Adulée par les uns, redoutée voire détestée par d'autres pour sa complexité, la langue française séduit ceux qui font l'effort de la connaître et de l'apprécier.
La francophonie rassemble aujourd'hui près de 200 millions de personnes dans le monde. Ce 20 mars donne l'occasion de célébrer cette langue qui les réunit.
De Séoul à Québec en passant par la Belgique, des débats, des concours de théâtre, des concerts et récitals de poésie célèbrent la langue de Molière sur les cinq continents, à l'occasion de cette Journée internationale de la Francophonie du 20 mars.
La Francophonie revendique 200 millions de locuteurs dans le monde et fédère 803 millions de personnes au sein de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF), qui représente 68 Etats et gouvernements. Le secrétaire général de l'OIF, Abdou Diouf préside ce jeudi les célébrations officielles de cette journée à la Cité internationale universitaire de Paris.
Le site de l'événement permet de retrouver les activités dans les différents pays. En Belgique, chaque année, une ville est élue « ville des mots ». Cette année l'honneur revient à la ville de la Louvière. Durant cette journée, les aphorismes et la poésie, des activités auront lieu dans toutes les anciennes « villes des mots », à savoir, Mons, Huy, Braine-l'Alleud, Dinant, Tournai, Namur, Watermael-Boitsfort, Habay, Nivelles, Mouscron et Liège.
Sous le thème « Et que les histoires voyagent ! », des livres sont distribués dans les gares « des anciennes villes des mots ». L'idée consiste à faire passer les livres d'une personne à l'autre afin que les mots puissent voyager et être partagés.
La France, le Québec, la Suisse et la Belgique ont choisi dix mots communs pour découvrir la richesse de la langue française : « Apprivoiser, boussole, jubilatoire, palabre, passerelle, rhizome, s'attabler, tact, toi, visage ». Ils sont le prétexte à de multiples activités, mis en scène sous diverses formes ; contes, poèmes, pièces de théâtre, chansons, dessins, sculptures, photographies, etc. Seule condition : laisser aller son imagination.
Cette fête a été conçue pour nous rappeler que la langue est faite pour le citoyen et non le citoyen pour la langue.
Lena Vereecke (St.)
Le Soir
La francophonie rassemble aujourd'hui près de 200 millions de personnes dans le monde. Ce 20 mars donne l'occasion de célébrer cette langue qui les réunit.
De Séoul à Québec en passant par la Belgique, des débats, des concours de théâtre, des concerts et récitals de poésie célèbrent la langue de Molière sur les cinq continents, à l'occasion de cette Journée internationale de la Francophonie du 20 mars.
La Francophonie revendique 200 millions de locuteurs dans le monde et fédère 803 millions de personnes au sein de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF), qui représente 68 Etats et gouvernements. Le secrétaire général de l'OIF, Abdou Diouf préside ce jeudi les célébrations officielles de cette journée à la Cité internationale universitaire de Paris.
Le site de l'événement permet de retrouver les activités dans les différents pays. En Belgique, chaque année, une ville est élue « ville des mots ». Cette année l'honneur revient à la ville de la Louvière. Durant cette journée, les aphorismes et la poésie, des activités auront lieu dans toutes les anciennes « villes des mots », à savoir, Mons, Huy, Braine-l'Alleud, Dinant, Tournai, Namur, Watermael-Boitsfort, Habay, Nivelles, Mouscron et Liège.
Sous le thème « Et que les histoires voyagent ! », des livres sont distribués dans les gares « des anciennes villes des mots ». L'idée consiste à faire passer les livres d'une personne à l'autre afin que les mots puissent voyager et être partagés.
La France, le Québec, la Suisse et la Belgique ont choisi dix mots communs pour découvrir la richesse de la langue française : « Apprivoiser, boussole, jubilatoire, palabre, passerelle, rhizome, s'attabler, tact, toi, visage ». Ils sont le prétexte à de multiples activités, mis en scène sous diverses formes ; contes, poèmes, pièces de théâtre, chansons, dessins, sculptures, photographies, etc. Seule condition : laisser aller son imagination.
Cette fête a été conçue pour nous rappeler que la langue est faite pour le citoyen et non le citoyen pour la langue.
Lena Vereecke (St.)
Le Soir
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