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NEW YORK.
Les futures pétroliers progressent nettement lundi alors que le dollar cède du terrain, rendant les matières premières cotées en devise américaine plus attrayantes pour les investisseurs internationaux.
Vers 14h55 GMT, le contrat mai sur le brut léger américain gagne 59 cents, soit 0,56%, à 106,21 dollars le baril et le Brent prend 1,01 dollar, soit 0,97%, à 104,78 dollars.
Au même instant, le billet vert s'échange autour de 1,5850 pour un euro, à moins d'un cent de son record historique, après les derniers chiffres de l'inflation dans la zone euro, qui réduisent la probabilité d'une baisse des taux de la BCE.
Avant de bénéficier de la glissade du dollar, l'or noir avait cédé du terrain, les craintes liées aux affrontements dans le sud de l'Irak s'estompant peu à peu.
Ces combats et un attentat contre un oléoduc du sud irakien avaient porté la semaine dernière le brut léger américain à plus de 108 dollars et l'accalmie observée ce week-end a inversé la tendance.
La production irakienne a été amputée de 100.000 barils par jour mais devrait retrouver dès mardi son niveau d'avant l'attentat, a déclaré un responsable irakien.
En dépit du bref repli de lundi, "les perturbations dans la production (irakienne) et la réaction du marché soulignent à quel point un marché pétrolier en équilibre délicat demeure vulnérable aux interruptions de production et à quel point l'instabilité politique dans des pays producteurs comme l'Irak et le Nigéria sont loin d'être résolues", souligne Goldman Sachs dans une note d'analyse.
Un syndicat nigérian a brandi la menace d'une grève touchant l'ensemble du secteur pétrolier dans un conflit l'opposant à ExxonMobil.
Par Jane Merriman, version française Marc Angrand.
Sources : Reuters.
Les futures pétroliers progressent nettement lundi alors que le dollar cède du terrain, rendant les matières premières cotées en devise américaine plus attrayantes pour les investisseurs internationaux.
Vers 14h55 GMT, le contrat mai sur le brut léger américain gagne 59 cents, soit 0,56%, à 106,21 dollars le baril et le Brent prend 1,01 dollar, soit 0,97%, à 104,78 dollars.
Au même instant, le billet vert s'échange autour de 1,5850 pour un euro, à moins d'un cent de son record historique, après les derniers chiffres de l'inflation dans la zone euro, qui réduisent la probabilité d'une baisse des taux de la BCE.
Avant de bénéficier de la glissade du dollar, l'or noir avait cédé du terrain, les craintes liées aux affrontements dans le sud de l'Irak s'estompant peu à peu.
Ces combats et un attentat contre un oléoduc du sud irakien avaient porté la semaine dernière le brut léger américain à plus de 108 dollars et l'accalmie observée ce week-end a inversé la tendance.
La production irakienne a été amputée de 100.000 barils par jour mais devrait retrouver dès mardi son niveau d'avant l'attentat, a déclaré un responsable irakien.
En dépit du bref repli de lundi, "les perturbations dans la production (irakienne) et la réaction du marché soulignent à quel point un marché pétrolier en équilibre délicat demeure vulnérable aux interruptions de production et à quel point l'instabilité politique dans des pays producteurs comme l'Irak et le Nigéria sont loin d'être résolues", souligne Goldman Sachs dans une note d'analyse.
Un syndicat nigérian a brandi la menace d'une grève touchant l'ensemble du secteur pétrolier dans un conflit l'opposant à ExxonMobil.
Par Jane Merriman, version française Marc Angrand.
Sources : Reuters.