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SAINT-DENIS (Reuters) - Un penalty très contesté dans les arrêts de jeu a offert au Paris Saint-Germain un bol d'air et la victoire 2-1 contre Lens samedi en finale de la Coupe de la Ligue.
C'est Bernard Mendy qui a transformé le penalty accordé par Laurent Duhamel pour un léger accrochage entre Vitorino Hilton et Peguy Luyindula à la 93e minute.
"C'est une coupe, c'est un trophée. C'est magnifique de vivre ça à la dernière minute. C'est les plus belles victoires. On s'est accrochés", a dit Jérôme Rothen.
Jusqu'au coup de théâtre, les deux équipes, en lutte pour le maintien en Ligue 1, avaient offert un spectacle appréciable au Stade de France.
Si ce troisième succès en Coupe de la Ligue donnera aux Parisiens un coup de pouce psychologique pour le sprint final en L1, le revers est un gros coup de bambou sur la tête des hommes de Jean-Pierre Papin et Daniel Leclercq.
Le PSG, vainqueur de sa 11e coupe en 38 ans, confirme ainsi son statut d'équipe de coups.
La formation de Paul Le Guen disputera la Coupe de l'UEFA la saison prochaine, alors qu'elle évoluera peut-être en L2.
Dix-huitièmes de la L1, les Parisiens reprennent les affaires courantes mercredi contre Strasbourg.
"C'est trop dur. On prend le deuxième but sur une action litigieuse. Je pense que les supporters méritaient mieux mais que les Parisiens méritaient leur victoire. On va rester en Ligue 1", a déclaré Kevin Monnet-Pacquet.
Lens est 17e au classement avec deux longueurs d'avance sur Paris.
Le PSG se créait la première occasion à la quatrième minute, lorsqu'Amara Diané prenait le meilleur sur Vitorino Hilton avant de centrer en retrait pour Pauleta.
La reprise à bout portant du Portugais était contrée in extremis par Adama Coulibaly.
MONTERRUBIO SUR LE POTEAU
Après dix minutes, Loïc Rémy, blessé, devait laisser sa place à Olivier Monterrubio.
A la 19e, le PSG ouvrait la marque grâce à un lob de Pauleta, bien placé à la réception d'un tir contré de Clément Chantôme.
Incapables de porter le danger dans la surface adverse, fébriles en défense, les Lensois jouaient avec le feu.
A la demi-heure de jeu, toutefois, il fallait une superbe claquette de Mickaël Landreau pour détourner une frappe enroulée de Toifilou Maoulida.
Les Sang et Or abordaient la seconde période le couteau entre les dents et, après sept minutes, Eric Carrière égalisait d'une frappe croisée du droit à ras de terre.
Dans un contraste saisissant avec le France-Angleterre de mercredi, les deux virages de supporters donnaient de la couleur et une voix au Stade de France.
Monterrubio voyait sa tentative du coin gauche de la surface se fracasser sur l'équerre des buts de Landreau, et c'est le PSG qui était au bord de la rupture. Quelques instants plus tard, une tête plongeante de Maoulida manquait le cadre de peu.
Amara Diané avait la balle de la victoire à la 83e minute mais l'Ivoirien perdait son duel face à Ronan Le Crom.
Dix minutes plus tard, à quelques secondes du coup de sifflet final, Luyindula partait en contre et au contact d'Hilton, s'écroulait dans la surface.
D'un tir à ras de terre, Mendy, face au virage lensois, pliait le match.
C'est Bernard Mendy qui a transformé le penalty accordé par Laurent Duhamel pour un léger accrochage entre Vitorino Hilton et Peguy Luyindula à la 93e minute.
"C'est une coupe, c'est un trophée. C'est magnifique de vivre ça à la dernière minute. C'est les plus belles victoires. On s'est accrochés", a dit Jérôme Rothen.
Jusqu'au coup de théâtre, les deux équipes, en lutte pour le maintien en Ligue 1, avaient offert un spectacle appréciable au Stade de France.
Si ce troisième succès en Coupe de la Ligue donnera aux Parisiens un coup de pouce psychologique pour le sprint final en L1, le revers est un gros coup de bambou sur la tête des hommes de Jean-Pierre Papin et Daniel Leclercq.
Le PSG, vainqueur de sa 11e coupe en 38 ans, confirme ainsi son statut d'équipe de coups.
La formation de Paul Le Guen disputera la Coupe de l'UEFA la saison prochaine, alors qu'elle évoluera peut-être en L2.
Dix-huitièmes de la L1, les Parisiens reprennent les affaires courantes mercredi contre Strasbourg.
"C'est trop dur. On prend le deuxième but sur une action litigieuse. Je pense que les supporters méritaient mieux mais que les Parisiens méritaient leur victoire. On va rester en Ligue 1", a déclaré Kevin Monnet-Pacquet.
Lens est 17e au classement avec deux longueurs d'avance sur Paris.
Le PSG se créait la première occasion à la quatrième minute, lorsqu'Amara Diané prenait le meilleur sur Vitorino Hilton avant de centrer en retrait pour Pauleta.
La reprise à bout portant du Portugais était contrée in extremis par Adama Coulibaly.
MONTERRUBIO SUR LE POTEAU
Après dix minutes, Loïc Rémy, blessé, devait laisser sa place à Olivier Monterrubio.
A la 19e, le PSG ouvrait la marque grâce à un lob de Pauleta, bien placé à la réception d'un tir contré de Clément Chantôme.
Incapables de porter le danger dans la surface adverse, fébriles en défense, les Lensois jouaient avec le feu.
A la demi-heure de jeu, toutefois, il fallait une superbe claquette de Mickaël Landreau pour détourner une frappe enroulée de Toifilou Maoulida.
Les Sang et Or abordaient la seconde période le couteau entre les dents et, après sept minutes, Eric Carrière égalisait d'une frappe croisée du droit à ras de terre.
Dans un contraste saisissant avec le France-Angleterre de mercredi, les deux virages de supporters donnaient de la couleur et une voix au Stade de France.
Monterrubio voyait sa tentative du coin gauche de la surface se fracasser sur l'équerre des buts de Landreau, et c'est le PSG qui était au bord de la rupture. Quelques instants plus tard, une tête plongeante de Maoulida manquait le cadre de peu.
Amara Diané avait la balle de la victoire à la 83e minute mais l'Ivoirien perdait son duel face à Ronan Le Crom.
Dix minutes plus tard, à quelques secondes du coup de sifflet final, Luyindula partait en contre et au contact d'Hilton, s'écroulait dans la surface.
D'un tir à ras de terre, Mendy, face au virage lensois, pliait le match.
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