Après la menace d’un handicapé de faire exploser un avion transportant le consul américain
La Direction générale de la sûreté nationale et la direction générale des douanes ont pris des mesures de sanction et procédé à des changements de poste à l’aéroport international Houari-Boumediene, en limogeant 15 cadres des douanes dans les différents services de l’aéroport, alors que la mise en arrêt provisoire a été décidée en attendant l’écartement de neuf agents de police, deux commissaires et un officier.
Les directions de la police et de la gendarmerie de l’aéroport Houari-Boumediene poursuivent leur campagne d’assainissement des deux corps, depuis qu’il s’est avéré que certains de leurs cadres ont commis des fautes professionnelles dont le degré de gravité diffère d’un cas à l’autre. Après le limogeage du président de l’inspection de sections des douanes et deux autres inspecteurs de la même instance à l’aéroport, la mise en arrêt provisoire a été décidée contre 15 douaniers dont des agents de contrôle et des éléments de la brigade mobile, ainsi que des éléments de la brigade de scanner, et cela après leur implication avérée dans de nombreuses affaires suspectes.
Selon des sources responsables à la direction des douanes, les décisions de l’écartement provisoire vont se conclure par des mesures de sanction strictes que prendra la commission disciplinaire des douanes lors de sa prochaine réunion. D’ici là, les fonctionnaires sanctionnés ont été remplacés par d’autres des services de la direction régionale à Dar El Beïda, pour assurer l’exercice des mêmes fonctions, en attendant l’installation définitive des cadres de l’inspection des services, à la tête de laquelle se trouve actuellement un inspecteur par intérim.
Concernant les infractions commises, elles diffèrent d’un cas à l’autre, d’après ce qu’ont assuré certaines sources, mais elles sont liées à l’incident de la personne handicapée qui a menacé de faire exploser un avion en partance de l’aéroport Houari-Boumediene, et cela à l’aide d’une ceinture explosive qui s’est avérée plus tard être une ceinture de dattes. A bord de l’avion se trouvaient le consul américain et un fonctionnaire de l’Organisation des Nations Unies.
El Khabar
La Direction générale de la sûreté nationale et la direction générale des douanes ont pris des mesures de sanction et procédé à des changements de poste à l’aéroport international Houari-Boumediene, en limogeant 15 cadres des douanes dans les différents services de l’aéroport, alors que la mise en arrêt provisoire a été décidée en attendant l’écartement de neuf agents de police, deux commissaires et un officier.
Les directions de la police et de la gendarmerie de l’aéroport Houari-Boumediene poursuivent leur campagne d’assainissement des deux corps, depuis qu’il s’est avéré que certains de leurs cadres ont commis des fautes professionnelles dont le degré de gravité diffère d’un cas à l’autre. Après le limogeage du président de l’inspection de sections des douanes et deux autres inspecteurs de la même instance à l’aéroport, la mise en arrêt provisoire a été décidée contre 15 douaniers dont des agents de contrôle et des éléments de la brigade mobile, ainsi que des éléments de la brigade de scanner, et cela après leur implication avérée dans de nombreuses affaires suspectes.
Selon des sources responsables à la direction des douanes, les décisions de l’écartement provisoire vont se conclure par des mesures de sanction strictes que prendra la commission disciplinaire des douanes lors de sa prochaine réunion. D’ici là, les fonctionnaires sanctionnés ont été remplacés par d’autres des services de la direction régionale à Dar El Beïda, pour assurer l’exercice des mêmes fonctions, en attendant l’installation définitive des cadres de l’inspection des services, à la tête de laquelle se trouve actuellement un inspecteur par intérim.
Concernant les infractions commises, elles diffèrent d’un cas à l’autre, d’après ce qu’ont assuré certaines sources, mais elles sont liées à l’incident de la personne handicapée qui a menacé de faire exploser un avion en partance de l’aéroport Houari-Boumediene, et cela à l’aide d’une ceinture explosive qui s’est avérée plus tard être une ceinture de dattes. A bord de l’avion se trouvaient le consul américain et un fonctionnaire de l’Organisation des Nations Unies.
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