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Investissements Iranien en Algérie pour 2008: Plus d’un milliard de dollars dans le bâtiment
Dans une rencontre avec « echoroukonline » le responsable du centre expliquera longuement le processus qu’ont suivi les hommes d’affaires iraniens dans leurs investissements depuis la création du centre. « Nous avons effectuée une première rencontre il y a deux ans c'est-à-dire en 2006 », a déclaré le responsable très confiant du climat d’investissement qui règne dans notre pays. Il explique : les relations étaient entre le ministère de l’Algérie et de l’Iran qui avait signé au début l’agrément pour le début de l’activité. La deuxième rencontre a eu lieu au mois de juillet 2007, durant laquelle ils ont procédé à des signatures de conventions dans le domaine du tourisme et en économie. Il est prévu à la troisième rencontre des discutions pour modifier et la réviser les taxes et charges de douanes auxquelles nous sommes soumis. M.Moeni souligne à cet effet : « les iraniens paient 30% de taxes sur les importations des produits en provenance d’Iran tandis que les européens ne paient que 7%au plus 10%. Ce fait rend la concurrence plus rude ». Avec une diminution des taxes « on pourra étudier les prix de nos produits qui sont de bonne qualité qui pourront concurrencer les produits européens. Et ITC (Iran Trade Center) est prêt à donner les meilleurs prix sur des produits iraniens et que personne ne donnera ».
Le représentant iranien affirme « je fais de mon mieux pour introduire l’Iran en Algérie, car ce sont deux pays musulmans et l’Algérie a beaucoup fait pour l’Iran et a été notre amie, nous devons la récompenser ».
Pour ce qui est des investissements iraniens en Algérie le même responsable assure : « pour cette année nous avons investit plus d’un milliard de dollars dans la construction ». C’est un projet de d’une grande tour de 34 étages avec Mohammed Sahraoui et autres projet de 60 habitations avec un autre promoteur privé Algérien, et les iraniens se disent être « prêts à investir davantage ». Rappelons que les iraniens ont réalisé selon M.Moeni « environ 80% des constructions de Dubaï avec des investisseurs iraniens ».ce dernier renchérit « Nous cherchons d’autres pays, alors pourquoi pas l’Algérie ».
Le manager s’étalera longuement sur son expérience en Algérie : j’ai également conduit une délégation à Batna durant cette visite nous avons visité la mosquée ou nous avons décidé de placer un système de climatisation et là on a reçu de vifs remerciements de par les représentants locaux vu qu’ils ont essayé tous les moyens depuis deux ans sans trouver un moyen qui soit efficace.
Et c’est depuis près d’une année que le investisseurs ont introduits , plusieurs marques automobiles vers l’Algérie à savoir la « Samand », un modèle près de la 406 Peugeot, la « Peugeot 2006 » (Peugeot persane), et la « Saipa ».
M. Moeni souligne, par ailleurs : « les hommes d’affaires iraniens ont investit un montant de 300 millions d’euros, dans une usine de ciment dans la wilaya d’Adrar et un carrière qui est située à quelques kilomètres de cette ville. Les investisseurs ont en outre signé deux contrats avec l’OPGI pour la réalisation de 250 logements sociaux dans les wilayas de Blida et de Tipaza. Des biscuits Iraniens « Shirin Assal »seront disponibles dans une vingtaine de jours dans les surfaces et les superettes algériennes, avec une autre marque de chocolat « Aidin » qui sera bientôt importée d’Iran. Les importateurs iranien ont signé d’autres contrats pour l’importation de pistaches, de poudre de lait de deux types : 0% et 25% de matière grasse, et raisins secs.
Pour notre part « nous produisons de tout dans notre pays et nous avons de bonnes relations avec notre entourage, et les produits Iraniens peuvent très bien faire l’affaire », rappelle le responsable. « On s’occupe de tous types de constructions, de matériel électronique et de télécommunication de radiateurs », Je vous cite un exemple, une lampe chinoise achetée à 50 dinars a une durée de vie de 3 mois, en revanche une lampe iranienne qui en coûte 30 peut durer jusqu’à cinq ans. La presse et les médias sont très importants pour nous, les algériens ne connaissent pas grand-chose sur l’Iran, j’ai invité un algérien à aller en Iran une semaine après son retour à Alger il a pleuré pour repartir. Un autre algérien qui s’est également rendu en Iran m’a dit que la cause de cette image négative de l’Iran à cause des médias.
En questionné sur les entraves que rencontrent ces investisseurs en Algérie l’orateur constate : « les établissements bancaires observent des lourdeurs, le système bancaire algérien est ancien, et il devra être modifié ». Pour lui : « Si ce système change il sera plus efficace notamment pour le transfert d’argent ». Un autre problème se pose, et c’est » la bureaucratie » et « c’est pour cela que je vends du papier » dira- t-il. Mais « ça sera pour nous un plaisir de transférer notre savoir faire et notre technologie et introduire chacun des deux pays si les Iraniens sont convaincus », conclut M.Moeni.
achourouk
Dans une rencontre avec « echoroukonline » le responsable du centre expliquera longuement le processus qu’ont suivi les hommes d’affaires iraniens dans leurs investissements depuis la création du centre. « Nous avons effectuée une première rencontre il y a deux ans c'est-à-dire en 2006 », a déclaré le responsable très confiant du climat d’investissement qui règne dans notre pays. Il explique : les relations étaient entre le ministère de l’Algérie et de l’Iran qui avait signé au début l’agrément pour le début de l’activité. La deuxième rencontre a eu lieu au mois de juillet 2007, durant laquelle ils ont procédé à des signatures de conventions dans le domaine du tourisme et en économie. Il est prévu à la troisième rencontre des discutions pour modifier et la réviser les taxes et charges de douanes auxquelles nous sommes soumis. M.Moeni souligne à cet effet : « les iraniens paient 30% de taxes sur les importations des produits en provenance d’Iran tandis que les européens ne paient que 7%au plus 10%. Ce fait rend la concurrence plus rude ». Avec une diminution des taxes « on pourra étudier les prix de nos produits qui sont de bonne qualité qui pourront concurrencer les produits européens. Et ITC (Iran Trade Center) est prêt à donner les meilleurs prix sur des produits iraniens et que personne ne donnera ».
Le représentant iranien affirme « je fais de mon mieux pour introduire l’Iran en Algérie, car ce sont deux pays musulmans et l’Algérie a beaucoup fait pour l’Iran et a été notre amie, nous devons la récompenser ».
Pour ce qui est des investissements iraniens en Algérie le même responsable assure : « pour cette année nous avons investit plus d’un milliard de dollars dans la construction ». C’est un projet de d’une grande tour de 34 étages avec Mohammed Sahraoui et autres projet de 60 habitations avec un autre promoteur privé Algérien, et les iraniens se disent être « prêts à investir davantage ». Rappelons que les iraniens ont réalisé selon M.Moeni « environ 80% des constructions de Dubaï avec des investisseurs iraniens ».ce dernier renchérit « Nous cherchons d’autres pays, alors pourquoi pas l’Algérie ».
Le manager s’étalera longuement sur son expérience en Algérie : j’ai également conduit une délégation à Batna durant cette visite nous avons visité la mosquée ou nous avons décidé de placer un système de climatisation et là on a reçu de vifs remerciements de par les représentants locaux vu qu’ils ont essayé tous les moyens depuis deux ans sans trouver un moyen qui soit efficace.
Et c’est depuis près d’une année que le investisseurs ont introduits , plusieurs marques automobiles vers l’Algérie à savoir la « Samand », un modèle près de la 406 Peugeot, la « Peugeot 2006 » (Peugeot persane), et la « Saipa ».
M. Moeni souligne, par ailleurs : « les hommes d’affaires iraniens ont investit un montant de 300 millions d’euros, dans une usine de ciment dans la wilaya d’Adrar et un carrière qui est située à quelques kilomètres de cette ville. Les investisseurs ont en outre signé deux contrats avec l’OPGI pour la réalisation de 250 logements sociaux dans les wilayas de Blida et de Tipaza. Des biscuits Iraniens « Shirin Assal »seront disponibles dans une vingtaine de jours dans les surfaces et les superettes algériennes, avec une autre marque de chocolat « Aidin » qui sera bientôt importée d’Iran. Les importateurs iranien ont signé d’autres contrats pour l’importation de pistaches, de poudre de lait de deux types : 0% et 25% de matière grasse, et raisins secs.
Pour notre part « nous produisons de tout dans notre pays et nous avons de bonnes relations avec notre entourage, et les produits Iraniens peuvent très bien faire l’affaire », rappelle le responsable. « On s’occupe de tous types de constructions, de matériel électronique et de télécommunication de radiateurs », Je vous cite un exemple, une lampe chinoise achetée à 50 dinars a une durée de vie de 3 mois, en revanche une lampe iranienne qui en coûte 30 peut durer jusqu’à cinq ans. La presse et les médias sont très importants pour nous, les algériens ne connaissent pas grand-chose sur l’Iran, j’ai invité un algérien à aller en Iran une semaine après son retour à Alger il a pleuré pour repartir. Un autre algérien qui s’est également rendu en Iran m’a dit que la cause de cette image négative de l’Iran à cause des médias.
En questionné sur les entraves que rencontrent ces investisseurs en Algérie l’orateur constate : « les établissements bancaires observent des lourdeurs, le système bancaire algérien est ancien, et il devra être modifié ». Pour lui : « Si ce système change il sera plus efficace notamment pour le transfert d’argent ». Un autre problème se pose, et c’est » la bureaucratie » et « c’est pour cela que je vends du papier » dira- t-il. Mais « ça sera pour nous un plaisir de transférer notre savoir faire et notre technologie et introduire chacun des deux pays si les Iraniens sont convaincus », conclut M.Moeni.
achourouk