Considéré comme facteur important dans le développement économique de la région, le méga projet panafricain de route transsaharienne devrait être réceptionné dans quatre ans, a appris aujourd’hui TSA d’une source proche des constructeurs.
Prévue sur une longueur de 9 000 kilomètres, la Transsaharienne traversera six pays : l’Algérie, le Mali, le Niger, le Nigeria, le Tchad et la Tunisie.
Une enveloppe financière de l’ordre de 400 millions de dollars a été jusqu’à présent déboursée.
L’achèvement de ce projet, lancé dans les années 1970, sera d’une aide précieuse d’abord pour le transport du pétrole.
«Les pétroliers et les professionnels des autoroutes de l’information ont maintenant besoin du goudron à travers tout le Sahara, voilà pourquoi la Transsaharienne va être achevée, cette fois», explique cette source qui précise. que le taux d’avancement du projet a dépassé les 75 %, soit environ 7 000 kilomètres de routes bitumées. Un tronçon de 300 kilomètres, reliant In Salah à Tamanrasset en Algérie, doit également être réhabilité.
Les spécialistes de ce secteur restent convaincus que la route transsaharienne est «nécessaire au développement des échanges économiques entre ces six pays». L’important retard accusé dans la réalisation de cette gigantesque infrastructure est lié à la mobilisation des capitaux, ont-ils noté.
TSA
Prévue sur une longueur de 9 000 kilomètres, la Transsaharienne traversera six pays : l’Algérie, le Mali, le Niger, le Nigeria, le Tchad et la Tunisie.
Une enveloppe financière de l’ordre de 400 millions de dollars a été jusqu’à présent déboursée.
L’achèvement de ce projet, lancé dans les années 1970, sera d’une aide précieuse d’abord pour le transport du pétrole.
«Les pétroliers et les professionnels des autoroutes de l’information ont maintenant besoin du goudron à travers tout le Sahara, voilà pourquoi la Transsaharienne va être achevée, cette fois», explique cette source qui précise. que le taux d’avancement du projet a dépassé les 75 %, soit environ 7 000 kilomètres de routes bitumées. Un tronçon de 300 kilomètres, reliant In Salah à Tamanrasset en Algérie, doit également être réhabilité.
Les spécialistes de ce secteur restent convaincus que la route transsaharienne est «nécessaire au développement des échanges économiques entre ces six pays». L’important retard accusé dans la réalisation de cette gigantesque infrastructure est lié à la mobilisation des capitaux, ont-ils noté.
TSA
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