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Des dirigeants arabes ont commencé vendredi à arriver à Damas pour participer au sommet de la Ligue arabe qui s’ouvre samedi 29 mars dans la capitale syrienne. Ce sommet est marqué par l'absence du Liban, seul parmi les 22 pays membre de la Ligue à boycotter la rencontre pour protester contre les ingérences syriennes dans ses affaires intérieures. Beyrouth accuse en effet Damas d’empêcher l’élection du nouveau président libanais.
Le sommet de Damas, qui intervient dans un contexte de tension dans les territoires palestiniens avec la multiplication des exactions israéliennes, sera également marqué par l’absence des chefs d'Etat des pays alliés de Washington dans la région. Le président égyptien Hosni Moubarak, le roi Abdallah d'Arabie saoudite et son homologue Abdallah II de Jordanie seront absents, tout comme le roi Mohammed VI du Maroc, celui de Bahreïn cheikh Hamad ben Issa al-Khalifa, les présidents irakien Jalal Talabani, yéménite Ali-Abdallah Saleh et le sultan Qabous d'Oman.
Ces pays enverront des délégations de faible niveau à Damas. Officiellement, ils entendent ainsi protester contre ce qu'ils considèrent comme une ingérence syrienne au Liban. En réalité, ils semblent répondre à une demande de Washington qui souhaite accentuer l’isolement de la Syrie dans la région.
Outre le président syrien Bachar al-Assad, hôte du sommet, les chefs d'Etat des Emirats arabes unis, du Soudan de la Tunisie, de l'Algérie, de la Mauritanie, des Comores, du Koweït, du Qatar, de la Libye ainsi que le président de l'Autorité palestinienne, sont en revanche attendus à Damas.
(c) AFP 28/03/2008
Le sommet de Damas, qui intervient dans un contexte de tension dans les territoires palestiniens avec la multiplication des exactions israéliennes, sera également marqué par l’absence des chefs d'Etat des pays alliés de Washington dans la région. Le président égyptien Hosni Moubarak, le roi Abdallah d'Arabie saoudite et son homologue Abdallah II de Jordanie seront absents, tout comme le roi Mohammed VI du Maroc, celui de Bahreïn cheikh Hamad ben Issa al-Khalifa, les présidents irakien Jalal Talabani, yéménite Ali-Abdallah Saleh et le sultan Qabous d'Oman.
Ces pays enverront des délégations de faible niveau à Damas. Officiellement, ils entendent ainsi protester contre ce qu'ils considèrent comme une ingérence syrienne au Liban. En réalité, ils semblent répondre à une demande de Washington qui souhaite accentuer l’isolement de la Syrie dans la région.
Outre le président syrien Bachar al-Assad, hôte du sommet, les chefs d'Etat des Emirats arabes unis, du Soudan de la Tunisie, de l'Algérie, de la Mauritanie, des Comores, du Koweït, du Qatar, de la Libye ainsi que le président de l'Autorité palestinienne, sont en revanche attendus à Damas.
(c) AFP 28/03/2008
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