Les investisseurs arabes affichent de plus en plus leur ambition de pénétrer le marché algérien, notamment les pays du golf.
Après les Emiratis, c'est les Saoudiens cette fois-ci qui se lancent dans le marché des huiles. En effet, le groupe saoudien Savola spécialisé dans l'huile de table devrait lancer son unité de production avant la fin de février 2008, il élira domicile dans la wilaya de Mostaganaem.
Il convient de signaler ainsi que le groupe compte relancer aussi son projet de la construction d'une unité de raffinage de sucre où il investira 140 millions de dollars. L'accord a été finalisé avec le gouvernement récemment. Cette enveloppe servira à la création d'une grande unité de raffinage de sucre dans la région d'Oran d'une capacité nominale d'un million de tonnes.
La décision de Savola de s'implanter en Algérie, vient suite à l'échec d'une tentative de s'allier au groupe Ynna dans le secteur du sucre au Maroc. Les deux groupes étaient, jusqu'à une date récente, en négociation pour la construction d'une unité de raffinage du sucre à Tanger. L'investissement était estimé à 1 milliard de dirhams. Un revirement qui d'ailleurs n'a pas tardé à susciter de vifs commentaires dans le milieu industriel marocain.
Samira Hamadi (Le Maghreb)
Après les Emiratis, c'est les Saoudiens cette fois-ci qui se lancent dans le marché des huiles. En effet, le groupe saoudien Savola spécialisé dans l'huile de table devrait lancer son unité de production avant la fin de février 2008, il élira domicile dans la wilaya de Mostaganaem.
Il convient de signaler ainsi que le groupe compte relancer aussi son projet de la construction d'une unité de raffinage de sucre où il investira 140 millions de dollars. L'accord a été finalisé avec le gouvernement récemment. Cette enveloppe servira à la création d'une grande unité de raffinage de sucre dans la région d'Oran d'une capacité nominale d'un million de tonnes.
La décision de Savola de s'implanter en Algérie, vient suite à l'échec d'une tentative de s'allier au groupe Ynna dans le secteur du sucre au Maroc. Les deux groupes étaient, jusqu'à une date récente, en négociation pour la construction d'une unité de raffinage du sucre à Tanger. L'investissement était estimé à 1 milliard de dirhams. Un revirement qui d'ailleurs n'a pas tardé à susciter de vifs commentaires dans le milieu industriel marocain.
Samira Hamadi (Le Maghreb)
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