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Obama rejète la proposition de Clinton: Il ne veut pas devenir une demi President!

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  • Obama rejète la proposition de Clinton: Il ne veut pas devenir une demi President!

    suite à sa la proposition que sa rivale Clinton lui a faite, Obama ragit et rejète sa praoposition, selon laquelle Clinton et Obama devraient faire fusion pour barrer la route aux republicains: selon la proposition tjrs, Clinton veut devenir Presidente et laisser la vice-presidence au jeune Obama !

    Ce dernier lui repond comme suite: " je ne sais pas comment quelqu un qui se trouve en deuxieme position pourrait proposer la candidature de la vice presidence à quequ un qui se tzrouve en 1 ere position?"

    http://www.spiegel.de/politik/auslan...540616,00.html

  • #2
    Hillary El Sahaf Clinton.

    66

    Commentaire


    • #3
      Effectivement 66

      Hillary Clinton rêve plus du ticket magique que Barack Obama
      [url]http://alterjournalisme.blogs.courriérinternational.com
      "Dream ticket", super-délégués, Floride et Michigan: voilà les sujets de discussions, de débats et d'articles dans les médias américains ces jours. Mais c'est le fameux "ticket de rêve" Clinton-Obama ou Obama-Clinton qui faisait lundi presque le plus parler de lui (en dehors du gouverneur démocrate de New York impliqué dans une affaire de prostitution). Depuis qu'Hillary Clinton a évoqué dans une interview à la télévision, la semaine dernière, qu'elle n'excluait pas cette hypothèse - partant du principe qu'elle serait la numéro 1 d'un tel tandem, les médias (et le public sans doute aussi) attendaient un signe, une allusion voire une réponse de Barack Obama. Et bien le sénateur de l'Illinois s'est exprimé lundi à ce sujet lors d'un meeting électoral dans le Mississippi. N'ayant pas l'intention de jouer les seconds rôles, il a montré qu'il ne se laisserait pas enfermer dans cet habit du challenger. Il a rappelé que son intention première était bien de devenir président des Etats-Unis.

      Extrait: "J'ai gagné plus de voix que la sénatrice Hillary Clinton, j'ai plus de délégués, donc je ne comprends pas comment une personne qui est en seconde position peut proposer d'être vice-président à celui qui est en première position". Puis Obama ne s'est pas privé de souligner, non sans amusement et ironie, une grosse contradiction: "Le staff d'Hillary Clinton vient de passer les deux ou trois dernières semaines à dire 'eh bien nous ne sommes pas sûrs qu'il soit prêt'. Je ne comprends pas. Si je ne suis pas prêt, comment pouvez-vous penser que je serai un grand vice-président?". Rires dans l'audience, selon plusieurs médias. Lundi dans la journée, le directeur de communication de Clinton, Howard Wolfson, était d'ailleurs apparemment à la peine pour expliquer cette logique d'un "dream ticket" dans le sens Clinton-Obama. Dans l'équipe Obama, on soupçonne le camp rival de vouloir affaiblir, voire piéger, le sénateur dans cette initiative de ticket commun qui ferait rêver plus d'un électeur. Je n'ai pas souvenir, lors de mes reportages dans les deux meetings de Clinton et d'Obama à Seattle en février, d'avoir entendu une seule fois des fans dans les deux camps rejeter cette idée. Au contraire. J'ai à chaque fois posé la question du "dream ticket" et à chaque fois il y avait un immense enthousiasme ("Oh, yeah, it would be so great!"). De même que la plupart des personnes interrogées dans ces deux meetings disaient vouloir soutenir ou Obama ou Clinton si l'un ou l'autre échouait aux élections primaires.

      Autant dire qu'il m'a semblé que l'initiative d'Hillary de tendre la main ainsi à Obama avait un petit parfum de provocation, de tactique pour ne pas dire de manoeuvre politique. Je ne serais pas étonné qu'une telle suggestion de "ticket de rêve" attire par exemple des super-délégués indécis, mais aussi et surtout, des électeurs indécis des Etats devant encore voter. D'autant plus que pour certains, le choix est vraiment cornélien. Alors à l'idée de voir les deux candidats démocrates charismatiques réunis sur un même ticket... Plusieurs observateurs et commentateurs avaient justement trouvé à la fois habile et un peu retors tout de même, ce premier pas fait par la sénatrice de New York. Sans doute que Barack Obama a bien fait de mettre les points sur les "i". Actuellement, c'est quand même lui qui mène la course: nombre de délégués, vote populaire, nombre d'Etats gagnés. Il ne fallait donc pas se laisser "piéger" dans cette étiquette - presque condescendante diraient certains - de second rôle. Plusieurs "columnists" dans la presse estimaient d'ailleurs ces jours qu'Obama devait absolument réagir à cette main tendue "ambiguë", ne surtout pas laisser planer cette idée qu'il ferait un vice-président idéal sur un ticket magique. Il a été très clair lundi. Ce même jour, j'ai pu lire deux ou trois commentaires se demandant si "l'étonnante" proposition ("coup de bluff", pour certains) d'Hillary n'allait pas se retourner contre elle.

      S'agissant des super-délégués démocrates maintenant. Plusieurs d'entre eux ont été vus sur des plateaux de télévision ce week-end et beaucoup ont été interrogés dans la presse ces derniers jours. D'abord dire qu'ils font visiblement face à de fortes pressions des deux camps, un peu plus de la part du clan Clinton si l'on en croit les témoignages cités dans les médias. En gros, l'avance de la sénatrice de New York est d'une quarantaine de super-délégués sur Obama et quelque 300 (sur 795) seraient encore indécis ou ne veulent pas encore se prononcer. S'il fallait faire une synthèse des témoignages de super-délégués sur leur influence, la voici: certains estiment qu'il faut clairement suivre le vote populaire, surtout si la différence de délégués ordinaires entre les deux candidats est de 100 et plus; certains avouent sans détour que leur rôle et leur choix sont à prendre en compte en toute indépendance et que, ma foi oui, c'est leur privilège de super-délégués, ils ont été élus par le parti pour ça; d'autres veulent surtout se focaliser sur la question de qui sera le meilleur candidat, la meilleure chance, pour battre John McCain et gagner l'élection générale en novembre; d'autres encore évoquent le vote populaire dans l'Etat qu'ils représentent eux-mêmes. Personne évidemment ne mentionne en revanche des intérêts personnels (engagements financiers pour un candidat particulier, leur propre réélection au Congrès ou à un poste de gouverneur d'Etat, etc.). Des médias n'hésitent pas à parler de véritable casse-tête pour ces super-délégués.

      Enfin, je vous propose une analyse que j'ai personnellement trouvé très pertinente et éclairante. L'hebdomadaire New York Magazine, propose une interview du stratège démocrate Joe Trippi, ancien architecte de la campagne électorale d'Howard Dean en 2000 et plus récemment conseiller de John Edwards. Il estime à 70 % les chances que ce soit Obama le candidat démocrate officiel; il pense que la course ira jusqu'à la Convention nationale, mais avertit que c'est très dangereux (il cite des précédents); il trouve bonne l'idée d'un "dream ticket" (si c'est Clinton qui gagne, elle a besoin à tout prix d'Obama, si c'est Obama qui gagne, c'est plus compliqué de choisir Clinton, un autre choix serait plus judicieux, selon lui); il écarte la possibilité d'une candidature surprise, du type Al Gore qui se lancerait; il prévoit la fin du duel si Obama gagne la Pennsylvanie; il donne encore de bonnes chances à Hillary si elle remporte la Pennsylvanie et la Caroline du Nord (surtout aux yeux des super-délégués); il conseille à Obama de marquer à fond sa différence avec Clinton, d'être au-dessus des attaques, de continuer sur sa ligne de rassembleur, plutôt que de répondre à chaque attaque, de rendre coup par coup (il lui conseille en gros un discours orienté du type: "si vous voulez un autre style politique, une nouvelle manière de faire de la politique, votez pour Obama; si vous voulez continuer avec l'ancienne politique politicienne, les attaques, les tactiques, votez pour Clinton); il conseille à Clinton de continuer à mettre en doute Obama et à le pousser à commettre d'autres erreurs; enfin, il est d'accord avec le fait que les médias sont désormais plus durs avec Obama, mais y voit un assez bon test, car si Obama passe l'épreuve des attaques de Clinton ajoutées aux critiques des médias, c'est bon, c'est lui qui sera à coup sûr nominé, selon le stratège démocrate.

      Quelques articles intéressants ci-dessous en complément. Dans l'ordre. Deux papiers, un du Washington Post et un de l'hebdomadaire The New Republic, sur la question de la couverture médiatique. Un article du New York Times sur le risque pris par Hillary Clinton d'être très agressive envers son rival et en même temps peut-être la seule solution pour renverser la vapeur. Le New Yorker propose aussi un papier sur la pugnacité de la sénatrice, intitulé "The Iron Lady". Enfin, le site internet du bimensuel National Review (républician et conservateur) propose un commentaire où il est dit qu'Obama ferait bien d'accepter la vice-présidence, car un duel se finissant à la Convention nationale dans les mains influentes des super-délégués (et des tractations de couloirs) pencherait en faveur de Clinton.

      http://www.washingtonpost.com/wp-dyn...t/article/2008...

      http://www.tnr.com/politics/story.ht...6c00dd4-824d-4...

      http://www.nytimes.com/2008/03/10/us...cs/10cnd-nagou...

      http://www.newyorker.com/reporting/2...17/080317fa_fa...

      http://corner.nationalreview.com/pos...BkZmE0OWEzYjUx...
      Dernière modification par absent, 11 mars 2008, 11h13.

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      • #4
        ................. doublon

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