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le maroc croule sur les dettes

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  • le maroc croule sur les dettes

    slt les annees a venir vont etre sombre pour le peuple marocain qui n arrive pas a eponger ses dettes, Jeudi 13 Mars 2008 Endettement. Oualalou pris au piège

    Fathallah Oualalou n’est pas sorti
    de l’auberge (AFP)

    Le budget 2005 prévoit 42 milliards de dirhams de dette intérieure et 7 milliards de dirhams de dette extérieure. Le passif pèse de tout son poids sur les ressources de l’État. Il est temps d’imposer les fortunes et mettre fin à la rente.



    La gestion de l’argent de l’État est comme celle d’un ménage. Ayant un revenu faible, le ménage pompe sur le débit bancaire et s’endette auprès des sociétés de crédit. In fine, il se retrouve avec un solde de 20 % de son revenu et zéro économies. Quand une catastrophe lui tombe sur la tête, il s’endette
    davantage. Petit à petit, il croule sous les échéances et hypothèque son avenir (annule le voyage d’été, fait une croix sur le changement de meubles, classe définitivement l’option des études à l’étranger pour les enfants…). L’État fait pratiquement la même chose, mais en milliards de dirhams. L’État, aussi puissant qu'il puisse paraître, croule sous la dette. Dans l’absolu, celle-ci représente plus de 300 milliards de dirhams, alors que le PIB clôturera l’année 2004 à 421 milliards de dirhams. Et contrairement à des idées reçues pendant les années 80, c’est la dette intérieure qui flambe. Elle représente à fin 2003 197 milliards de dirhams contre 126 milliards pour la dette extérieure. Pour le commun des mortel, vous comme moi, ces chiffres font peur. Pour les économistes, le jugement est plus nuancé.
    Avant tout, il faut faire la distinction entre gestion de la dette dans sa technicité et les choix économiques de l’endettement. Le premier renvoie à la gestion au jour le jour de la dette par des équipes qui n’interviennent pas dans la décision de s’endetter. Le deuxième touche directement à la politique économique et budgétaire de l’État. C’est de la macroéconomie tout court. La responsabilité du gouvernement, tout particulièrement celle du ministre des Finances, est liée à cette problématique. C’est dire que Fathallah Oualalou n’est pas sorti de l’auberge. Pire encore, il s’enfonce. L’État envisage d’emprunter 49 milliards de dirhams rien que pour l’année 2005. 11 milliards serviront à éponger les arriérés de la caisse de retraite. Ce qui veut dire que les anciens ministres des Finances nous fournissaient de faux chiffres. Dans l’illégalité totale, ils ne versaient pas la pension de retraite des employés du secteur public. Où partait cet argent, pourtant budgétisé dans les différentes lois des finances ? Personne ne le sait. En 2006, le problème de la caisse de retraite de l’Office chérifien de phosphate s’imposera. Il faut cette fois décaisser plus de 20 milliards de dirhams au meilleur des cas. Et ce n’est pas fini. Jusqu’à présent, ce sont les privatisations qui sauvent les meubles. Une opération comme celle de Maroc Telecom est ponctuelle. Son effet jouera encore pour 2005. La convention signée en novembre 2004 avec Vivendi pour le rachat des 16 % du capital, offre à l’État une cagnotte de 12,4 milliards de dirhams. La moitié de cette somme doit revenir au Fonds Hassan II pour le développement économique et social. En théorie, le Trésor n’encaissera que 6,2 milliards de dirhams. Or, le projet de loi des finances prévoit une recette de privatisation de 12 milliards de dirhams. Aucun autre bijou de famille ne peut, à lui seul, lui rapporter autant d’argent. Le recours à l’endettement devient inévitable

  • #2
    c un vieux article qui parle du pib de 2004 qui etait de 41 milliards dollars,aujourd huit en 2007 le pib est de 72 milliards dollars ,et il est estimé pour 2008 a 80 milliards dollars, le pib a doublé en quatre ans.

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    • #3
      algerie

      slt donc jai change la date et jai mis 13/03/2008 cai ca ?

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      • #4
        le maroc a toujours des dettes mais moin qu'en 2004.

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        • #5
          langar


          slt donc jai change la date et jai mis 13/03/2008 cai ca ?
          hbibhoum langar,

          on sait pas si tu l'a fait expères ou non mais cet article vient de l'hebdomadaire Telquel N° 152 et son dernier numéro actuellement est 314, donc si on fait un petit calcul l'article date au moins de 3 ans
          A todo cerdo le llega su San Martín.

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          • #6
            Et elle s'élève à combien la dette actuellement ?

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            • #7
              Et elle s'élève à combien la dette actuellement ?

              381 milliards de DH.
              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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              • #8
                380 GDH n'est pas du surendettement, on ne peut dire qu'il croule sous la dette donc...

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                • #9
                  le deficit marocain est en grande part due a l explosion de la facture petroliere et la flambee des matieres premiers sur le marche mondial.

                  Commentaire


                  • #10
                    Lu sur ce site: menancé par la famine, Il croule maintenant sur les dettes

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                    • #11
                      En fait Oualalou n'est plus ministre


                      Le ministre actuel des finances s'appel Salahdine Mezouar

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                      • #12
                        Produits pétroliers et gaziers

                        Effectivement, par contre ceci est d'actiualité:
                        ------------------------------------------
                        Les 13 milliards de DH dédiés ne suffiront plus

                        · Réactiver la loi de Finances pour rallonger le budget?

                        · Répercuter la hausse des prix sur le consommateur?

                        LE parfait dilemme. Que va-t-il se passer au-delà de juillet 2008? L’inquiétude de la Fédération de l’énergie qui va grandissante, au regard de la flambée du prix du baril de pétrole qui flirte avec les 110 dollars, est justifiée. «Les 13 milliards de DH réservés aux produits pétroliers et gaziers seront totalement épuisés d’ici juillet 2008». C’est le constat de la Fédération de l’énergie fait au ministre des Affaires économiques et générales. Selon ses prévisions, à partir de ce mois de mars, la compensation va monter à 2 milliards de DH par mois. Ajoutez à cela les arriérés de paiement des deux premiers mois de cette année (1,5 milliard en janvier et 1,2 en février) et le reliquat à fin décembre de 2 milliards de DH.

                        Nizar Baraka, qui recevait lundi 10 mars une délégation de la Fédération de l’énergie, conduite par son président Moulay Abdellah Alaoui, ne semblait pas surpris. A en croire une source bien informée, «les discussions qui s’en sont suivies, ont plutôt porté sur la stratégie à mettre en place pour parer au pire» que sur le sérieux de ce constat. Sans verser dans le catastrophisme, les prédictions n’augurent rien de bon. Comment le gouvernement va-t-il s’y prendre? Sachant que le cours incontrôlable du pétrole est d’ores et déjà de nature à impulser une révision à la hausse de l’hypothèse de départ qui tablait sur 75 dollars.

                        Pour le président de la Fédération, la question est autrement beaucoup plus précise. «Faut-il réactiver la loi de Finances, pour rallonger le budget de la Caisse de compensation ou répercuter la hausse des prix des produits pétroliers et gaziers sur le consommateur?» A cette double interrogation, aucune solution n’est avancée pour le moment. Juillet, c’est encore dans 4 mois!

                        Toutefois, ces questionnements et bien d’autres semblent s’entrechoquer dans la tête des professionnels. Pour cela, la Fédération compte multiplier les rencontres avec les autorités concernées. Coup sur coup, avant la fin du mois en cours, elle se rendra chez le ministre de l’Economie et des Finances, Salaheddine Mezouar, puis chez le secrétaire d’Etat à l’Intérieur, Saâd Hassar. Avec l’argentier du Royaume, il sera plutôt question des arriérés de la Caisse de compensation et de son avenir. Avec Hassar, la Fédération discutera de la gestion des services de l’énergie, notamment de la question de la gestion déléguée et de la distribution.

                        Auparavant, la Fédération a été reçue le 29 février dernier par la ministre de l’Energie. Au sortir de cette rencontre, Amina Benkhadra a accepté la participation de la Fédération de l’énergie à la conception de l’architecture ou définition énergétique du pays (cf. www.leconomiste.com). L’étude de faisabilité a été confiée au cabinet Mc Kinsey. Objectif: permettre un meilleur ciblage pour toucher les foyers les plus vulnérables et appliquer la vérité des prix, chère aux professionnels.


                        (c) LECONOMISTE
                        .


                        Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                        • #13
                          et oui, c tjrs pareil, il se reveil enfin notre gouvernement, il falait un baril a 110 $ pour qu'il essaye de trouver des alternatif...


                          esperont que les nouveaux projets de centrales débute et finissent rapidement sans cela. bonjour les tension social

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                          • #14
                            La dette publique Marocaine représente 63% du PIB en 2007 selon le CIA World FactBook. Le meme niveau que la France avec ses 66%. C'est problématique mais ca reste gérable. Il faudrait que le Maroc la stabilise au moins et qu'il affiche de bonnes croissance sur le long terme pour que ca devienne pas un probléme pour les générations futures.

                            A+
                            66

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                            • #15
                              c'est pas un probleme; la dette ne represente que 66% du PIB mais mois de 30% pour la dette exterieur.

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