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Alors que les nanotechnologies se répandent de plus en plus dans les produits d'usage quotidien, certains scientifiques s'inquiètent à propos des effets à long terme que pourraient provoquer ces nouvelles technologies à l'efficacité record.
La taille infime de ces nanoparticules de toutes formes (fils, tubes, grilles, billes...) leur confère des propriétés extraordinaires : l'élasticité, la solidité, l'adhérence... mais cette taille impressionnante qui fait leur réputation et leur succès leur permet également de se faufiler partout, ce qui préoccupe la communauté scientifique qui redoute des effets néfastes pour l'organisme et la nature.
En effet, certains scientifiques du Commisariat à l'Energie Atomique (CEA) et du Comité de la Prévention et de la Précaution (CPP) craignent que ces particules puissent malencontreusement pénétrer au sein même de notre corps et avoir des conséquences dramatiques sur notre organisme, notamment sur notre ADN, donnant lieu à des mutations génétiques discrètes.
D'autres pensent qu'avec leur masse réduite, ces nanoparticules pourraient même s'échapper de notre contrôle (dans l'air par exemple) en entraînant les mêmes désagréments sur les animaux et les plantes.
Les conséquences de ces rares études, si elles s'avéraient exactes, seraient désastreuses et difficilement réparables.
Malgré toutes ces mises en garde, la place de ces nanoparticules est de plus en plus importante dans notre vie quotidienne. Elles sont présentes dans la plupart des appareils électroniques, mais pas seulement. Aujourd'hui, on les trouve également dans les textiles, les produits alimentaires, les cosmétiques, et bien d'autres produits... sans qu'aucun étiquetage particulier ne signale leur présence.
Ce manque de transparence n'est pas sans inquiéter les consommateurs qui n'ont pas encore confiance en cette récente technologie très efficace, mais dont on ne connaît pas encore les réels effets.
C'est pourquoi les scientifiques désirent, dès à présent, mieux expliquer le fonctionnement de cette technologie encore mal connue, pour éviter son rejet total par le grand public. Notamment, ils envisagent un étiquetage précis des produits concernés et une protection des fabricants qui sont régulièrement exposés aux particules.
Source : France Info
La taille infime de ces nanoparticules de toutes formes (fils, tubes, grilles, billes...) leur confère des propriétés extraordinaires : l'élasticité, la solidité, l'adhérence... mais cette taille impressionnante qui fait leur réputation et leur succès leur permet également de se faufiler partout, ce qui préoccupe la communauté scientifique qui redoute des effets néfastes pour l'organisme et la nature.
En effet, certains scientifiques du Commisariat à l'Energie Atomique (CEA) et du Comité de la Prévention et de la Précaution (CPP) craignent que ces particules puissent malencontreusement pénétrer au sein même de notre corps et avoir des conséquences dramatiques sur notre organisme, notamment sur notre ADN, donnant lieu à des mutations génétiques discrètes.
D'autres pensent qu'avec leur masse réduite, ces nanoparticules pourraient même s'échapper de notre contrôle (dans l'air par exemple) en entraînant les mêmes désagréments sur les animaux et les plantes.
Les conséquences de ces rares études, si elles s'avéraient exactes, seraient désastreuses et difficilement réparables.
Malgré toutes ces mises en garde, la place de ces nanoparticules est de plus en plus importante dans notre vie quotidienne. Elles sont présentes dans la plupart des appareils électroniques, mais pas seulement. Aujourd'hui, on les trouve également dans les textiles, les produits alimentaires, les cosmétiques, et bien d'autres produits... sans qu'aucun étiquetage particulier ne signale leur présence.
Ce manque de transparence n'est pas sans inquiéter les consommateurs qui n'ont pas encore confiance en cette récente technologie très efficace, mais dont on ne connaît pas encore les réels effets.
C'est pourquoi les scientifiques désirent, dès à présent, mieux expliquer le fonctionnement de cette technologie encore mal connue, pour éviter son rejet total par le grand public. Notamment, ils envisagent un étiquetage précis des produits concernés et une protection des fabricants qui sont régulièrement exposés aux particules.
Source : France Info