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Conseil de l'Europe : Le Maroc ennemi d'Internet

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  • Conseil de l'Europe : Le Maroc ennemi d'Internet

    Censure. Le Maroc ennemi d'Internet

    Publié le 07.03.2008 | 13h00
    Le Conseil de l'Europe se penche sur une proposition qui considère la censure sur Internet comme barrière au commerce. Le Maroc est concerné, avec la Tunisie et l'Arabie Saoudite.


    Sale temps pour les censeurs sur Internet parmi les pays partenaires de l'Europe. Le Parlement européen vient de donner le feu vert à la pro*position d'un parti néerlandais pour considérer la censure des contenus en ligne en tant que «barrière au commerce» et agir en conséquence. Il y a quelques jours, la proposition du «Parti du peuple pour la liberté et la démocratie» a fait un carton en recueillant 571 voix pour, et seule*ment 38 contre.

    Pour Julien Maa*ten, député de ce parti à l'origine de ladite proposition, il s'agit là d'une mesure «inhabituelle», mais qui aura le mérite de fournir des «moyens ef*ficaces» pour promouvoir la liberté en ligne. Cette proposition stigma*tise l'installation de firewalls, ou tout autre moyen, pour filtrer ou bloquer l'accès, via Internet, à des contenus jugés non compatibles avec les options politiques, voire religieuses, des «régimes totalitai*res». La Chine, l'un des grands en*nemis d'Internet selon le classement établi par Reporters sans frontières (RSF), pourrait être le premier pays à supporter les conséquences d'une telle proposition si toutefois cette dernière est adoptée par le Conseil de l'Europe Car, concrètement, il sera d'abord fait mention de la cen*sure sur Internet lors de toutes les négociations commerciales et les pays de l'Europe seraient appelés à prendre des mesures strictes dans le sens d'une «pénalisation» du pays concerné. Et la Chine n'est pas le seul Etat à éventuellement faire les frais des répercussions de cette proposition. L'Arabie Saoudite est tout aussi concernée, mais aussi le Pakistan, la Turquie, la Tunisie et le Maroc.

    Et plus encore, en vertu de cette proposition, les opérateurs européens travaillant avec les pays partenaires de l'Europe devraient y réfléchir à deux fois avant d'aider ces Etats à filtrer ou censurer du contenu sur Internet. Les députés néerlandais du «Parti du peuple pour la liberté et la démocratie» assurent qu'il faut tout faire pour éviter que les opérateurs européens, Wanadoo, France Telecom ou Italia Telecom entre autres, soient partie prenante dans des pratiques de censure comme cela avait été reproché, précédem*ment et à maintes reprises, à des géants américains de l'envergure de Google ou Yahoo. Ce dernier a été sévèrement pris à partie par les Européens pour avoir, estiment-ils, facilité aux autorités chinoises le re*pérage des «dissidents subversifs» sur Internet avant de les mettre au frais pendant de longues années.

    Autre argument de base des députés néerlandais, la censure sur Internet, si elle fait l'affaire des pays liberticides, entrave dans les faits et directe*ment le commerce en ligne, secteur promis à un meilleur avenir. Soumise au Conseil de l'Europe, cette proposition pourrait être adoptée par cette instance ou être amendée et renvoyée, de nouveau, devant les parlementaires européens. Le Maroc connaît déjà quelques «beaux» antécédents en la matière. Après «Google Earth», inaccessi*ble pendant longtemps en 2006, c'est l'affaire Mourtada qui est ve*nue faire déborder le vase. Le jeune ingénieur a écopé de trois ans. Il vient rejoindre la liste des victimes des régimes arabes : Zouhaïr Ya-hyaoui en Tunisie, Karim Ameer efl Egypte et Fouad Al Farhane en Arabie Saoudite.

    Mohammed Boudarham
    Source: Le Soir Echos

  • #2
    oui est pourtant au maroc tu peut acheter et faire du bizeness par le e commerce .........ce qui est impossible en algerie .
    ca s'appelle faire du maroc un pays ou l'internet cree des richesse et pas de la betise .
    a part ca le maroc s'en foue tant que des filial des grandes entreprise etrangeres se bouscules pour investire dans les zone d'offshoring....

    CasaNearshore affiche complet! · Les investisseurs se bousculent

    · Des prestations à la carte


    «L’offre de l’offshoring est bien ficelée». Ces propos sont de Mohamed Lasry, administrateur et directeur général de CasaNeashore, à l’occasion d’une rencontre avec la presse, hier mercredi. Au programme, l’état d’avancement des travaux. «Si des retards ont été enregistrés, ils ont vite été rattrapés et aujourd’hui l’offre marocaine est concrète et prometteuse», décrit-il.
    Dans le détail, le développement du Casablanca Nearshore Park se fera à une cadence annuelle de 50.000m2. La première tranche, d’une superficie de 57.000 m2, est déjà opérationnelle. Livrée fin 2007, des clients de gros calibres (HPS,Tata.) y sont déjà installés. Les responsables de ce parc revendiquent, déjà, un taux d’occupation de 100% pour cette partie finie. Selon la direction du site, un taux de réservation de 100 % est également annoncé pour les prochaines tranches. «Ce succès s’explique par les prestations offertes aux investisseurs», affirme Anouar Atmani, directeur business et stratégie.
    Les bâtiments sont pré-cablés aux normes internationales, une infrastructure telecom en fibres optiques est déjà installée et les bâtiments livrés incluent une armoire technique reliée à tous les services proposés par le site (climatisation, portes au sol, boucle telecom).
    «Nous n’avons pas de locaux standard, nous collaborons avec nos clients sur les versions finales des produits qui seront livrés, car chaque opérateur a ses propres spécificités», souligne Lasry.
    Les investisseurs peuvent aussi compter sur le guichet unique proposé par le site. Il permet d’interagir avec les différents organismes de l’administration au même endroit, Il s’agit notamment du ministère de l’Industrie, du Commerce et de la mise à niveau de l’Economie, du Centre régional des investissement (CRI), de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), de l’Agence nationale de la promotion de l’emploi et des compétences (Anapec) et de la Commune urbaine pour la certification des documents.
    «Nos objectifs ont été atteints, voire dépassés. Nous voulons réaliser 200.000 m2 d’ici 2010 et 350.000 d’ici 2012», ajoute Atmani.
    Au niveau des compétences, la formation de 22.000 personnes d’ici 2009 est annoncée pour accompagner les entreprises.
    Enfin, Mdina Bus promet aussi de soutenir ce projet. Son directeur d’exploitation, Joseph Hoffman, promet pas moins de cinq lignes avec un rythme d’un bus toutes les deux minutes.

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    • #3
      Comme je l'ai dit dans un autre topic:

      Mabrouk aalikoum les nouveaux postes de standartistes et agents,repondeurs au telephone.

      Allo missiou,oui c'est jean marc a l'abareil....mmmdddrrrr.

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      • #4
        jawzia tu te focalise sur des dossier que les gens ici ne connaisse meme pas .................on s'en fou de l'europe et des droit des internaute .....on veut du bizeness et faire travailler des jeunes et des competance.
        c le plus important a part ca c juste des lobby qui font de la pression mais au fond en s'en fou un ptit peu.
        samy casanearshor c de la delocalisation des service informatique et des service monetique et du developement des logicielle .
        si tu veut des centre d'appelle pas ca le maroc est devenue leader.........un teleconseiller au maroc touche apres 1 ans d'experience un contrat CDI +5000 DH de salaire +prime .a rabat
        a casa c 6000DH
        a fes c 4000 DH .
        Dernière modification par axapac, 07 mars 2008, 19h48.

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        • #5
          oui est pourtant au maroc tu peut acheter et faire du bizeness par le e commerce .........ce qui est impossible en algerie .
          ca s'appelle faire du maroc un pays ou l'internet cree des richesse et pas de la betise .
          a part ca le maroc s'en foue tant que des filial des grandes entreprise etrangeres se bouscules pour investire dans les zone d'offshoring....

          la tu es hors sujet. On parle de censure sur l'internet. Ou le maroc est concerné au même titre que la tunisie.
          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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