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Sonatrach menace de recourir à des financements extérieurs pour financer ses projets

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  • Sonatrach menace de recourir à des financements extérieurs pour financer ses projets

    Face à la lenteur des banques publiques, Sonatrach menace de recourir à des financements extérieurs pour financer ses projets


    Les banques publiques semblent prendre tout leur temps pour traiter la demande de crédit de la compagnie nationale des hydrocarbures et débloquer les financements dont elle a besoin pour la réalisation de ses projets pétrochimiques à hauteur de 12 milliards de dollars.

    De sources proches du ministère de l’énergie et des mines, a appris qu’une nouvelle réunion a eu lieu la semaine passée au ministère des Finances avec les banquiers et Sonatrach. Les représentants de l’entreprise nationale ont exprimé leur mécontentement face au manque de réactivité des banques étatiques. «Une réaction somme toute normale», expliquent nos sources, au regard de l’importance que revêtent les 11 projets pétrochimiques de Sonatrach qu’elle va réaliser avec des partenaires étrangers.

    Sonatrach va jusqu’à menacer les banques publiques de recourir à des financements extérieurs si la situation n’est pas débloquée très rapidement. L’entreprise publique n’a aucune difficulté à mobiliser des crédits auprès des banques étrangères et à des taux très intéressants, ajoutent nos sources. La Cnep Banque et la BEA ont été les premières à exprimer leurs disponibilités à financer les projets en question. La Cnep serait prête à lui accorder plus de 100 milliards de dinars. Mais dans le cadre des exigences de la loi sur la monnaie et le crédit, les banques sont tenues de se conformer aux règles prudentielles.

    Les banques étatiques ont accordé en 2006 environ 915 milliards de dinars de crédit au secteur public et un peu plus de 1000 milliards de dinars pour le privé. Selon les chiffres de la Banque d’Algérie, à la fin du premier semestre 2007, les crédits accordés au secteur privé ont atteint 1125 milliards de dinars.

    - PresseDZ

  • #2
    Sonatarch a envie de voler et il ne faut pas qu'elle se fasse ralentir par des administrateurs souvent incapables de prendre des decisions. Le recours a des financements etrangers sera une bonne action qui fera peut etre reflechir cette institution qui dorme.

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    • #3
      Le problème de la lenteur des banque handicape tout le système économique algérien pas uniquement Sonatrach.

      La solution, elle est politique, je ne vois aucune autre solution: que les dinosaures qui détiennent le pouvoir bougent un peu pour laisser l'économie de marché s'installer une fois pour toute.

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      • #4
        Bonjour tout le monde.

        Le "Diplome" n'est pas considéré comme une "garantie" par nos banques.
        Comment voulez-vous que l'on crée des richesses?....
        (C'est une Juste une parenthèse )
        La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
        De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
        .
        Merci.
        " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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        • #5
          Le "Diplome" n'est pas considéré comme une "garantie" par nos banques.
          Comment voulez-vous que l'on crée des richesses?....

          ------------------

          Le Diplome??? tu veux dire avoir un crédit en présentant uniquement son diplôme?

          Ca exisiste ce genre de crédit mais en l'appel surtout emploi de jeune ou qq chose comme ça!!!

          et c'est pas le diplome qui est la garantie, je crois

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          • #6
            Voilà comment on crée une nouvelle dette externe pour l'Algérie, alors que les banques publiques sont pleines d'argent, et que nos réserves en devises sont remplies. Les banques nationales devraient etrent forcées à préter à Sonatrach.

            A+
            66

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            • #7
              @beehive

              Le investisseurs étrangers ne pretent jamais pour la posterité..ou pour les beaux yeux des gens...

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              • #8
                Aniasse

                C'est elementaire, les banquier ont toujours preter avec des interets ou des prises de participation ce qui est clairement ecrit dans l'article.

                ---
                L’entreprise publique n’a aucune difficulté à mobiliser des crédits auprès des banques étrangères et à des taux très intéressants
                ---

                Par contre ce qui n'est pas elementaire c'est que les banques algeriennes ne prettent que sur injonction ... Khalifa est un bon exemple.

                Sonatrach cree de la richesse pour l'Algerie, ses investissements rapporte plusieurs fois sa mise, une rentablite a deux chiffre. Comparer au petit ~3% qui rapporte la banque algerienne a l'Algerie sur ses prets, les calculs sont vite fais pour encourager Sonatrach a chercher l'argent qui lui faut la ou il se trouve.

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