Après plusieurs mois de fausses annonces et de nombreux rebondissements, le ministère de l'Industrie et de la Promotion de l'Investissement (MIPI) a annoncé, mardi 18 mars dans la soirée, avoir signé un protocole d'accord avec le groupe immobilier émirati Emaar. L'accord entre les deux parties porte sur la réalisation de trois projets dans les domaines de la santé et du tourisme.
Selon le ministère dirigé par M. Temmar, Emaar doit réaliser, en partenariat avec une entreprise algérienne, une "Cité de la Santé" sur 20 hectares dans la ville de Staouéli, sur le littoral ouest d'Alger, un établissement hôtelier et des infrastructures à usage public surenviron 400 hectares à Sidi Abdallah, une ville nouvelle en construction sur les hauteurs de la capitale. Le protocole prévoit également la réalisation d'un projet hôtelier et touristique intégré dans la zone touristique de Douaouda, près de Tipaza sur près de 109 hectares.
Le montant des investissements n'a pas été révélé par le ministère de l’industrie. Mais il ne devrait pas dépasser quelques milliards de dollars – 5, selon des estimations non officielles. Pour sa part, Emaar, pourtant côté en Bourse et habitué à communiquer sur ses projets auprès de la communauté financière, n'a fait aucune annonce sur ses projets en Algérie. En réalité, l'annonce du MIPI concerne un seul projet sur les cinq présentés en juillet 2007 par Emaar au président Bouteflika à Alger. Le groupe émirati, confronté à des problèmes de foncier en Algérie mais aussi à des difficultés financières en Egypte et en Arabie Saoudite –dans ce dernier pays, il fait face à une série de procès pour cause de retard dans la réalisation de ses projets particulièrement ce ui du King Abdallah City- a donc revu à la baisse ses projets en Algérie.
Principal projet présenté par Emaar en 2007, l'aménagement de la baie d'Alger est encore en discussion, précise le communiqué. Mais ce dernier a peu de chances d'aboutir, faute de foncier disponible : une partie des terrains réclamés par Emaar seront occupés par la future Grande Mosquée d'Alger, un projet cher au président Bouteflika. D'autres terrains que souhaitent récupérer le groupe émirati pour les besoins de ses projets sur la baie d'Alger ont déjà été attribués à d'autres investisseurs. Ces derniers menacent le gouvernement d'une bataille juridique qui pourrait durer de nombreuses années
=== MODERATION ===
Indiquez des titres explicites pour vos sujets de discussions, svp : http://www.algerie-dz.com/forums/faq...edaction_topic
Selon le ministère dirigé par M. Temmar, Emaar doit réaliser, en partenariat avec une entreprise algérienne, une "Cité de la Santé" sur 20 hectares dans la ville de Staouéli, sur le littoral ouest d'Alger, un établissement hôtelier et des infrastructures à usage public surenviron 400 hectares à Sidi Abdallah, une ville nouvelle en construction sur les hauteurs de la capitale. Le protocole prévoit également la réalisation d'un projet hôtelier et touristique intégré dans la zone touristique de Douaouda, près de Tipaza sur près de 109 hectares.
Le montant des investissements n'a pas été révélé par le ministère de l’industrie. Mais il ne devrait pas dépasser quelques milliards de dollars – 5, selon des estimations non officielles. Pour sa part, Emaar, pourtant côté en Bourse et habitué à communiquer sur ses projets auprès de la communauté financière, n'a fait aucune annonce sur ses projets en Algérie. En réalité, l'annonce du MIPI concerne un seul projet sur les cinq présentés en juillet 2007 par Emaar au président Bouteflika à Alger. Le groupe émirati, confronté à des problèmes de foncier en Algérie mais aussi à des difficultés financières en Egypte et en Arabie Saoudite –dans ce dernier pays, il fait face à une série de procès pour cause de retard dans la réalisation de ses projets particulièrement ce ui du King Abdallah City- a donc revu à la baisse ses projets en Algérie.
Principal projet présenté par Emaar en 2007, l'aménagement de la baie d'Alger est encore en discussion, précise le communiqué. Mais ce dernier a peu de chances d'aboutir, faute de foncier disponible : une partie des terrains réclamés par Emaar seront occupés par la future Grande Mosquée d'Alger, un projet cher au président Bouteflika. D'autres terrains que souhaitent récupérer le groupe émirati pour les besoins de ses projets sur la baie d'Alger ont déjà été attribués à d'autres investisseurs. Ces derniers menacent le gouvernement d'une bataille juridique qui pourrait durer de nombreuses années
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