L’ambassadeur américain à Alger, Robert Ford, a invité dans le cadre de ses rencontres avec les partis politiques, les syndicats et les associations, le président de la commission de suivi de l’application de la loi de réconciliation, dans son bureau, après que ce dernier ait tenu des propos incendiaires contre ce qu’il a qualifié, il y a quelques jours au forum d’El Moudjahid, d’« ingérence claire de l’ambassadeur américain dans les affaires internes de l’Algérie ».
Le représentant de la diplomatie américaine a assuré au président de la cellule du suivi de l’application de la loi de réconciliation qu’il compte « élargir le débat avec la société civile et les partis politiques », il faut comprendre par là que Robert Ford n’a pas pris les protestations officielles au sérieux. L’Algérie avait exprimé officiellement son indignation lorsque « l’ambassadeur ne s’était pas tenu aux règles de la diplomatie », comme l’avait déclaré le Chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem.
La dernière rencontre du représentant de la diplomatie américaine, dans le cadre de ses entretiens, l’avait réuni avec le président de la commission de suivi de la loi de réconciliation, Mérouane Azzi, avant-hier, après que Ford ait invité Azzi à son bureau, suite aux déclarations de ce dernier contre « l’ingérence américaine répétée dans les affaires internes de l’Algérie ».
Robert Ford a refusé de considérer les rencontres qu’il effectue avec les sensibilités politiques et syndicales, sur des sujets précis, à leur tête la révision de la Constitution, comme « une ingérence dans les affaires internes de l’Algérie ».
Il a inscrit ses rencontres dans le cadre de « la volonté des Etats-Unis de savoir ce qui se passe sur la scène politique algérienne, en essayant d’ouvrir le dialogue avec les organisations civiles et politiques sur le cour des évènements, car la question intéresse Washington.
Le Matin DZ
Le représentant de la diplomatie américaine a assuré au président de la cellule du suivi de l’application de la loi de réconciliation qu’il compte « élargir le débat avec la société civile et les partis politiques », il faut comprendre par là que Robert Ford n’a pas pris les protestations officielles au sérieux. L’Algérie avait exprimé officiellement son indignation lorsque « l’ambassadeur ne s’était pas tenu aux règles de la diplomatie », comme l’avait déclaré le Chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem.
La dernière rencontre du représentant de la diplomatie américaine, dans le cadre de ses entretiens, l’avait réuni avec le président de la commission de suivi de la loi de réconciliation, Mérouane Azzi, avant-hier, après que Ford ait invité Azzi à son bureau, suite aux déclarations de ce dernier contre « l’ingérence américaine répétée dans les affaires internes de l’Algérie ».
Robert Ford a refusé de considérer les rencontres qu’il effectue avec les sensibilités politiques et syndicales, sur des sujets précis, à leur tête la révision de la Constitution, comme « une ingérence dans les affaires internes de l’Algérie ».
Il a inscrit ses rencontres dans le cadre de « la volonté des Etats-Unis de savoir ce qui se passe sur la scène politique algérienne, en essayant d’ouvrir le dialogue avec les organisations civiles et politiques sur le cour des évènements, car la question intéresse Washington.
Le Matin DZ
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