Bonsoir
Le jeune américain, Randal Ellis, écope de 3 ans de prison pour une fausse alerte.
En mars dernier, un homme âgé de 19 ans avait provoqué l’arrivée les forces spéciales de polices armées jusqu’au dents dans une maison familiale. Etabli dans l’Etat de Washington, il avait lancé un appel sur la ligne d’urgence. Il y avait annoncé une overdose, avant d’évoquer un possible meurtre.
En piratant le système, il avait pu faire croire qu’il téléphonait d’une maison de Lake Forrest, proche des faits annoncés. L’unité spéciale était arrivée sur place avec chiens et hélicoptère. Réveillé par le bruit et croyant à des rôdeurs, le maître des lieux était sorti avec son couteau de cuisine. Il s’est retrouvé avec des fusils d’assaut pointés sur lui. Il avait ensuite, tout comme son épouse, été menotté, avant que les autorités ne concluent à un canular.
«Cela aurait pu tourner à la bavure mortelle», a expliqué le procureur. Randal Ellis avait été arrêté en octobre dernier. Devant les juges, il a plaidé coupable sur les cinq chefs d’accusation, dont l’accès frauduleux à un ordinateur, et l’annonce fallacieuse d’un crime. C’est la première fois qu’un homme était jugé pour avoir mobilisé les troupes spéciales (SWAT) pour une mission factice.
laf
Le jeune américain, Randal Ellis, écope de 3 ans de prison pour une fausse alerte.
En mars dernier, un homme âgé de 19 ans avait provoqué l’arrivée les forces spéciales de polices armées jusqu’au dents dans une maison familiale. Etabli dans l’Etat de Washington, il avait lancé un appel sur la ligne d’urgence. Il y avait annoncé une overdose, avant d’évoquer un possible meurtre.
En piratant le système, il avait pu faire croire qu’il téléphonait d’une maison de Lake Forrest, proche des faits annoncés. L’unité spéciale était arrivée sur place avec chiens et hélicoptère. Réveillé par le bruit et croyant à des rôdeurs, le maître des lieux était sorti avec son couteau de cuisine. Il s’est retrouvé avec des fusils d’assaut pointés sur lui. Il avait ensuite, tout comme son épouse, été menotté, avant que les autorités ne concluent à un canular.
«Cela aurait pu tourner à la bavure mortelle», a expliqué le procureur. Randal Ellis avait été arrêté en octobre dernier. Devant les juges, il a plaidé coupable sur les cinq chefs d’accusation, dont l’accès frauduleux à un ordinateur, et l’annonce fallacieuse d’un crime. C’est la première fois qu’un homme était jugé pour avoir mobilisé les troupes spéciales (SWAT) pour une mission factice.
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