La République des Seychelles retire sa reconnaissance de la chimérique RASD
La République des Seychelles a choisi un moment et un endroit très symboliques pour annoncer le retrait de sa reconnaissance de la fantomatique RASD. Alors que s’ouvrait le 4ème round de négociations sur le Sahara, à New York, ce pays africain a envoyé une lettre au secrétaire général de l’ONU, Ban-ki Moon, pour marquer, dans une initiative sans précédent, son désaveu à l’égard de l’entité chimérique. La décision des Seychelles, qui porte à 35 le nombre de pays ayant retiré ou gelé depuis 1995 leur reconnaissance de la pseudo RASD, s’inscrit dans la foulée d’une cascade de retraits et de gels, amorcée depuis quelques années dans un compte à rebours, qui préfigure à terme de la fin de la fantomatique république, mort-née sur le sol algérien, proclamée à l’instigation et avec la bénédiction d’Alger. Depuis seulement 2005, 25 pays avaient retiré ou gelé leur reconnaissance de la RASD. Le fait que ce nouveau retrait soit annoncé depuis New York, qui abrite le siège des Nations unies, la décision de la République des Seychelles adresse un signal fort à la communauté internationale, qui se rend à l’évidence que la supercherie nommée RASD a fait long feu et que sa proclamation n’était qu’une manœuvre d’Alger, aujourd’hui réduite à faire le décompte des pays ayant rompu tout lien avec son rejeton.
ALM
La République des Seychelles a choisi un moment et un endroit très symboliques pour annoncer le retrait de sa reconnaissance de la fantomatique RASD. Alors que s’ouvrait le 4ème round de négociations sur le Sahara, à New York, ce pays africain a envoyé une lettre au secrétaire général de l’ONU, Ban-ki Moon, pour marquer, dans une initiative sans précédent, son désaveu à l’égard de l’entité chimérique. La décision des Seychelles, qui porte à 35 le nombre de pays ayant retiré ou gelé depuis 1995 leur reconnaissance de la pseudo RASD, s’inscrit dans la foulée d’une cascade de retraits et de gels, amorcée depuis quelques années dans un compte à rebours, qui préfigure à terme de la fin de la fantomatique république, mort-née sur le sol algérien, proclamée à l’instigation et avec la bénédiction d’Alger. Depuis seulement 2005, 25 pays avaient retiré ou gelé leur reconnaissance de la RASD. Le fait que ce nouveau retrait soit annoncé depuis New York, qui abrite le siège des Nations unies, la décision de la République des Seychelles adresse un signal fort à la communauté internationale, qui se rend à l’évidence que la supercherie nommée RASD a fait long feu et que sa proclamation n’était qu’une manœuvre d’Alger, aujourd’hui réduite à faire le décompte des pays ayant rompu tout lien avec son rejeton.
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