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Un scandale encore plus grand que celui du sang contaminé

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  • Un scandale encore plus grand que celui du sang contaminé

    La vaccination massive contre l’hépatite B dans les années 90 a fait des ravages dans la population. Elle n’y a pas déclenché que des scléroses en plaques comme on l’entend dire de tous côtés, mais toutes sortes de graves maladies, parfois mortelles, au minimum handicapantes, qu’elles soient hématologiques, rhumatismales et/ou auto-immunes, et à tous les âges. Or elle est toujours programmée pour les bébés et pour les adolescents. Hélas, la majorité de nos concitoyens est désinformée, ignore que des enfants ont été gravement atteints et n’a pas encore mesuré combien notre santé est devenue une marchandise.

    Révoltée par tant de souffrance, d’indifférence et d’irresponsabilité, j’ai décidé, après la mort de mon mari d’enquêter moi-même et de témoigner. Je savais d’avance que toutes les portes me seraient fermées, mais j’avais un atout : ma propre plainte au pénal qui me donnait accès au dossier d’instruction. Contrairement aux magistrats, aux experts et aux avocats, je n’étais pas liée par le secret de l’instruction. Donc je parlerais. J’avais même le devoir de le faire. Contre l’incrédulité dominante, car ce que je découvrais était en effet incroyable, j’ai travaillé le dossier, recueilli de multiples témoignages, comparé des destins absolument similaires à travers la France, réuni une documentation, et écrit un témoignage (1) dont, j’espère, chacun reconnaîtra le sérieux. En tout cas, depuis sa sortie en librairie, il n’a reçu aucun démenti de qui que ce soit, mais plutôt de nombreux encouragements. J’ajoute que la justice dispose d’une expertise qui confirme absolument mes doutes, mais le lecteur pourra constater que cela ne suffit pas nécessairement en face de la puissance des laboratoires.

    Je ne suis pas la première à avoir écrit sur cette question. Je cite d’ailleurs ceux à qui je suis redevable. Mais j’accuse les pouvoirs publics - ministres de la Santé notamment et Philippe Douste-Blazy en tête - d’avoir lancé une campagne de vaccination massive sans aucune précaution et sans assurer aucun suivi (la pharmacovigilance a même perdu de vue 99 % des enfants vaccinés dans les collèges !), d’avoir menti et de continuer à mentir.

    Quelques exemples :
    1) les chiffres truqués en 1994 pour faire croire à une épidémie "plus grave que le sida" ;
    2) la salive présentée comme vecteur de contamination pour gagner le "marché des collèges" (ils parlent ainsi), effrayer les parents (et même les grands-parents) et les inciter à se faire eux aussi vacciner ;
    3) l’innocuité proclamée du vaccin pour les nourrissons au prétexte qu’ils n’auraient pas de myéline (mais elle se forme peu à peu et le vaccin attend son heure, tout simplement !), argument d’autant plus malhonnête qu’il fait l’impasse sur toutes les autres maladies auto-immunes déjà constatées ;
    4) sa prétendue utilité pour ces tout-petits et pour les préadolescents, alors que ni les uns ni les autres ne risquent de rencontrer le virus dans l’immédiat (devenus adultes, ils se croiront protégés alors que personne ne sait encore la durée de protection du vaccin, et alors ils seront fragilisés - le précédent du BCG devrait à cet égard servir d’alarme) ;
    5) l’affolement entretenu autour de l’hépatite B présentée comme mortelle alors qu’on en guérit naturellement et sans aucune médication dans plus de 90 % des cas (on ferait mieux de s’occuper de l’hépatite C) ;
    6) la dramatisation autour des cas d’hépatites B fulminantes en France (une trentaine par an dont même pas une dizaine mortelle, en pourcentage : de 0,5 à 1 % des formes aiguës symptomatiques nécessitant des greffes. Quant aux porteurs chroniques, leur taux par rapport à la population générale n’était que de 0,2 % - 0,1 % chez les femmes et 0,3 % chez les hommes - en 1991. Les 300 000 porteurs chroniques (0,7 %) annoncés récemment par l’INVS (Institut de veille sanitaire) ne modifient guère la donne : l’étude a sélectionné une population fragilisée (bénéficiaires de la CMU, chômeurs, immigrés sans revenus, précaires souffrant de pathologies diverses) et ne vaut pas pour la population générale qui y est sous-représentée. De tels biais méthodologiques (surreprésentation - près de 12 % - de populations issues de zones endémiques de virus HB et sous-représentation de la population française de naissance englobée dans un pool européen et donc même pas quantifiée, rappellent les estimations hasardeuses des années 94 ou de l’été caniculaire 2003... ;
    7) la réduction des cas d’accidents vaccinaux à la seule sclérose en plaques (elle permet de camoufler derrière la SEP une multitude d’autres pathologies, la plus grave notamment : la SLA, ou les aplasies médullaires (destruction de la moelle) qui ont tué au moins une douzaine d’adolescents), d’éviter de comptabiliser les cas et donc de faire des recherches, d’économiser aussi sur les indemnisations (il y en a eu très peu, mais il y en a eu, preuve que l’Etat, au grand dam des laboratoires, reconnaissait l’accident post-vaccinal) ;
    8) le chantage à l’inconséquence des Français qui seraient les seuls au monde à se plaindre d’accidents vaccinaux (il y a des dizaines de milliers d’accidents aux Etats-Unis, au Canada, en Italie, dans tous les pays qui ont massivement vacciné. Très peu au contraire en Grande-Bretagne qui n’a vacciné que 5 % de sa population et connaît cependant moins de cas d’hépatite B que nous qui avons dépassé les 50 % et qui avons moins de population immigrée du Sud-Est asiatique considérée comme porteuse du virus !) ;
    9) l’assurance qu’aucun enfant n’a subi de dommage (alors que la pharmacovigilance suit, sans l’avouer, une cohorte d’enfants de moins de 16 ans atteints d’une première poussée de démyélinisation - cohorte "Kidmus" - et qu’elle a recensé plusieurs décès dus à des maladies auto-immunes notamment ;
    10) la thèse assez désagréable selon laquelle il valait la peine de faire un "déchet" (sic) de quelques milliers de victimes pour en sauver des millions (de quoi ? d’un virus qui avait pratiquement disparu avec les mesures prises pour enrayer le sida et les maladies nosocomiales transmises par une mauvaise gestion du sang) ;
    11) les conférences dites de "consensus" réunies à l’initiative des ministres, l’une en septembre 2003 dans la précipitation, juste avant deux procès en Cassation (s’ils ont été perdus, il ne faut pas s’en étonner), l’autre en novembre 2004 pour démolir la thèse du Dr Hernan (triplant le risque de SEP après vaccination) sans même l’avertir, l’entendre ni l’inviter. Ces deux conférences ne rassemblant que des experts adeptes, voire militants du vaccin, liés pour nombre d’entre eux aux laboratoires, exclusion faite de toute voix discordante (il y en a). Donc consensus acquis d’avance, sans transparence ni contradictoire. Etc.

    raisons curieuses.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Tant de mensonges pourtant n’ont pas mis en alerte le corps médical...

    "Le Dossier noir" montre aussi comment l’assurance-maladie a été ruinée, non seulement par la campagne de vaccination elle-même (où PDB a joué un rôle majeur), mais par la montée astronomique des affections de longue durée (ALD) qu’elle a occasionnées depuis 1996 (voir courbe de la CNAM révélée en octobre dernier, trop tard malheureusement pour que j’aie pu l’insérer dans mon livre, mais qu’on peut se procurer sur le site de la CNAM). Je montre comment nos organismes de santé publique et nos institutions médicales les plus prestigieuses ont camouflé pendant plus de dix ans un scandale encore plus grand (de l’avis des spécialistes) que celui du sang contaminé.

    Cette collusion avec les laboratoires a été dénoncée récemment à propos du Vioxx et du Celebrex, mais pas encore à propos de ce vaccin (c’est un vaccin, donc par définition intouchable). Comment nos responsables politiques ont refusé une enquête parlementaire en se référant à une ordonnance de 1957, malgré l’insistance de certains députés (Verts principalement). Comment des lois ont été votées et aussitôt détournées de leur objectif (loi Fauchon notamment) pour protéger les plus hauts responsables. Comment procède l’industrie pharmaceutique pour exercer son influence sur l’opinion, sur le corps médical, et même sur certains magistrats, maniant, selon les nécessités ou la cible visée, séduction, pressions (sur un juge), menaces (contre des journalistes), représailles (Martin Winckler évincé de France Inter) ou acharnement judiciaire (contre un expert jugé récalcitrant - le Dr Marc Girard - ou une avocate - Me Gisèle Mor - jugée trop tenace). Comment l’"establishment" médico-pharmaceutique fait taire toute opposition, empêchant notamment les chercheurs ou experts jugés "dissidents" de publier dans des revues scientifiques, ou les discréditant s’ils sont parvenus enfin (Dr Hernan) à franchir les barrages. Comment il influence la plupart des experts qu’on retrouve partout juges et parties dans les procès au point qu’il est pratiquement impossible à une victime d’obtenir une expertise qui ne la défavorise pas. Comment enfin il infiltre certaines associations de patients et joue habilement de la culture pastorienne de nos médecins (même la revue Prescrire, pourtant réputée indépendante, s’est laissé surprendre et dans son enthousiasme a donné la "pilule d’or" à ce vaccin en 1981. Elle n’a malheureusement pas beaucoup bougé pendant vingt ans !). Difficile de critiquer un vaccin en France !

    J’invite aussi les familles à observer un fait troublant : le DT Polio et le T Polio d’Aventis-Pasteur ne sont plus fabriqués. Le Revaxis censé les remplacer (10,23 € contre 6,70 €, tant pis pour l’assurance-maladie) ne peut être administré qu’à partir de 6 ans. [1] Que reste-il alors aux parents qui tiennent à respecter l’obligation vaccinale pour les moins de 6 ans sinon à consentir à une vaccination élargie à trois autres vaccins seulement facultatifs, mais insérés dans la même injection, et qui comprennent du virus HB ? Voudrait-on par hasard écouler des stocks un peu en catimini ? [2]

    On a compris maintenant, je pense, pourquoi j’ai écrit, pourquoi je me bats et continuerai à me battre bien que le rapport de force soit dérisoirement contre moi. Ce que j’ai écrit n’est pas du roman. J’ai essayé cependant de rendre facile la lecture de mon témoignage pour que son message passe mieux : vigilance. Vigilance particulière pour nos enfants, car ce sont eux aujourd’hui (et non plus les adultes, et pour cause !) qui sont visés. Vigilance aussi pour nos adolescents ou pour les jeunes qui pourraient être contraints à une course au faux carnet de vaccination pour entrer dans le monde du travail, si on leur imposait ce vaccin [3]. N’oublions pas : il y a des stocks à écouler. A chacun de bien mesurer les enjeux.

    [1] Il a été ensuite autorisé à partir d’un an, quoique d’abord interdit avant 6 ans. Est-ce que cette modification sans AMM était légale ?

    [2] L’Hexavac aurait été responsable de la mort de quatre enfants en Allemagne. L’EMA l’a retiré du marché, invoquant son inefficacité. De deux choses l’une : ou il n’aurait jamais dû recevoir d’AMM s’il était inefficace ou la raison invoquée est fausse.

    [3] Il fait peur aujourd’hui (2005) à tout le monde et les médecins ne le pratiquent plus, sauf quelques pédiatres pour des
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    • #3
      Les médecins et les pédiatre continuent à le prescrire aux nourrissons et aux enfants en bas âge sous prétexte qu'il n'y a aucun preuve sur la dangerosité de ce vaccin.
      Vu qu'il y a de sérieux doutes qui pèsent sur ce vaccin, c'est au parents de faire de la résistance, et d'attendre quelques années pour voir comment va évoluer la situation.

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      • #4
        Ce qui me parait gravissime et auquel il me semble qu'aucun acteur décisionnaire ne peut échapper, c'est que la santé passe après les intérêts économiques des firmes, cela au mépris de la science même.
        Tant que cette dernière sera soumise à l'obligation de résultats commerciaux... Je ne vois pas comment sortir de ces abus qui dominent et émaillent l'ensemble de la société. Parler de civilisation dans ce contexte me parait usurpé : j'appelle ça la loi de la jungle (la loi du plus fort étant "la meilleure"... Jusqu'à preuve du contraire, dans le meilleur des cas).
        Dernière modification par Virginie, 17 mars 2008, 13h16.

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        • #5
          Debut 95 on nous donnait l ordre de vacciner nos petits de l hepatite B*
          Mais déja certains medecins etaient contre et des annonces ici et la le recommandait pas !

          Je n ai pas vacciné mes enfants meme si la pediatre me prenait la tete !

          On ne peut rien faire, a part les regarder jouer avec notre santé et celles de nos enfants ?

          Ca va pour les gens qui se renseignent mais les autres? ceux qui acceptent puisque ca vient d un doc !!!....

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          • #6
            vaccin HB

            Il est possible que les vaccin HB sont dirigés pour obsérver son comportement contre une soit disant protéction contre le sida-
            ( est ce que c est vrai ?)
            On dirai qu on pense ainsi :
            --peut étre ,Préférez vous une cértaine supposition d une protéction contre le SIDA en % et avoir en même temps la protéction contre hépatite virale B et en meme temps contracter la SEP en % et ou autres maladies auto-immunes en %.

            Je veux dire par la que les résultats de ces données en même temps doivent étres éxposés clairement dans les éssais thérapeutiques et les vaccinations controlées et répértoriées d années en années pour au moins une durée de 5 ans - c est l état qui doit prendre en charge les frais et non pas les labo , pour que cela devienne possible.
            Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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