté ,peut etre, incapable de faire la difirence entre l'algerie avec les caisses pleines et l'algerie endeté a mort !!
                            Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

                            Commentaire


                            • #15
                              C'est ce qu'on appelle un calcul d'épicier ( et encore l'epicier cherche le profit).

                              Il faut faire fructifier les 100 milliards et non les distribuer.

                              Et c'est ce que ces dinosaures (qui gouvernent depuis 1962) n'arrivent pas à faire maintenant le pays dans une économie de bazar.
                              c'etait pour dire que 100 milliards pour 33 milllions d'habitants ce n'est pas forcement riche.....

                              mais je peux comprendre que quelqu'un sans le sous et dont les équilibres passent par la pluie et la mendicité internationale trouve cela ENORME.

                              quant à fructifier pour te répondre, un état un etat ne fait normalement pas de commerce....

                              en ce qui concerne l'algérie, une partie de cette manne qui vous fait chavirer au point d'annoncer des decouvertes de pétrole qui ne sont pas est consacré au developpement 160 milliards, une autre partie au reùboursment de la dette ce qui fut fait, et le restant dans les reserves de change. ce que tout le monde fait.

                              L'algérie n'est pas une monarchie theocratique et autocrate pour jouer aux prometeurs immobilier et n'est pas encore la norvege car elle manque aujourdhui de cadres financiers pour s'aventurer dans les bourses internationales. Cela viendra cahque chose en son temps pas questions de confier cela aux anglais pour jouer à la bourse.. ca sera un grand scandale national des mêmes pseudo-expert qui critiquent les bons de tresor américains.

                              Alors continue a prier pour la pluie à quemander l'aumone internationale à injecter l'argent de la drogue dans ton economie en attendant que tes protecteurs d'aujourd'hui te denoncent demain et ..... a compter l'argent des algériens...


                              comem on dit chez nous : R'jal takseb et..............
                              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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