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Amazigh Kateb. Un T-shirt pour le dire

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  • Amazigh Kateb. Un T-shirt pour le dire

    Amazigh Kateb. Un T-shirt pour le dire

    Tout un symbole. Invité à se produire lors du dernier Festival de Dakhla, le leader du groupe défunt Gnawa Diffusion est monté sur scène, vêtu d’un tee-shirt prônant la paix entre le Maroc et l’Algérie. Le bout de tissu était illustré des drapeaux respectifs des deux pays, au milieu du symbole “Peace and Love”, et frappé d’un “Bikheer”, signature de la marque Stounami. “Vu l’aura d’Amazigh Kateb, c’était la personne toute indiquée pour porter ce tee-shirt”, explique Mohamed Smyej, l’un des créateurs de la griffe. L’endroit choisi l’était aussi : le Sahara, pomme de discorde entre le Maroc et l’Algérie depuis les années 70.

    TELQUEL

  • #2
    On l'achète où ?
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

    Commentaire


    • #3
      Un petit "article", ou l'intervention d'un forumiste d'un autre site paru en 2006
      que j'ai trouvé intéressant.

      Auteur: azl95
      Date: le 26 avril 2006 à 15h34

      La configuration sociale des deux pays présente des différences notoires qui auraient pu s'avérer positives si le Maghreb était uni.

      Avec la politique d'industrialisation observée sous Boumediene, une classe , celle des artisans, des agriculteurs et des petits métiers a disparu pour donner naissance à une classe moyenne et une classe riche très riche.
      Parallèlement, au Maroc très rural qui a mis l'accent sur l'agriculture, L'artisanat et le tourisme a maintenu cette classe de petits métiers et bien, entendu aussi une classe riche très riche.

      On observe ainsien Algérie, l'existence d'une classe moyenne relativement aisée pour soutenir une consommation importante et une disponibilité monétaire réelle mais paradoxalement une insuffisance de produits à consommer si non ceux importés.
      Une deuxième problématique à ce phénomène en Algérie est la disparition des métiers de service alimentés par les petits artisans, ce qui a provoqué un chaos au niveau de l'infrastructure dans le domaine de la plomberie de l'électricité et du bâtiment de façon générale, sans parler de la disparition des petits métiers agricoles ou encore ceux du tourisme.
      Et que fait la classe riche très riche, elle investit en gros moyens à l'étranger où se tourne vers les métiers rentables très rentables de l'importation.

      Au Maroc, l'inexistence d'une classe moyenne si non celle des petits fonctionnaires souvent mal payés a favorisé l'élargissement du fossé entre les pauvres les plus pauvres et les riches très riches d'où l'appellation du Maroc, pays des contrastes.
      Les paysans durement touchés par les sécheresses répétitives, les artisans sous payés ne peuvent soutenir la consommation secteur indispensable à la croissance.

      Le constat est que les deux pays auraient pu être complémentaires et favoriser l'économie du Maghreb pour faire face à la concurrence et à la mondialisation.
      Hélas, les choix furent différents et les peuples paient la note.



      Edité 1 fois. Dernière modification le 26-04-06 16h25.
      On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

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      • #4
        Le diagnostic de la société marocaine est un peu tiré par les cheveux quand même...

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        • #5
          Je n'en sais rien, je te laisse juger, mais je ne sais même pas ce site est algérien, marocain ou maghrébin tout simplement.Comme je peux pas poster de lien faisant la promotion d'un autre site,je te donne juste un indice, si le CSA l'accorde tu pourra regarder et nous le dire, le site est connu...biledi...je crois
          On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

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