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Bonjour
Une histoire pour le moins rocambolesque que celle qui a eu lieu le 9 mars dernier, au niveau de la ville d’Aomar, commune située à 22 km au nord-ouest de Bouira. B. A., âgé de 23 ans, célibataire et résidant à Lakhdaria, a contacté sa copine, K. H., lycéenne, âgée de 21 ans et résidant à Aomar. Il lui donna 10 000 DA et lui louera une chambre dans un hôtel à Bouira. Entre-temps, B. A. contacte un ami à lui, S. Y., âgé de 22 ans et fonctionnaire à Lakhdaria. Il lui dit de téléphoner au père de sa copine K. H. et de lui expliquer que sa fille est kidnappée et que pour sa libération, il devait payer la somme de deux millions de dinars.
Le père, une fois au courant du kidnapping de sa fille, alla déposer plainte auprès de la police. Durant l’interrogatoire, la police a appris que le père avait l’habitude de recevoir des appels de la part d’une personne que la police a fini par découvrir comme étant le dénommé B. A., ancien copain de classe de K. H. Une fois interpellé, B. A. n’a pas tardé à passer aux aveux en disant que le complot a été mis en place avec le consentement de sa copine qui voulait extorquer de l’argent à son père et le partager ensuite entre les trois. Entre-temps, B. A. donna le nom de l’hôtel où se trouvait K. H. Cette dernière, arrêtée au même titre que S. Y., a nié les faits retenus contre elle et déclaré que si elle avait accepté de passer la nuit dans un hôtel, c’était parce que son ami B. A. lui avait fait croire qu’il s’agissait d’un cadeau à l’occasion de la Journée internationale de la femme ?! Présentés devant le procureur de la République de Bouira, les trois mis en cause ont été déférés devant le juge d’instruction qui a placé sous mandat de dépôt le dénommé B. A., alors que S. Y. a été placé sous contrôle judiciaire et K. H. remise en liberté provisoire.
Le Soir d'Algérie
Une histoire pour le moins rocambolesque que celle qui a eu lieu le 9 mars dernier, au niveau de la ville d’Aomar, commune située à 22 km au nord-ouest de Bouira. B. A., âgé de 23 ans, célibataire et résidant à Lakhdaria, a contacté sa copine, K. H., lycéenne, âgée de 21 ans et résidant à Aomar. Il lui donna 10 000 DA et lui louera une chambre dans un hôtel à Bouira. Entre-temps, B. A. contacte un ami à lui, S. Y., âgé de 22 ans et fonctionnaire à Lakhdaria. Il lui dit de téléphoner au père de sa copine K. H. et de lui expliquer que sa fille est kidnappée et que pour sa libération, il devait payer la somme de deux millions de dinars.
Le père, une fois au courant du kidnapping de sa fille, alla déposer plainte auprès de la police. Durant l’interrogatoire, la police a appris que le père avait l’habitude de recevoir des appels de la part d’une personne que la police a fini par découvrir comme étant le dénommé B. A., ancien copain de classe de K. H. Une fois interpellé, B. A. n’a pas tardé à passer aux aveux en disant que le complot a été mis en place avec le consentement de sa copine qui voulait extorquer de l’argent à son père et le partager ensuite entre les trois. Entre-temps, B. A. donna le nom de l’hôtel où se trouvait K. H. Cette dernière, arrêtée au même titre que S. Y., a nié les faits retenus contre elle et déclaré que si elle avait accepté de passer la nuit dans un hôtel, c’était parce que son ami B. A. lui avait fait croire qu’il s’agissait d’un cadeau à l’occasion de la Journée internationale de la femme ?! Présentés devant le procureur de la République de Bouira, les trois mis en cause ont été déférés devant le juge d’instruction qui a placé sous mandat de dépôt le dénommé B. A., alors que S. Y. a été placé sous contrôle judiciaire et K. H. remise en liberté provisoire.
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