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L'euro est élevé mais le dollar doit encore baisser

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  • L'euro est élevé mais le dollar doit encore baisser

    C'est que qu'affirme le FMI

    WASHINGTON (Reuters) - La hausse de l'euro signifie que le taux de change de la devise européenne est maintenant plutôt élevé sur une base moyen terme, mais la valeur du dollar doit encore baisser malgré le déclin récent du billet vert, a estimé jeudi le Fonds monétaire international (FMI).

    Il y a quelques mois, le fonds jugeait le taux de change de l'euro globalement en ligne avec ses fondamentaux de moyen terme.

    La monnaie unique a atteint jeudi un nouveau plus haut record de 1,5372 dollar après la décision de la BCE de laisser ses taux inchangés, et surtout après les propos de son président ne plaidant par pour une détente monétaire imminente alors que la Fed devrait pour sa part réduire encore ses taux d'intérêt le 18 mars.

    "Notre opinion, à l'heure actuelle, c'est qu'après son appréciation (l'euro) se situe désormais dans la partie plutôt haute, si l'on songe aux fondamentaux à moyen terme", a déclaré le porte-parole du FMI Masood Ahmed au cours d'une conférence de presse.

    En ce qui concerne la devise américaine, si son déclin l'a rapprochée de ses fondamentaux, "elle se situe encore par rapport à ceux-ci dans la partie haute", a-t-il ajouté.

    Lesley Wroughton, version française Gilles Guillaume
    Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
    Mahomet

  • #2
    L'euro fort ne serait pas un obstacle pour les exportations

    Challenges.fr | 07.03.2008 |

    Les partenaires européens de la France se retrouveront lundi dans la position dun policier désarmé face à un Nicolas Sarkozy décidé à réduire les déficits publics à son rythme malgré les engagements passés, avec notamment un report de lassainissement des finances publiques françaises à 2012. /Photo darchives/REUTERS/Alex GrimmLes partenaires européens de la France se retrouveront lundi dans la position d'un policier désarmé face à un Nicolas Sarkozy décidé à réduire les déficits publics à son rythme malgré les engagements passés, avec notamment un report de l'assainissement des finances publiques françaises à 2012. /Photo d'archives/REUTERS/Alex Grimm (c) Reuters

    PARIS (Reuters) - Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a estimé jeudi que l'euro fort ne constituait pas un problème majeur pour les exportations des pays de l'Union.

    "Bien sûr, nous sommes préoccupés" par la parité euro-dollar, mais "l'augmentation de l'euro n'a pas provoqué de problèmes majeurs dans nos exportations", a-t-il déclaré lors d'une rencontre avec la presse économique, à Paris.

    L'euro a atteint jeudi un nouveau plus haut historique face à la monnaie américaine, à 1,5370 dollar.

    "Il faut éviter de faire de l'euro un bouc émissaire", a dit Jose Manuel Barroso, selon qui les exportations des pays européens vers les pays tiers "se portent bien et même très bien".

    Un principe spécialement valable, à ses yeux, pour la France.

    Dans la mesure où l'Hexagone effectue la plupart de ses exportations avec des pays qui ont la même monnaie, "ne disons pas que c'est à cause de l'euro fort que la France a des problèmes d'exportation", a-t-il dit.

    Prenant l'exemple de l'Allemagne, Barroso a aussi fait remarquer que "la force exportatrice ne se construit pas sur une monnaie faible mais par des produits performants".

    "L'euro dit fort - en fait c'est plutôt le dollar qui est faible - travaille contre l'inflation donc l'euro travaille pour le pouvoir d'achat", a-t-il aussi estimé.

    Malgré les remous sur les marchés mondiaux et la hausse du prix des matières premières, Barroso s'est déclaré confiant dans la santé de l'économie européenne.

    "Il n'y a pas de raison de sombrer dans le pessimisme. Nos fondamentaux économiques sont sains", a-t-il assuré.

    "L'euro a joué un rôle efficace d'amortissement des chocs externes", a-t-il ajouté, faisant remarquer qu'un baril de pétrole à 100 dollars valait aujourd'hui 66 euros.
    Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
    Mahomet

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    • #3
      on en peut plus de l'euro........il nous tue........on est pris a la gorge!

      il a crée les nouveaux pauvres!
      on fait avec..........

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      • #4
        @ Momo.05

        Désolé MOMO.05 mais nos enfants sont nés et vivent encore avec la crise du pétrole des annéees 70 qui n'a fait que reproduire plans de licenciements, restructurations, blocages de salaires, avec sa cohorte de chômage et de sous-emplois.

        Certe les conditions de vie paraissent plus enviables chez nous en Europe mais uniquement grâce à l'Euro qui limite les dégâts de la hausse inconsidérée du brut, où cela s'arrètera t-il ? La balle est dans le camp des spéculateurs.
        Les plus vulnérables doivent le plus souvent se contenter de l'assistanat, d'où les choix qui s'imposent maintenant en matière d'immigration.

        L'Allemagne dont on vante tant la compétitivité a tellement serré la vis de ses salariés qu'elle fait face aujourd'hui à une série de grèves sans précédent depuis 15 ans !, son niveau de vie si envié il y a une dizaine d"année se retrouve en dessous de celui de la France, son fameux "consensus social" que nous recherchons en France est-il en train de voler en éclats ?

        Aux frontières de l'Est les français vont faire leurs courses en Allemagne parce que l'alimentation en particulier y est moins chère qu'en France (impensable il y a une dizaine d'année !).
        Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
        Mahomet

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        • #5
          la vie est trop chere en france!
          y'a quoi voir les retraites ......c'est honteux!
          on fait avec..........

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          • #6
            un trader marocains à même predit pour bientot un € = 3 $
            .
            .
            ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
            Napoléon III

            Commentaire


            • #7
              La mondialisation est devenue inflationniste (Trichet et Noyer)

              La mondialisation est devenue inflationniste, ont estimé vendredi le président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, et le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, lors d'un colloque de la Banque de France.
              (afp) - "La récente flambée des prix des matières premières, notamment alimentaires, en raison d'une difficulté à pourvoir la demande des pays émergents, nous rappelle que la mondialisation peut aussi créer des risques inflationnistes", a dit M. Trichet.
              Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
              Mahomet

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