Lors d'une rencontre avec la presse algérienne accueilli par le journal "Achaab" et a l'issue de sa visite en Algérie qui a duré cinq jours, Boutros-Ghali a estimé etre de´cu d´avoir echoué de persuader les deux voisins, l'Algérie et le Maroc à s'asseoir face à face pour la solution du problème du Sahara occidental quand il etait á la tête du secrétariat de l'ONU (1996-1992).
De l'avis de l´ancien secretaire general de l´ONU, la solution réside dans la volonté des deux pays l'Algérie et le Maroc qui devront s´assoir autour de la meme table du dialogue et de commencer des négociations directes entre eux, afin de trouver une solution pacifique a ce probleme.
Ghali avait suggéré à l'Algérie et au Maroc plusieurs solutions, mais il a été déçu par son incapacité à persuader les deux parties d'adopter un, dans une référence implicite à l'Algérie, qui a cru qu´il avait pris position claire de la partie marocaine au détriment du droit du peuple sahraoui à l´autodetermination par le biais d´un référendum.
Dans l'évaluation de Boutros-Ghali, il ne faut jamais perdre espoir ou d'optimisme que les négociations prendront fin un jour avec une solution a la question décrite comme «l'une des questions les plus complexes, en dépit de l'apparente simplicité a cause de l'intérêt de plusieurs parties liées à a ce conflit" en soulignant que la solution dépend de la disponibilité d'abord de la volonté politique de l'Algérie et du Maroc''.
http://www.elkhabar.com/quotidien/li...&key=1&cahed=1
De l'avis de l´ancien secretaire general de l´ONU, la solution réside dans la volonté des deux pays l'Algérie et le Maroc qui devront s´assoir autour de la meme table du dialogue et de commencer des négociations directes entre eux, afin de trouver une solution pacifique a ce probleme.
Ghali avait suggéré à l'Algérie et au Maroc plusieurs solutions, mais il a été déçu par son incapacité à persuader les deux parties d'adopter un, dans une référence implicite à l'Algérie, qui a cru qu´il avait pris position claire de la partie marocaine au détriment du droit du peuple sahraoui à l´autodetermination par le biais d´un référendum.
Dans l'évaluation de Boutros-Ghali, il ne faut jamais perdre espoir ou d'optimisme que les négociations prendront fin un jour avec une solution a la question décrite comme «l'une des questions les plus complexes, en dépit de l'apparente simplicité a cause de l'intérêt de plusieurs parties liées à a ce conflit" en soulignant que la solution dépend de la disponibilité d'abord de la volonté politique de l'Algérie et du Maroc''.
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