Quand les enfants se dévoilent dans les rues
Meurent de soif.. de colère
La soif d’une liberté verte
Et si tu pense à eux dans tes prières
Quand tu te sent si proche de Dieu
Plus proche que n’importe qui de chez nous
Chez nous les limites de ta conscience
Et ceux qui ont étranglé les nations
Et les espoirs des indépendances
Tracé les frontières avec le sang
Si je meure avec le pays.. la patrie
Peut être le rêve vivra.. mourra
Et brûlera vite sur le plancher de tes rêveries
Une médaille de cendres..
Je déchire ce passeport qui me conduit
Devant les murs de vos citadelles
Pour qui vous faites l’éloge des cieux
Le ciel est asséché si longtemps
Dans nos âmes le rêve et perdu
Les enfants pleurent les heures
Et cherchent des abris de fortunes
Sous les cathédrales et sous les chars
Quand les enfants meurent
J’étais naïf de croire que l’âme..
De toutes les nations du monde
Tremblera à la mort de l’enfant
Mais non.. la réalité désenchante
Les jeux continuent avec les paris lourds
Les villes continuent de respirer
Le bruit des consommations
Le carburant continu de brûler
Et le prix d’augmenter.. si cher
Que la vie d’un enfant
La blessure et secrète.. le sang de la rose
Mais la plaie est ouverte
A jamais ouverte..
La plaie à jamais ouverte
Postr@
Meurent de soif.. de colère
La soif d’une liberté verte
Et si tu pense à eux dans tes prières
Quand tu te sent si proche de Dieu
Plus proche que n’importe qui de chez nous
Chez nous les limites de ta conscience
Et ceux qui ont étranglé les nations
Et les espoirs des indépendances
Tracé les frontières avec le sang
Si je meure avec le pays.. la patrie
Peut être le rêve vivra.. mourra
Et brûlera vite sur le plancher de tes rêveries
Une médaille de cendres..
Je déchire ce passeport qui me conduit
Devant les murs de vos citadelles
Pour qui vous faites l’éloge des cieux
Le ciel est asséché si longtemps
Dans nos âmes le rêve et perdu
Les enfants pleurent les heures
Et cherchent des abris de fortunes
Sous les cathédrales et sous les chars
Quand les enfants meurent
J’étais naïf de croire que l’âme..
De toutes les nations du monde
Tremblera à la mort de l’enfant
Mais non.. la réalité désenchante
Les jeux continuent avec les paris lourds
Les villes continuent de respirer
Le bruit des consommations
Le carburant continu de brûler
Et le prix d’augmenter.. si cher
Que la vie d’un enfant
La blessure et secrète.. le sang de la rose
Mais la plaie est ouverte
A jamais ouverte..
La plaie à jamais ouverte
Postr@
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