Ahmed Ben Bella a le mérite d'avoir été clair et précis : le Front Islamique du Salut a non seulement le droit de revenir sur la scène politique, mais plus encore, il doit le faire pour que réussisse la réconciliation nationale de Bouteflika.
Perso, je n'y comprends plus rien. L'état algérien dépense sans compter pour tenter de récupérer et de recycler des monstres assassins, pendant que les victimes et les familles de victimes du terrorisme ne savent plus à qui s'en remettre pour trouver une raison de survivre dans une Algérie qui les aura abandonnés.
Comme disait le défunt Matoub à propos de la libération des assassins à l'époque Zeroual : "pourquoi cette drague ? Il n'a qu'à leur donner le pouvoir et leur remettre les clés de la maison Algérie. Qu'il décrète un état islamique".
Perso, je n'y comprends plus rien. L'état algérien dépense sans compter pour tenter de récupérer et de recycler des monstres assassins, pendant que les victimes et les familles de victimes du terrorisme ne savent plus à qui s'en remettre pour trouver une raison de survivre dans une Algérie qui les aura abandonnés.
Comme disait le défunt Matoub à propos de la libération des assassins à l'époque Zeroual : "pourquoi cette drague ? Il n'a qu'à leur donner le pouvoir et leur remettre les clés de la maison Algérie. Qu'il décrète un état islamique".
“L’ex-FIS doit participer”
D’ailleurs, à contre-courant des voix officielles qui avaient affirmé que le dossier du “FIS est clos”, l’ex-président de la République a estimé nécessaire, pour la réussite de la réconciliation, le retour du parti dissous sur la scène politique. “Toutes les parties doivent participer, et l’ex-FIS en fait partie. Il doit participer et même à l’activité politique”, a-t-il suggéré. Ahmed Ben Bella répondait ainsi à la question de savoir si la réconciliation était possible au moment où les responsables du parti dissous sont soumis à des restrictions. Cependant, s’il concède que “les Algériens sont un grand peuple” et que “la violence a fortement diminué”, le président de la Cnag n’en reconnaît pas moins que l’entreprise de réconciliation n’est pas une tâche aisée. “Ça demande du temps pour effacer les plaies”, a-t-il reconnu. Mais l’aveu cache, à vrai dire, certains obstacles même s’il refuse d’en révéler la nature. “On a fait des progrès sur le plan psychologique, mais il faut du temps”, a-t-il dit en suggérant que les familles des victimes ainsi que les problèmes sociaux constituent aussi des questions à résoudre.
La suite : http://www.liberte-***********/edit.php?id=487
D’ailleurs, à contre-courant des voix officielles qui avaient affirmé que le dossier du “FIS est clos”, l’ex-président de la République a estimé nécessaire, pour la réussite de la réconciliation, le retour du parti dissous sur la scène politique. “Toutes les parties doivent participer, et l’ex-FIS en fait partie. Il doit participer et même à l’activité politique”, a-t-il suggéré. Ahmed Ben Bella répondait ainsi à la question de savoir si la réconciliation était possible au moment où les responsables du parti dissous sont soumis à des restrictions. Cependant, s’il concède que “les Algériens sont un grand peuple” et que “la violence a fortement diminué”, le président de la Cnag n’en reconnaît pas moins que l’entreprise de réconciliation n’est pas une tâche aisée. “Ça demande du temps pour effacer les plaies”, a-t-il reconnu. Mais l’aveu cache, à vrai dire, certains obstacles même s’il refuse d’en révéler la nature. “On a fait des progrès sur le plan psychologique, mais il faut du temps”, a-t-il dit en suggérant que les familles des victimes ainsi que les problèmes sociaux constituent aussi des questions à résoudre.
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