L’augmentation vertigineuse des prix des denrées de première nécessité étouffe les Marocains. Après la farine, la semoule, le sucre et le lait, c’est au tour des prix de l’huile de table de connaître une flambée vertigineuse. Six augmentations en l’espace de dix mois.
La dernière, fin février 2008, varie entre 30 et 50 centimes au litre. Ainsi, le prix d’un litre d’huile Lesieur est passé de 13.80 dirhams à 14.10 dirhams, le litre de Huilor de 16 dirhams à 16.50 dirhams, le litre de Cristal de 13.50 dirhams à 13.90 dirhams.
Et, ce n’est pas encore fini. D’autres augmentations sont annoncées. Les opérateurs oléicoles expliquent cette hausse par l’accroissement de 30% des cours de l’huile brute sur le plan international depuis le mois d’avril 2007. En un an, les cours du blé ont été multipliées par deux fois. Celui du soja est passé de 900 euros à fin 2007, à 1.300 actuellement. L’effet collatéral est là. Les industriels marocains répercutent la hausse sur la consommation. Et pour cause, la quasi-totalité des matières premières sont importées. Loin de ces explications économiques, la rue ne cache plus son mécontentement. Surtout que l’inflation concerne tous les aliments de base de la consommation quotidienne des Marocains. Le prix de la semoule de blé dur a atteint un record historique.
Il est passé de 10 dirhams à 13 dirhams à fin février 2008. Cette montée engendre une augmentation des prix des produits fabriqués à base de cette céréale, notamment le couscous, les pâtes alimentaires et le pain. Exemple: un paquet de spaghetti de 500 grammes coûte 13 dirhams, contre 9 dirhams. Le lait UHT n’est pas épargné. Son prix oscille entre 8,50 et 9 dirhams contre 7,50 dirhams. Le beurre, lui, a depuis le mois de ramadan, doublé de prix pour passer de 33 dirhams à 60 dirhams. Quant au prix du kilo de blé, il varie, selon les qualités, entre 8 dirhams et 9 dirhams.Jamais encore les produits de première nécessité n’ont connu une explosion de prix aussi violente. Et, ce n’est pas seulement ces derniers qui font souffrir le panier de la ménagère. Un tour au marché pour le constater.
La dernière, fin février 2008, varie entre 30 et 50 centimes au litre. Ainsi, le prix d’un litre d’huile Lesieur est passé de 13.80 dirhams à 14.10 dirhams, le litre de Huilor de 16 dirhams à 16.50 dirhams, le litre de Cristal de 13.50 dirhams à 13.90 dirhams.
Et, ce n’est pas encore fini. D’autres augmentations sont annoncées. Les opérateurs oléicoles expliquent cette hausse par l’accroissement de 30% des cours de l’huile brute sur le plan international depuis le mois d’avril 2007. En un an, les cours du blé ont été multipliées par deux fois. Celui du soja est passé de 900 euros à fin 2007, à 1.300 actuellement. L’effet collatéral est là. Les industriels marocains répercutent la hausse sur la consommation. Et pour cause, la quasi-totalité des matières premières sont importées. Loin de ces explications économiques, la rue ne cache plus son mécontentement. Surtout que l’inflation concerne tous les aliments de base de la consommation quotidienne des Marocains. Le prix de la semoule de blé dur a atteint un record historique.
Il est passé de 10 dirhams à 13 dirhams à fin février 2008. Cette montée engendre une augmentation des prix des produits fabriqués à base de cette céréale, notamment le couscous, les pâtes alimentaires et le pain. Exemple: un paquet de spaghetti de 500 grammes coûte 13 dirhams, contre 9 dirhams. Le lait UHT n’est pas épargné. Son prix oscille entre 8,50 et 9 dirhams contre 7,50 dirhams. Le beurre, lui, a depuis le mois de ramadan, doublé de prix pour passer de 33 dirhams à 60 dirhams. Quant au prix du kilo de blé, il varie, selon les qualités, entre 8 dirhams et 9 dirhams.Jamais encore les produits de première nécessité n’ont connu une explosion de prix aussi violente. Et, ce n’est pas seulement ces derniers qui font souffrir le panier de la ménagère. Un tour au marché pour le constater.
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