Belkhadem, maître d’un FLN « rénové » aux couleurs d’un islamisme prétendument soft, grand ami des mollahs amateurs de la lapidation des femmes, chef d’un gouvernement qui n’a rien d’autre à faire qu’à « gérer » la rente pétrolière en pleine expansion, Belkhadem le barbefln vient de commémorer à sa manière le 8 mars, journée internationale des femmes.
Entre deux shows dédiés au troisième mandat, l'animateur de la campagne pro-Bouteflika, a trouvé un nouvel emploi : défenseur de la cause des femmes aux foyers ! Bien que cette expression « femme au foyer » lui répugne parce que imposée par « l’outre-mer », comprenez l’occident, notre mollah n’a pas lésiner sur les moyens, ni ergoter sur les mots.
Tous les honneurs sont allés à la femme au foyer dont il a glorifié, avec un lyrisme de circonstance, le rôle, ô combien exaltant, de ménagère et d’éducatrice, « une tâche ô combien cruciale et difficile !», mieux, «une tâche aussi noble et importante que celle des femmes travailleuses !» – le foyer, lieu d’enfermement des Algérienne, une option inscrite au programme du FIS qui la revendiquait ouvertement − ses stratèges projetaient, au cas où ils tiendraient les rênes du pouvoir, de renvoyer les femmes à leurs casseroles et à leurs couches pour "procréer des croyants", selon la sentence d'Ali Belhadj. Une politique que le FLN a appliqué sournoisement, dès le lendemain de l’indépendance, et que le chef de gouvernement de Bouteflika vient de rappeler à notre bon souvenir.
Cette femme au foyer sublimé et magnifié, qui est, on l’aura compris, l’idéale féminin du nationo-islamiste Belkhadem sera l’objet d’un séminaire de 4 jours, séminaire qui verra l’intervention de plusieurs conférenciers chargés d’apporter leurs lumières sur « différentes questions inhérentes à la femme au foyer, … » et qui sera sanctionné, comme de coutume chez le FLN, par « l’adoption de recommandations sur la stratégie de… » et tutti quanti.
L’information rapportée ici n’est pas une fiction. On peut la lire sur le fil de l’APS. Elle sera, probablement, servie dès demain aux millions d’algériennes prisonnières d’un statut (juridique et sociale) inique et antédiluvien élaboré et imposé par ce même Belkhadem et ses satellites.
Entre deux shows dédiés au troisième mandat, l'animateur de la campagne pro-Bouteflika, a trouvé un nouvel emploi : défenseur de la cause des femmes aux foyers ! Bien que cette expression « femme au foyer » lui répugne parce que imposée par « l’outre-mer », comprenez l’occident, notre mollah n’a pas lésiner sur les moyens, ni ergoter sur les mots.
Tous les honneurs sont allés à la femme au foyer dont il a glorifié, avec un lyrisme de circonstance, le rôle, ô combien exaltant, de ménagère et d’éducatrice, « une tâche ô combien cruciale et difficile !», mieux, «une tâche aussi noble et importante que celle des femmes travailleuses !» – le foyer, lieu d’enfermement des Algérienne, une option inscrite au programme du FIS qui la revendiquait ouvertement − ses stratèges projetaient, au cas où ils tiendraient les rênes du pouvoir, de renvoyer les femmes à leurs casseroles et à leurs couches pour "procréer des croyants", selon la sentence d'Ali Belhadj. Une politique que le FLN a appliqué sournoisement, dès le lendemain de l’indépendance, et que le chef de gouvernement de Bouteflika vient de rappeler à notre bon souvenir.
Cette femme au foyer sublimé et magnifié, qui est, on l’aura compris, l’idéale féminin du nationo-islamiste Belkhadem sera l’objet d’un séminaire de 4 jours, séminaire qui verra l’intervention de plusieurs conférenciers chargés d’apporter leurs lumières sur « différentes questions inhérentes à la femme au foyer, … » et qui sera sanctionné, comme de coutume chez le FLN, par « l’adoption de recommandations sur la stratégie de… » et tutti quanti.
L’information rapportée ici n’est pas une fiction. On peut la lire sur le fil de l’APS. Elle sera, probablement, servie dès demain aux millions d’algériennes prisonnières d’un statut (juridique et sociale) inique et antédiluvien élaboré et imposé par ce même Belkhadem et ses satellites.
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