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L’Algérie veut exporter pour 2 milliards hors hydrocarbures
L’Algérie ambitionne de développer ses exportations hors hydrocarbures pour atteindre 2 milliards de dollars à l’horizon 2010.
samedi 22 mars 2008.
Suite à la décision relative à la prise en charge des frais d’installation et de représentation d’entreprises algériennes à l’étranger en vue d’écouler leurs produits par la Banque d’Algérie, l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex) envisage d’organiser au mois d’avril prochain une rencontre regroupant les banques commerciales et les exportateurs. Cette rencontre sera l’occasion aussi d’aborder la question des financements destinés spécifiquement à l’exportation, a indiqué M. Bennini, directeur général d’Algex, à l’APS. Il faut en outre rappeler que la Banque d’Algérie avait procédé à des assouplissements des règles en matière de rapatriement des devises et d’accompagnement des entreprises à l’étranger. Toujours dans ce même contexte, l’Algex a élaboré un programme d’actions immédiates où figurent l’accompagnement d’une cinquantaine d’entreprises exportatrices, la création d’un fonds de soutien aux exportateurs et le soutien des entreprises algériennes devant participer aux foires internationales. Ce programme, baptisé « optimexport », est doté d’un crédit à hauteur de 2,5 millions d’euros ; les conclusions finales seront connues au mois de mai prochain.
Selon le DG d’Algex, il portera également sur la formation de professionnels en Algérie aux métiers de l’exportation, l’information commerciale et la prospection des marchés extérieurs. « Ce programme a été élaboré en partenariat entre le ministre du Commerce et l’Agence française de développement [AFD] », a expliqué Bennini. Il est souligné dans la dépêche que les entreprises exportatrices identifiées activent dans des secteurs jugés « à forte capacité exportatrice comme l’agroalimentaire, les produits agricoles et certains produits manufacturés ». Elles seront accompagnées particulièrement sur le marché français afin d’écouler leurs marchandises par le biais de leur participation aux foires spécialisées et autres manifestations économiques. A propos des marchés potentiels pour l’exportation des produits algériens, M. Bennini a indiqué que plusieurs accords de libre-échange sont en cours de conclusion. L’accord sur la zone arabe de libre-échange (ZALE) que l’Algérie a signé pourrait ouvrir de larges perspectives aux produits agricoles et même industriels algériens, a-t-il dit. Des négociations sont en cours entre l’Algérie et plusieurs pays afin de conclure des accords bilatéraux de libre-échange, a ajouté ce responsable qui s’attend à la signature d’accords avec la Tunisie et la Turquie avant la fin du premier semestre de cette année.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com
D’après La Tribune
L’Algérie ambitionne de développer ses exportations hors hydrocarbures pour atteindre 2 milliards de dollars à l’horizon 2010.
samedi 22 mars 2008.
Suite à la décision relative à la prise en charge des frais d’installation et de représentation d’entreprises algériennes à l’étranger en vue d’écouler leurs produits par la Banque d’Algérie, l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex) envisage d’organiser au mois d’avril prochain une rencontre regroupant les banques commerciales et les exportateurs. Cette rencontre sera l’occasion aussi d’aborder la question des financements destinés spécifiquement à l’exportation, a indiqué M. Bennini, directeur général d’Algex, à l’APS. Il faut en outre rappeler que la Banque d’Algérie avait procédé à des assouplissements des règles en matière de rapatriement des devises et d’accompagnement des entreprises à l’étranger. Toujours dans ce même contexte, l’Algex a élaboré un programme d’actions immédiates où figurent l’accompagnement d’une cinquantaine d’entreprises exportatrices, la création d’un fonds de soutien aux exportateurs et le soutien des entreprises algériennes devant participer aux foires internationales. Ce programme, baptisé « optimexport », est doté d’un crédit à hauteur de 2,5 millions d’euros ; les conclusions finales seront connues au mois de mai prochain.Selon le DG d’Algex, il portera également sur la formation de professionnels en Algérie aux métiers de l’exportation, l’information commerciale et la prospection des marchés extérieurs. « Ce programme a été élaboré en partenariat entre le ministre du Commerce et l’Agence française de développement [AFD] », a expliqué Bennini. Il est souligné dans la dépêche que les entreprises exportatrices identifiées activent dans des secteurs jugés « à forte capacité exportatrice comme l’agroalimentaire, les produits agricoles et certains produits manufacturés ». Elles seront accompagnées particulièrement sur le marché français afin d’écouler leurs marchandises par le biais de leur participation aux foires spécialisées et autres manifestations économiques. A propos des marchés potentiels pour l’exportation des produits algériens, M. Bennini a indiqué que plusieurs accords de libre-échange sont en cours de conclusion. L’accord sur la zone arabe de libre-échange (ZALE) que l’Algérie a signé pourrait ouvrir de larges perspectives aux produits agricoles et même industriels algériens, a-t-il dit. Des négociations sont en cours entre l’Algérie et plusieurs pays afin de conclure des accords bilatéraux de libre-échange, a ajouté ce responsable qui s’attend à la signature d’accords avec la Tunisie et la Turquie avant la fin du premier semestre de cette année.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com
D’après La Tribune