Dans une de ses dernières lettres adressées au secrétaire général de l'Onu, le maître des lieux de la prison d'Alcatraz, version algérienne, s'inquiète de la situation des droits de l'homme qui prévaut dans la région.
A l'occasion, Mohamed Abdelaziz aurait dû lister tous les modes et moyens utilisés pour asservir la population de Tindouf. Aussi, on est en droit de se demander s'il ne cherche pas à nouveau l'impasse.
En réalité, le mercenaire en chef ne demeure qu'un exécutant alors que l'Algérie, souhaitant réaliser de nouveaux tracés sur le continent africain, est le commanditaire.
Le rêve étant gratuit même si les caisses de la Banque centrale algérienne vont exploser de devises, il serait inutile que le régime en place continue de persévérer dans l'erreur "utopique". Il lui serait vivement recommandé d'abandonner cette fiction d'une grande Algérie. Cette attitude démontre tout simplement une trahison voire une obstination dans l'infidélité des liens.
Le Maroc a répondu présent lorsque le pouvoir d'Alger lui avait demandé son soutien à une période donnée. Et dans l'interminable processus (à qui la faute si ce n'est celle des mercenaires et acolytes), s'il est une partie qui a le droit de poser des conditions, c'est bien celle qui prend souverainement et librement l'initiative des rencontres, c'est-à-dire le Maroc qui a pour lui tous les droits et comme l'avait dit feu le Président Léopold Sédar Senghor : " Au Sahara, le Maroc a pour lui l'Histoire, le droit et la volonté des populations ".
Or, pour le Maroc, la seule condition expresse, c'est que tous les Sahraouis participent au développement de leur région à travers le statut d'une large autonomie qui lui sera octroyée. En la question, la population marocaine (toutes régions confondues), n'acceptant plus l'ingérence indécente dans ses affaires internes, se fait fort de recouvrer ses droits dans cette partie du Royaume et ce, en affirmant une fois de plus que le Sahara est marocain, comme il l'a toujours été et on ne saurait lui conférer un autre cachet, une autre nature ou un autre cadre juridique que par le retour à la mère-patrie, le retour aux origines procédant de l'authenticité. Et rien ne saurait la détourner de son objectif qui est de faire échouer toutes les tentatives visant à entamer sa sérénité Ainsi, l'objectif du projet d'un statut d'autonomie élargie, auquel ont adhérés toutes les tribus sahraouies, à part quelques personnes égarées à Tindouf, c'est de préserver la dignité et la responsabilité des citoyens, de promouvoir un développement intégré, harmonieux et équilibré, et d'assurer une localisation rationnelle des activités économiques, sociales et culturelles. Le but, c'est en somme de retrouver un citoyen sain dans un espace sain.
C'est dans ce contexte que le Conseil de sécurité est appelé aujourd'hui à régler de manière définitive ce contentieux factice. En effet, le blocage est artificiel et dû à la mauvaise foi manifeste des mercenaires et de leurs maîtres et manipulateurs. Cela, tout le monde l'a compris.
C'est pourquoi la position du Maroc en Afrique, en Europe et au sein de la communauté internationale ne fait que se raffermir. De grands pays ont d'ailleurs fait savoir qu'ils considéraient le retour des provinces sahariennes au sein de la mère-patrie, conforme à l'Histoire, au droit et à la volonté de la population.
On peut dire qu'aujourd'hui, quitte à ce que cela déplaise au locataire d'Al Mouradia, que le dossier sera clos.
Et à l'aube d'un crépuscule, le projet d'un statut d'autonomie pour les provinces du sud peut être accéléré et que la voie est toujours ouverte pour ceux qui désirent regagner leur patrie dans la liberté et la légalité.
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Atteinte à l'unité du Maghreb
Le Comité spécial chargé du Sahara marocain en Europe (CSCSME) souligne que l'ingérence "inacceptable" de l'Algérie dans les afaires intérieures du Royaume, porte atteinte à l'unité du Maghreb arabe et aux espoirs de toute la région, qui a besoin de prospérité et de développement.
Dans une lettre adressée au chef de la diplomatie européenne, Javier Solana, et dont l'agence MAP a eu copie mercredi, le CSCSME dénonce les agissements de la direction du "polisario", guidée par les autorités algériennes, soulignant qu'une telle attitude, contraire à la légalité internationale, constitue une menace pour la paix et la stabilité dans toute la région. "Nous lançons un appel à un appui politique à l'Initiative marocaine d'autonomie des provinces du Sud, reconnue à juste titre par la communauté internationale, comme la seule voie crédible en vue d'une solution définitive et pacifique à ce conflit artificiel qui n'a que trop duré", lit-on dans cette missive.
Le Comité condamne par ailleurs les traitements affligeants dont sont victimes les séquestrés sahraouis marocains sur le sol algérien, la déportation de milliers d'enfants à Cuba, le détournement par les séparatistes de l'aide humanitaire, ainsi que la suspension des autorisations de sortie des camps de la honte.
"Nous faisons appel à votre conscience et à votre humanisme pour intervenir auprès de la communauté internationale afin de mettre un terme au calvaire que subissent les populations séquestrées", écrit le président du CSCSME, El Hassane Benhammou, à l'adresse de M. Solana.
Source: Le Matin
A l'occasion, Mohamed Abdelaziz aurait dû lister tous les modes et moyens utilisés pour asservir la population de Tindouf. Aussi, on est en droit de se demander s'il ne cherche pas à nouveau l'impasse.
En réalité, le mercenaire en chef ne demeure qu'un exécutant alors que l'Algérie, souhaitant réaliser de nouveaux tracés sur le continent africain, est le commanditaire.
Le rêve étant gratuit même si les caisses de la Banque centrale algérienne vont exploser de devises, il serait inutile que le régime en place continue de persévérer dans l'erreur "utopique". Il lui serait vivement recommandé d'abandonner cette fiction d'une grande Algérie. Cette attitude démontre tout simplement une trahison voire une obstination dans l'infidélité des liens.
Le Maroc a répondu présent lorsque le pouvoir d'Alger lui avait demandé son soutien à une période donnée. Et dans l'interminable processus (à qui la faute si ce n'est celle des mercenaires et acolytes), s'il est une partie qui a le droit de poser des conditions, c'est bien celle qui prend souverainement et librement l'initiative des rencontres, c'est-à-dire le Maroc qui a pour lui tous les droits et comme l'avait dit feu le Président Léopold Sédar Senghor : " Au Sahara, le Maroc a pour lui l'Histoire, le droit et la volonté des populations ".
Or, pour le Maroc, la seule condition expresse, c'est que tous les Sahraouis participent au développement de leur région à travers le statut d'une large autonomie qui lui sera octroyée. En la question, la population marocaine (toutes régions confondues), n'acceptant plus l'ingérence indécente dans ses affaires internes, se fait fort de recouvrer ses droits dans cette partie du Royaume et ce, en affirmant une fois de plus que le Sahara est marocain, comme il l'a toujours été et on ne saurait lui conférer un autre cachet, une autre nature ou un autre cadre juridique que par le retour à la mère-patrie, le retour aux origines procédant de l'authenticité. Et rien ne saurait la détourner de son objectif qui est de faire échouer toutes les tentatives visant à entamer sa sérénité Ainsi, l'objectif du projet d'un statut d'autonomie élargie, auquel ont adhérés toutes les tribus sahraouies, à part quelques personnes égarées à Tindouf, c'est de préserver la dignité et la responsabilité des citoyens, de promouvoir un développement intégré, harmonieux et équilibré, et d'assurer une localisation rationnelle des activités économiques, sociales et culturelles. Le but, c'est en somme de retrouver un citoyen sain dans un espace sain.
C'est dans ce contexte que le Conseil de sécurité est appelé aujourd'hui à régler de manière définitive ce contentieux factice. En effet, le blocage est artificiel et dû à la mauvaise foi manifeste des mercenaires et de leurs maîtres et manipulateurs. Cela, tout le monde l'a compris.
C'est pourquoi la position du Maroc en Afrique, en Europe et au sein de la communauté internationale ne fait que se raffermir. De grands pays ont d'ailleurs fait savoir qu'ils considéraient le retour des provinces sahariennes au sein de la mère-patrie, conforme à l'Histoire, au droit et à la volonté de la population.
On peut dire qu'aujourd'hui, quitte à ce que cela déplaise au locataire d'Al Mouradia, que le dossier sera clos.
Et à l'aube d'un crépuscule, le projet d'un statut d'autonomie pour les provinces du sud peut être accéléré et que la voie est toujours ouverte pour ceux qui désirent regagner leur patrie dans la liberté et la légalité.
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Atteinte à l'unité du Maghreb
Le Comité spécial chargé du Sahara marocain en Europe (CSCSME) souligne que l'ingérence "inacceptable" de l'Algérie dans les afaires intérieures du Royaume, porte atteinte à l'unité du Maghreb arabe et aux espoirs de toute la région, qui a besoin de prospérité et de développement.
Dans une lettre adressée au chef de la diplomatie européenne, Javier Solana, et dont l'agence MAP a eu copie mercredi, le CSCSME dénonce les agissements de la direction du "polisario", guidée par les autorités algériennes, soulignant qu'une telle attitude, contraire à la légalité internationale, constitue une menace pour la paix et la stabilité dans toute la région. "Nous lançons un appel à un appui politique à l'Initiative marocaine d'autonomie des provinces du Sud, reconnue à juste titre par la communauté internationale, comme la seule voie crédible en vue d'une solution définitive et pacifique à ce conflit artificiel qui n'a que trop duré", lit-on dans cette missive.
Le Comité condamne par ailleurs les traitements affligeants dont sont victimes les séquestrés sahraouis marocains sur le sol algérien, la déportation de milliers d'enfants à Cuba, le détournement par les séparatistes de l'aide humanitaire, ainsi que la suspension des autorisations de sortie des camps de la honte.
"Nous faisons appel à votre conscience et à votre humanisme pour intervenir auprès de la communauté internationale afin de mettre un terme au calvaire que subissent les populations séquestrées", écrit le président du CSCSME, El Hassane Benhammou, à l'adresse de M. Solana.
Source: Le Matin
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