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Espionnes marocaines du Mossad israelien

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  • Espionnes marocaines du Mossad israelien

    Espionnes marocaines du Mossad
    Mouna Izddine



    Teint doré, petite coupe à la garçonne, look exotic-chic, yeux pétillants, regard charmeur, démarche gracieuse et élocution parfaite. Sous ses airs légers et désinvoltes de métropolitaine bien dans sa peau, Nabila F., la quarantaine épanouie, cache remarquablement son jeu.
    Nabila est, comme on l'appelle dans le jargon du renseignement, un officier traitant. C'est ce qui ressort des révélations d'une certaine Jocelyne Baini, sur le site www.doubtcom.com.
    Polyglotte, instruite, intelligente, perspicace et discrète, c'est l'une des recrues étrangères hautement opérationnelle d'une des plus puissantes agences de renseignement dans le monde, le Mossad israélien. Chargé, à côté du Shabak (ex Shin Bet, sécurité générale intérieure) et de l'Aman (renseignement militaire), de la sécurité extérieure (renseignement, opérations clandestines et lutte anti-terroriste).
    Nabila chapeaute un réseau de 12 agents secrets en jupons, toutes Marocaines comme elle, dont sa sœur, engagée à l'âge de 12 ans. Repérée en décembre 2001 par le «sayan» Albert M., un agent dormant du Mossad établi au Maroc, dans une soirée mondaine à Casablanca, celui-ci lui présentera quelques mois plus tard à Paris, Joseph B., chasseur de têtes pour les services secrets israéliens. Nabila, diplômée en sciences politiques et en langues étrangères, hésitante au début, finira par accepter de travailler comme «katsa». Autrement dit, comme officier de renseignement, pour le compte de l'Institut pour les renseignements et les affaires spéciales, moyennant une rémunération initiale alléchante de 70.000 euros par an.
    Mais pas seulement. Car, en plus d'un salaire fixe, elle s'est vu proposer, comme nombre d'agents secrets, d'autres émoluments et avantages en nature: prime pour certaines opérations à risque élevé, passeports de plusieurs pays occidentaux, voiture et appartement personnel dans une métropole de son choix, ouverture d'un compte bancaire en Suisse, quelques bijoux précieux et vacances annuelles vers sa destination préférée. Et, bien sûr, augmentation de salaire avec l'expérience et les années passées au service de l'agence. Tous les ingrédients de la motivation étaient là.
    Tests psychologiques, entraînement au combat, à la filature, à la résistance à la torture, maniement des armes légères, perfectionnement en informatique, cours de linguistique… Nabila suit une formation intensive et pointue en espionnage pendant plusieurs mois dans la région de Haïfa. Jonglant avec les passeports et les identités. Imitant à merveille les multiples accents orientaux. Au gré des missions, elle est tour à tour journaliste marocaine, beurette bénévole dans l'humanitaire, enseignante tunisienne d'arabe classique. Comédienne belge d'origine libanaise, assistante de direction libyenne. Ou encore organisatrice émiratie d'événements artistiques. Nabila apprend vite et fait montre d'une telle efficacité qu'elle se voit à son tour confier le recrutement de nouveaux agents féminins.



    Nous sommes en 2003. Meir Dagan poursuit alors la politique d'ouverture du Mossad, entamée en l'an 2000, sous la direction d'Ephraïm Halevy (1998-2002), alors que la seconde Intifada battait son plein. Et que la communauté internationale dénonçait massivement les exactions croissantes de l'Etat hébreu contre le peuple et les dirigeants palestiniens.
    Plus que jamais, Israël a besoin d'être informé de tout ce qui peut, de près ou de loin, attenter à son existence, sa sécurité ou sa pérennité. Le Mossad s'essaie même au recrutement en ligne (www.mossad.gov.il). Les attentats du 11 septembre 2001 finissent de convaincre l'Institut (créé initialement en 1951 sous David Ben Gourion pour faciliter l'Aliyah, le retour vers le jeune Israël né en mai 1948) de la priorité de renforcer ses antennes périphériques. Notamment et surtout dans les nations et auprès des faiseurs d'opinion (hommes et institutions) et des centres de décision politico-économiques arabes et musulmans. Le mieux est d'embaucher des gens du cru, des autochtones. Et, pourquoi pas, des femmes. Enrôlées de gré (en échange de contreparties conséquentes) ou, comme le prétend Nima Zamar, dans Je devais aussi tuer ( Albin Michel, 2003), de force (chantage, viol, menaces…).

    A suivre...


  • #2
    Attirant peu les soupçons et les méfiances, le “sexe faible” dispose en plus d'un arsenal inné redoutable. Enveloppe charnelle qui s'avère parfois plus efficace et plus pointue que n'importe quel équipement d'artillerie lourde. Oeillades suggestives, balconnet plongeant, danse lascive, paroles coquines, alcool et autres paradis artificiels aidant, et voilà, à l'usure, le plus récalcitrant des hommes dans vos filets, le corps en feu et la langue déliée. Autant de “bombes anatomiques au service des Services” à dissimuler et disperser ici et là, en fonction des besoins et des missions du moment.
    Aujourd'hui basé à Tel-Aviv, le Mossad emploierait quelque 1.500 personnes depuis ses quartiers généraux, dont près de 20% de femmes.
    L'Institut s'est déjà, par le passé, assuré de l'efficacité de ses agents féminins, dont certaines ont réussi d'admirables faits d'armes. Parmi les plus célèbres des James Bond girls du Mossad, Cindy, de son vrai nom Cheryl Hanin Bentov. Cette dernière est parvenue à piéger Mordechaï Vanunu, israélien d'origine marocaine converti au christianisme, et ancien technicien à la centrale nucléaire de Dimona (construite au début des années 60 dans le désert du Neguev). Celui-ci avait révélé au Sunday Times, le célère quotidien britannique, l'existence d'ogives nucléaires dans les sous-sols de la même centrale. Pour avoir accepté, le 30 septembre 1986, l'invitation à Rome de cette belle plante croisée dans une rue londonienne, Mordechaï Vanunu, traître pour les uns, héros pour les autres, se retrouvera, drogué, kidnappé puis expédié clandestinement en bateau vers Israël. Avant d'être incarcéré pendant 18 ans à la prison de Shikma, près d'Ashkelon.

    Autre preuve de la place grandissante de la gent féminine au cœur des services secrets israéliens, sous Shabtai Shavit (1990-1996), le numéro deux du Mossad n'était autre qu'une femme, Aliza Magen.
    Ceci étant, quelles femmes s'allier dans le monde arabo-musulman?
    Au sein de ce dernier, Israël connaît bien le Maroc (voir encadré). Et sait aussi que les Marocaines peuvent faire preuve d'une détermination et d'une efficience étonnantes dans les causes qui leur tiennent à cœur. Qui ne se souvient pas des sacrifices consentis pour la cause palestinienne et l'identité arabe (5 ans dans les geôles israéliennes, 7 ans de guerre civile au Liban) par les sœurs Rita et Nadia Bradley? Mais comment faire pencher la balance de son côté? En y mettant le prix fort, les services secrets israéliens parient qu'ils pourront au moins s'adjoindre la coopération précieuse de quelques-unes d'entre elles, fut-elle ponctuelle.
    C'est ainsi que l'agent Nabila, désormais chasseuse de tête et formatrice, voit sa prime grimper. Elle rentre un certain temps au Maroc. Histoire de repérer des filles du pays correspondant au plus près aux critères exigés par les services d'espionnage israéliens. Elle en cueille une dizaine, jeunes, jolies et coquettes, de milieux socio-culturels différents. Parmi lesquelles Widad, Asmae, Majdouline, Noura, Laïla, Hanane, Siham ou encore Nawal et Karima.
    Argent, alcool, sexe, drogue?
    Certains agents recruteurs s'adressent aux réseaux de trafic humain, comme c'est le cas d'après les témoignages de repenties, de mineures russes vendues parfois par leurs propres parents à la mafia locale. Avant d'être exploitées par le crime organisé au Moyen-Orient et ailleurs puis forcées à collaborer avec le Mossad. Nabila, elle, a ses propres procédés. Elle détecte les faiblesses des unes et des autres, leur faisant miroiter mille et une promesses en échange de leur collaboration. Certaines rêvent d'une vie luxueuse, d'argent facile et d'horizons cléments. D'autres ne demandent qu'une petite aide pour leur famille démunie ou espèrent rencontrer un étranger qui leur assurerait une existence décente.

    A suivre...

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    • #3
      Quelques-unes contractent sans le savoir des mariages de complaisance (zawaj orfi) avec des ressortissants des monarchies pétrolières, avant de se rendre compte, une fois sur place, du véritable but de leur venue.
      Avec sérieux et discipline, Nabila enseigne à ses protégées, les rudiments de la parfaite petite espionne: se fondre dans la masse, faire preuve d'empathie, tout en restant réservée et vague sur sa personne. Quitte à s'inventer un tout autre vécu pour brouiller les pistes.
      En parallèle, les jeunes mercenaires affûtent leurs armes de séduction: cours de culture générale, de maintien et de bonnes manières, séances de perfectionnement en cuisine et en danse orientale, diètes amincissantes, shopping dans des enseignes de luxe…
      Les voilà fin prêtes. De Casablanca à Damas, en passant par Bagdad, le Caire, Washington, Paris et Nairobi, Nabila et son staff se lancent dans des missions plus ou moins périlleuses, chacune sous une couverture différente. Les moins instruites sont affectées à des postes de domestiques, de filles au pair ou de masseuses. Les plus agiles et les plus jolies embauchées comme danseuses dans des boîtes de nuit huppées, tandis que les plus futées sont introduites dans des ONG internationales. Les cibles de ces Mata Hari en herbe sont claires: députés, diplomates, ministres, activistes, hommes d'affaires, magistrats. Hauts gradés de la police, de l'armée et de la gendarmerie. Ou encore journalistes influents et experts en géostratégie ou en terrorisme (entre autres) exerçant dans les pays arabes et limitrophes ou en dehors.
      Les objectifs aussi sont bien définis: obtenir des renseignements auprès de ces notables -à leur insu ou par chantage- sur leurs positions (et leur degré d'implication idéologique et matérielle), entre autres, quant à l'Etat hébreu et sa politique. Ses relations avec les pays arabo-musulmans, la situation au Proche et au Moyen-Orient, la légitimité des régimes arabes actuels auprès de leurs populations. Ou encore leur opinion par rapport à la montée de l'islamisme dans le monde. Autant d'informations précieuses qui aideront par la suite la division Recherche et Etudes du Mossad (l'un de ses 8 départements) à rédiger ses rapports, remis au final au Premier ministre en personne.
      Noura, Hanane et Majdouline sont ainsi chargées d'impliquer d'influentes personnalités américaines d'origine arabe, antisionistes, dans des scandales sexuels, en prenant soin de filmer leurs ébats avec ces derniers. Siham, pour sa part, se voit confier la fonction de fournisseur attitré de stupéfiants pour l'équipe. Tandis qu'Asmae, avec quatre de ses acolytes, décroche un job dans un club de nuit à Beyrouth fréquenté par des fonctionnaires hauts placés. Avec ses amies, elles réussissent à approcher Georges Frem (mort en 2006), député et ministre de l'Industrie au sein du gouvernement Hariri. Asmae entre également en contact à Chypre avec un Israélien dénommé Berel et un Syrien, Marwan. Ces deux hommes la chargent avec Yakatserina Shasternick, originaire de la ville de Minsk (Biélorussie), de dénicher de jolies filles pour animer des dîners à l'Hôtel Phoenicia de Beyrouth. Un établissement réputé depuis des décennies, comme un lieu de rencontre pour des trafiquants d'armes et des agents secrets du monde entier. Karima, jeune casablancaise de confession hébraïque, s'occupe pour sa part de la filature d'un citoyen arabo-américain proche de l'administration Bush à Washington.
      Lors de sa dernière mission, Nabila devait pour sa part séduire de riches businessmen américains d'origine arabe, défenseurs avoués du processus de paix en Palestine, et vérifier si ceux-ci l'étaient effectivement. Il est aussi arrivé à la jeune Marocaine, assistée de certaines de ses consoeurs d'Europe Centrale, d'Asie ou d'Afrique de l'Ouest, de collaborer avec la CIA dans le cadre d'opérations communes. Ou avec d'autres services secrets de pays amis d'Israël ou n'ayant pas de contacts normalisés avec l'Etat hébreu. Nabila travaillera-t-elle un jour avec la division des opérations spéciales du Mossad, connue sous le nom Action, l'unité chargée des éliminations physiques de cibles sensibles, des opérations paramilitaires et de sabotage? Certains services secrets soupçonnent en tout cas ce petit bout de femme d'avoir fait partie, alors qu'elle officiait aux Emirats Arabes Unis, du même groupe d'agents turcs et saoudiens, auteurs présumés du meurtre et de la mutilation, le 24 septembre 1980, du journaliste libanais pro-indépendantiste (de la revue Al Hawadess)et anti-syrien, Salim el Laouzi.
      Nabila n'est pas dupe. Elle sait qu'elle risque sa vie avec ce métier de l'ombre dont elle a peur de ne plus pouvoir se passer. Et que ses recruteurs ne viendront pas à sa rescousse si elle tombe dans les filets de leurs ennemis. Mata Hari n'a-t-elle pas été fusillée par la France en 1917, cette nation même pour laquelle elle se disait espionne? Et, le 18 mai 1965, Kamil Amin Tabet, l'agent israélien Elie Cohen, n'a-t-il pas été pendu sur la place publique à Damas? Et que dire des ratés de plus en plus fréquents du Mossad, sachant que, à titre d'exemple, pour la seule année 1996, les Egyptiens ont démantelé 7 réseaux d'espionnage israéliens… contre 20 pour les 15 années précédentes? Jusqu'où Nabila et ses collègues seraient-elles prêtes à aller?
      Une chose est sûre: fichées par Interpol et de nombreux services secrets à travers le monde, Nabila F. et sa douzaine de collaboratrices, se sont aujourd'hui, évaporées dans la nature. Envolées vers d'autres cieux, repenties ou... en quête d'autres proies?


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      • #4
        Espionnes marocaines du Mossad : çà m etonne pas qu elles sont utilisées aussi pour la propagande et l intox en utilisant le NET ...
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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        • #5
          Pour ma part, je suis étonné qu'on sache qu'une espionne est espionne...

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          • #6
            Sujet dejà discuté en long et en large.

            Bref ! la diarrhée anti-Maroc continue.

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            • #7
              chicha,

              Il n'y a aucun mal,a se rememorer de bons souvenir tres evocateurs de temps a autres.

              En ce qui concerne la suposee posture anti-maroc de certains Faisistes,il n'en est rien je te l'assure,ces postes ne sont que des reponses du tac au tac aux agitations de la brigade montee royale qui squatte ce forum et qui accumule les gesticulations et les diaribes a l'encontre de l'Algerie ces derniers jours.

              Qui s'y frote s'y pique.

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              • #8
                Sujet dejà discuté en long et en large.

                On en avait parlé en effet, mais en Algérie y a une histoire similaire, c'était un journaliste, on en a aussi discuter sur le forum.
                Etre espionne marocaine pour les israelien n'est pas vraiment de la traitrise, le maroc ne cache pas ses liens avec israel, et israel non plus, puisque toujours sur ce même forum, il y a eu un article brianique des documents israéliens parlant de la précieuse aide marocaine lors de la guerre qui opposa arabe et isrelien.Il y avait aussi un autre article dévoilant l'aide isrélienne au royaume lors de la guerre des sables.Toute cette "amitié" est due comme l'on souligné les marocains du forum au nombre important de juifs marocain en israel qui représentent la majorité.
                On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

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                • #9
                  cest bon, on sait pourquoi la palestine senfonce avec des pays comme le maroc!! le mot "traite" doit être les premières lettres de alphabet marocain!

                  il faut poster ça sur un site de soutien à la palestine!!!

                  les musulmans se rendront compte de votre fellonie!!!!

                  Commentaire


                  • #10
                    Pour ma part, je suis étonné qu'on sache qu'une espionne est espionne...
                    c le cas en général, sauf qu'ici le mossad a engagé un recruteur d'espionnes médiocre, les recrues sont des vraies pipelettes et qui ont un besoin urgent de se confier, à n'importe qui, et de livrer les infos sur elles et sur le mossade:22: , le mossad n'est plus ce qu'il était, une petite déprime de cette organisation? restriction de budget?

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                    • #11
                      le mot "traite" doit être les premières lettres de alphabet marocain!
                      ma parole vous êtes des malades wllah !

                      tu es racistes tout simplement, comme beaucoup de gens ici.
                      ce qui est en soit débile et ridicule, quand on regarde nos origines.

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                      • #12
                        Hbibna marokino12 bonjour.

                        Va voir sur tous les forums marocains on n'insulte jamais l'Algerie et on les respectes .

                        Certes pas tous mais la plupart de ces "forums" c'est de l'insulte.
                        Arretes de divaguer.
                        Ce sont des insultes généralement en totale méconnaissance des réalités.
                        Je ne leur en veux pas,pour la simple raison qu'ils sont matraqués par TVM 2M et Médi1 interposés qui sans relache,sont là à rabacher et vociférer la propagande Makhzénienne.

                        ..et comme tu l'as si bien dis:Respecte tes voisins.

                        PS: "Wa khalik f 'sbaghtek azzine" .
                        La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
                        De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
                        .
                        Merci.
                        " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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                        • #13
                          A Samy111

                          Merci beaucoup samy pour cet article très interessant, tu m'as appris quelquechose aujourd'hui, et sincèrement ça me donne la chair de poule!!grrrrrrrrrr

                          Comment peut on trahir sa culture et s'assimiler à l'ennemie pour du "luxe" sur terre, alors que ce n'est pas une vie en verité....

                          leur vie est menacée à chaque seconde, elles n'ont aucunes dignitée, respect d'elles meme, aucunes conscience, c'est inimaginable...
                          "Trésors Cachés"

                          Commentaire


                          • #14
                            A Rica!!

                            Citation:

                            c le cas en général, sauf qu'ici le mossad a engagé un recruteur d'espionnes médiocre, les recrues sont des vraies pipelettes et qui ont un besoin urgent de se confier, à n'importe qui, et de livrer les infos sur elles et sur le mossade:22:

                            Tout à fait Rica, je te rejoins, surtout que ces filles, sont à la majorité venu de milieu defavorisé et ce qui motive leur choix c'est le Materiel.

                            Elles ont des atouts de charmes et de "vices", mais ça ne suffit pas dans la durée.

                            Je pense que le Mossad, fais des promotions, des petites économie budjétaire!
                            "Trésors Cachés"

                            Commentaire


                            • #15
                              juste ue information connexe : le maroc a fait moderniser ses avions de chasse par des compagnies israeliennes

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