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Avec un baril de pétrole brut allant de record en record, atteignant en début de semaine dernière, l'incroyable pic de 111 $ à New York, l'alternative devient une nécessité pour un pays importateur de pétrole.
Le Maroc, l'un des pays les plus près de l'Europe et qui a suffisamment de soleil, peut réduire sa facture énergétique, grâce à la production d'hydrogène, voire se positionner en exportateur d'énergie. Toutefois, les spécialistes qui confirment cette étude, convergent vers une production d'hydrogène par le thermo-solaire.
A en croire Helmut Hoedt, directeur général de H2 Energy SA Maroc et membre de «International Association for Hydrogen Energy», la faisabilité et le succès ne font pas de doute, néanmoins, il insiste sur le démarrage du projet sans délai. Très convaincu de l'alternative hydrogène, il décide d'entamer une étude scientifique, après avoir rencontré à plusieurs reprises les pouvoirs publics, à divers niveaux de responsabilité. Aujourd'hui, dans la profession, il est de plus en plus admis que l'entière alimentation régénérative en énergie propre est la seule issue.
Ce n'est pas sans raison, vu qu'actuellement beaucoup de sociétés marocaines et étrangères travaillent aux propositions régénératives d'énergie.
Au Maroc, excepté H2 Energy SA Maroc, nous n'avons rencontré aucune autre entreprise spécialisée dans un projet similaire, en dépit de la libéralisation effective dans le secteur. Produire du courant électrique, en faisant abstraction des problèmes de déchets radioactifs, du dilemme du CO2, et des pollutions de toutes sortes, à des coûts moindres, est l'objectif privilégie des stratèges. «C'est pourquoi nous devons nous forcer à utiliser les nouvelles technologies pour la production de l'eau et de l'énergie, par le biais du thermo-solaire-photovoltaïque fournissant de l'hydrogène», ajoute le DG de H2 Energy SA Maroc. Conforté dans ses convictions et rassuré par l'éventuel soutien d'un programme étatique, il avance un planning entre 2009 et 2018.
Ainsi l'étude de H2 Energy SA Maroc, société de droit marocain, basée à Agadir, devrait s'achever à l'horizon 2009/10. Le montage financier, par la bourse et des bailleurs européens, américains et marocains, se ferait quasi immédiatement en 2010. Entre 2018 et 20, on assisterait à l'achèvement du projet, avec à la clé de l'énergie et de l'eau à profusion, grâce au gaz hydrogène sur l'ensemble du pays. Les dernières connaissances techniques, les différentes organisations mondialement connues, ainsi que les découvertes scientifiques des universités constituent la garantie de cette échéance, à condition toutefois d'entamer l'étude technique en 2008. Plusieurs paramètres viennent plaider l'alternative de l'hydrogène.
S'il est vrai que le début du futur en hydrogène connaîtra des frais très élevés, pour sa mise en production, même s'ils seront moins chers que ceux du pétrole brut et du gaz importés, il n'en demeure pas moins que, dans les années à venir, le Maroc peut devenir un grand fournisseur d'énergie. Non seulement les réserves de fossiles vont s'épuiser davantage, mais aussi et surtout des pays comme la France ou la Finlande abandonneront l'énergie nucléaire.
Selon cette prospective, le Royaume deviendra l'un des partenaires les plus importants de l'Union européenne en tant que fournisseur d'hydrogène. Entre autres avantages, les perfectionnements technologiques, dans les domaines du photovoltaïque, de la géothermie et de la production de courant électrique, permettront l'amélioration de la qualité de l'air ambiant, qui ne sera d'aucune mesure avec celle actuelle de l'Europe ou dans d'autres pays développés dans le monde.
Dans la circulation routière, l'utilisation d'hydrogène au lieu du diesel et de l'essence entraînera une nette diminution du CO2. Les pénuries d'eau et de stress hydrique redoutés dans certaines régions ne seront plus à l'ordre du jour, dans la mesure où le dessalement de l'eau de mer pourra se faire par hydrogène. Dans la même foulée, la production d'hydrogène apportera de nouvelles technologies de fabrication, complémentaires à toutes sortes de petites industries.
Les conflits réels ou latents dans l'agriculture, entre la protection de la nature et le reboisement seront définitivement résolus par l'eau produite en grande quantité. L'exemple de l'Islande, actuel unique pays où il est envisagé d'utiliser l'hydrogène en substitution des combustibles fossiles, dans les 15 années à venir, est assez convainquant. Le Maroc, qui dispose de côtes ensoleillées (entre 3200-3600 heures par an) sur sa façade atlantique, est plus avantagé que la plupart des pays du pourtour méditerranéen.
Le Maroc, l'un des pays les plus près de l'Europe et qui a suffisamment de soleil, peut réduire sa facture énergétique, grâce à la production d'hydrogène, voire se positionner en exportateur d'énergie. Toutefois, les spécialistes qui confirment cette étude, convergent vers une production d'hydrogène par le thermo-solaire.
A en croire Helmut Hoedt, directeur général de H2 Energy SA Maroc et membre de «International Association for Hydrogen Energy», la faisabilité et le succès ne font pas de doute, néanmoins, il insiste sur le démarrage du projet sans délai. Très convaincu de l'alternative hydrogène, il décide d'entamer une étude scientifique, après avoir rencontré à plusieurs reprises les pouvoirs publics, à divers niveaux de responsabilité. Aujourd'hui, dans la profession, il est de plus en plus admis que l'entière alimentation régénérative en énergie propre est la seule issue.
Ce n'est pas sans raison, vu qu'actuellement beaucoup de sociétés marocaines et étrangères travaillent aux propositions régénératives d'énergie.
Au Maroc, excepté H2 Energy SA Maroc, nous n'avons rencontré aucune autre entreprise spécialisée dans un projet similaire, en dépit de la libéralisation effective dans le secteur. Produire du courant électrique, en faisant abstraction des problèmes de déchets radioactifs, du dilemme du CO2, et des pollutions de toutes sortes, à des coûts moindres, est l'objectif privilégie des stratèges. «C'est pourquoi nous devons nous forcer à utiliser les nouvelles technologies pour la production de l'eau et de l'énergie, par le biais du thermo-solaire-photovoltaïque fournissant de l'hydrogène», ajoute le DG de H2 Energy SA Maroc. Conforté dans ses convictions et rassuré par l'éventuel soutien d'un programme étatique, il avance un planning entre 2009 et 2018.
Ainsi l'étude de H2 Energy SA Maroc, société de droit marocain, basée à Agadir, devrait s'achever à l'horizon 2009/10. Le montage financier, par la bourse et des bailleurs européens, américains et marocains, se ferait quasi immédiatement en 2010. Entre 2018 et 20, on assisterait à l'achèvement du projet, avec à la clé de l'énergie et de l'eau à profusion, grâce au gaz hydrogène sur l'ensemble du pays. Les dernières connaissances techniques, les différentes organisations mondialement connues, ainsi que les découvertes scientifiques des universités constituent la garantie de cette échéance, à condition toutefois d'entamer l'étude technique en 2008. Plusieurs paramètres viennent plaider l'alternative de l'hydrogène.
S'il est vrai que le début du futur en hydrogène connaîtra des frais très élevés, pour sa mise en production, même s'ils seront moins chers que ceux du pétrole brut et du gaz importés, il n'en demeure pas moins que, dans les années à venir, le Maroc peut devenir un grand fournisseur d'énergie. Non seulement les réserves de fossiles vont s'épuiser davantage, mais aussi et surtout des pays comme la France ou la Finlande abandonneront l'énergie nucléaire.
Selon cette prospective, le Royaume deviendra l'un des partenaires les plus importants de l'Union européenne en tant que fournisseur d'hydrogène. Entre autres avantages, les perfectionnements technologiques, dans les domaines du photovoltaïque, de la géothermie et de la production de courant électrique, permettront l'amélioration de la qualité de l'air ambiant, qui ne sera d'aucune mesure avec celle actuelle de l'Europe ou dans d'autres pays développés dans le monde.
Dans la circulation routière, l'utilisation d'hydrogène au lieu du diesel et de l'essence entraînera une nette diminution du CO2. Les pénuries d'eau et de stress hydrique redoutés dans certaines régions ne seront plus à l'ordre du jour, dans la mesure où le dessalement de l'eau de mer pourra se faire par hydrogène. Dans la même foulée, la production d'hydrogène apportera de nouvelles technologies de fabrication, complémentaires à toutes sortes de petites industries.
Les conflits réels ou latents dans l'agriculture, entre la protection de la nature et le reboisement seront définitivement résolus par l'eau produite en grande quantité. L'exemple de l'Islande, actuel unique pays où il est envisagé d'utiliser l'hydrogène en substitution des combustibles fossiles, dans les 15 années à venir, est assez convainquant. Le Maroc, qui dispose de côtes ensoleillées (entre 3200-3600 heures par an) sur sa façade atlantique, est plus avantagé que la plupart des pays du pourtour méditerranéen.
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