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Renforcer les investissements français en Algérie, tel est le but de la visite, depuis jeudi en France, du ministre des Finances, M. Karim Djoudi.
Il a rencontré, au cours de la première journée de son périple, le ministre français du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique, M. Eric Woerth.
Les entretiens entre les deux responsables ont porté dans l’ensemble sur un programme de renforcement du partenariat entre les deux pays, a indiqué hier l’APS.
Un partenariat qui prévoit, entre de nombreux autres segments, l’élévation de l’Ecole des douanes d’Oran au rang d’école nationale et son jumelage avec son homologue française de Tourcoing, dans le nord de la France, qu’a visitée le ministre, hier, vendredi. Il y a aussi la mise en place d’un observatoire des prix, la création d’unités de formation dans le secteur des domaines, lesquelles sont, entre autres axes, autant d’éléments qui vont « conforter le plan de coopération » existant entre les ministères algérien et français. Le ministre des Finances a ensuite rencontré une délégation du Medef (patronat) composée d’une soixantaine d’entrepreneurs français, tous secteurs confondus, dont de nombreux banquiers. Cette rencontre avait porté sur l’évolution des réformes économiques et financières en Algérie et les perspectives de consolidation du processus d’investissements.
Elle a été l’occasion pour le responsable des finances algériennes de présenter « les évolutions des réformes économiques et financières » afin « de conforter un peu plus le processus des investissements » français en Algérie. Au cours d’un point de presse, le ministre a eu l’occasion d’affirmer la tendance haussière des investissements en Algérie. « Il y a aujourd’hui un mouvement d’investissements croissant que nous souhaitons voir conforter », a-t-il indiqué, expliquant avoir « essayé de répondre aux questions et aux attentes » des investisseurs qui sont aujourd’hui présents dans un certain nombre d’activités, dont les banques, les services, l’agroalimentaire ou encore le médicament.
« Un des objets de ma visite, qui va avoir un impact fort sur le mouvement d’investissements, est la signature vendredi [hier] d’une convention qui va mettre fin à une gêne pour pouvoir effectuer des investissements dans le domaine des assurances et qui permettra à des compagnies françaises d’intervenir sur le marché des assurances » en Algérie.
Sur le plan financier, Karim Djoudi estime que « l’une des questions fortes qui a été posée », lors de cette rencontre avec le MEDEF, a été « le devenir du marché financier » algérien.
L’intérêt de cette question est lié au fait que « dans la perspective d’un développement du marché des assurances, ce développement doit être adossé à celui du marché financier », a-t-il précisé.
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Il a rencontré, au cours de la première journée de son périple, le ministre français du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique, M. Eric Woerth.
Les entretiens entre les deux responsables ont porté dans l’ensemble sur un programme de renforcement du partenariat entre les deux pays, a indiqué hier l’APS.
Un partenariat qui prévoit, entre de nombreux autres segments, l’élévation de l’Ecole des douanes d’Oran au rang d’école nationale et son jumelage avec son homologue française de Tourcoing, dans le nord de la France, qu’a visitée le ministre, hier, vendredi. Il y a aussi la mise en place d’un observatoire des prix, la création d’unités de formation dans le secteur des domaines, lesquelles sont, entre autres axes, autant d’éléments qui vont « conforter le plan de coopération » existant entre les ministères algérien et français. Le ministre des Finances a ensuite rencontré une délégation du Medef (patronat) composée d’une soixantaine d’entrepreneurs français, tous secteurs confondus, dont de nombreux banquiers. Cette rencontre avait porté sur l’évolution des réformes économiques et financières en Algérie et les perspectives de consolidation du processus d’investissements.
Elle a été l’occasion pour le responsable des finances algériennes de présenter « les évolutions des réformes économiques et financières » afin « de conforter un peu plus le processus des investissements » français en Algérie. Au cours d’un point de presse, le ministre a eu l’occasion d’affirmer la tendance haussière des investissements en Algérie. « Il y a aujourd’hui un mouvement d’investissements croissant que nous souhaitons voir conforter », a-t-il indiqué, expliquant avoir « essayé de répondre aux questions et aux attentes » des investisseurs qui sont aujourd’hui présents dans un certain nombre d’activités, dont les banques, les services, l’agroalimentaire ou encore le médicament.
« Un des objets de ma visite, qui va avoir un impact fort sur le mouvement d’investissements, est la signature vendredi [hier] d’une convention qui va mettre fin à une gêne pour pouvoir effectuer des investissements dans le domaine des assurances et qui permettra à des compagnies françaises d’intervenir sur le marché des assurances » en Algérie.
Sur le plan financier, Karim Djoudi estime que « l’une des questions fortes qui a été posée », lors de cette rencontre avec le MEDEF, a été « le devenir du marché financier » algérien.
L’intérêt de cette question est lié au fait que « dans la perspective d’un développement du marché des assurances, ce développement doit être adossé à celui du marché financier », a-t-il précisé.
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