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Farouk Ksentini appelle Bouteflika à intervenir auprès des autorités libyennes pour transférer les prisonniers algériens en Algérie
Farouk Ksentini, président de la commission nationale consultative pour la promotion et de la protection des droits de l’Homme, a considéré, lors de l’assemblée générale qu’il a tenue jeudi à Constantine, que la situation des prisonniers algériens détenus dans les prisons libyennes est plus que préoccupante, et il a appelé le président de la République à intervenir auprès des autorités libyennes, afin de les transférer vers l’Algérie, dans les plus brefs délais.
Farouk Ksentini a exprimé, lors de l’assemblée générale de la commission nationale des droits de l’Homme, son inquiétude, vis-à-vis des mauvaises conditions d’emprisonnement des détenus algériens dans les prisons libyennes, après qu’il ait qualifié de barbares les peines prononcées à leur encontre par la justice libyenne, entre amputation de la main, peine capitale et prison à perpétuité, pour de simples affaires. De plus, Ksentini a indiqué que les autorités libyennes ont imposé aux Algériens désireux de se rendre à la Jamahiriya, le payement d’une somme de 1 000 euros, équivalant à 11 millions de centimes.
Dans le même contexte, Farouk Ksentini a déclaré qu’il s’était entretenu avec l’ambassadeur américain à Alger, Robert Ford, au sujet des 17 prisonniers algériens de Guantanamo, et l’ambassadeur lui a assuré que « les prisonniers vont être bientôt libérés et même avant que Georges Bush ne quitte la Maison-Blanche, au mois de novembre prochain ». Ksentini a, par ailleurs, refusé de placer ces Algériens sous contrôle, dès leu arrivée au pays, et de les empêcher de quitter le territoire national, d’autant plus que les dossiers des 17 détenus ne sont pas liés à des affaires de terrorisme en Algérie.
Farouk Ksentini, président de la commission nationale consultative pour la promotion et de la protection des droits de l’Homme, a considéré, lors de l’assemblée générale qu’il a tenue jeudi à Constantine, que la situation des prisonniers algériens détenus dans les prisons libyennes est plus que préoccupante, et il a appelé le président de la République à intervenir auprès des autorités libyennes, afin de les transférer vers l’Algérie, dans les plus brefs délais.
Farouk Ksentini a exprimé, lors de l’assemblée générale de la commission nationale des droits de l’Homme, son inquiétude, vis-à-vis des mauvaises conditions d’emprisonnement des détenus algériens dans les prisons libyennes, après qu’il ait qualifié de barbares les peines prononcées à leur encontre par la justice libyenne, entre amputation de la main, peine capitale et prison à perpétuité, pour de simples affaires. De plus, Ksentini a indiqué que les autorités libyennes ont imposé aux Algériens désireux de se rendre à la Jamahiriya, le payement d’une somme de 1 000 euros, équivalant à 11 millions de centimes.
Dans le même contexte, Farouk Ksentini a déclaré qu’il s’était entretenu avec l’ambassadeur américain à Alger, Robert Ford, au sujet des 17 prisonniers algériens de Guantanamo, et l’ambassadeur lui a assuré que « les prisonniers vont être bientôt libérés et même avant que Georges Bush ne quitte la Maison-Blanche, au mois de novembre prochain ». Ksentini a, par ailleurs, refusé de placer ces Algériens sous contrôle, dès leu arrivée au pays, et de les empêcher de quitter le territoire national, d’autant plus que les dossiers des 17 détenus ne sont pas liés à des affaires de terrorisme en Algérie.
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