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Une association sportive Tahmat n’Timezrit a vu le jour ces derniers jours au village Abaïnou de la municipalité de Timezrit (Béjaïa).
L'association sportive Tahmat n’Timezrit est composée de deux karatékas , en l’occurrence les éducateurs en sport que sont Aït Arab Samir, 2ème dan, ingénieur de formation et Yakouben Reiad, 1ère dan, exerçant une profession libérale, et ayant tous les deux un palmarès riche dans le domaine du karaté-do (style shatokan) ; le premier fut champion d’Algérie en 1996, et le second, plusieurs fois champion de wilaya et vice-champion d’Algérie en 1997.
Néanmoins, si la création d’une association sportive, est semble-t-il, à la portée des jeunes, notamment aux éducateurs sportifs, son fonctionnement n’est pas du tout une partie de plaisir, car celui-ci ne dépend pas seulement de la volonté ou du fait d’être bien décidé, car, selon Yaccuben Reiad, le village Abaïnou n’est pas doté de local affecté pour la pratique du sport.
Disons au passage, c’est le cas de la totalité ou presque des communes qui, jusque-là, semblent ne pas être sensibilisées sur le problème des jeunes qui n’ont pas eu la chance de fréquenter un club et d’activer dans le cadre associatif.
Ceci implique cela : il n’y a donc pas lieu de s’étonner s’il y a un malaise dans l’air ou bien ce que l’on désigne par “médiocrité ambiante”. Nonobstant l’inexistence d’une structure sportive appartenant à la commune au même village, les initaiteurs de “Tagmat n’Timezrit” sont résolus à mener jusqu’au bout leur entreprise en louant chez un particulier un local qui sera transformé en “dojo” ; reste l’acquisition d’un équipement qu’ils souhaitent recevoir par le biais d’une aide de l’APC.
Mais d’abord, il est judicieux de donner tous les moyens qu’il faut aux jeunes pour manifester leur amour du sport s’exprimer librement, pour rechercher l’équilibre au sein de la société.
Par la Dépêche de Kabylie
L'association sportive Tahmat n’Timezrit est composée de deux karatékas , en l’occurrence les éducateurs en sport que sont Aït Arab Samir, 2ème dan, ingénieur de formation et Yakouben Reiad, 1ère dan, exerçant une profession libérale, et ayant tous les deux un palmarès riche dans le domaine du karaté-do (style shatokan) ; le premier fut champion d’Algérie en 1996, et le second, plusieurs fois champion de wilaya et vice-champion d’Algérie en 1997.
Néanmoins, si la création d’une association sportive, est semble-t-il, à la portée des jeunes, notamment aux éducateurs sportifs, son fonctionnement n’est pas du tout une partie de plaisir, car celui-ci ne dépend pas seulement de la volonté ou du fait d’être bien décidé, car, selon Yaccuben Reiad, le village Abaïnou n’est pas doté de local affecté pour la pratique du sport.
Disons au passage, c’est le cas de la totalité ou presque des communes qui, jusque-là, semblent ne pas être sensibilisées sur le problème des jeunes qui n’ont pas eu la chance de fréquenter un club et d’activer dans le cadre associatif.
Ceci implique cela : il n’y a donc pas lieu de s’étonner s’il y a un malaise dans l’air ou bien ce que l’on désigne par “médiocrité ambiante”. Nonobstant l’inexistence d’une structure sportive appartenant à la commune au même village, les initaiteurs de “Tagmat n’Timezrit” sont résolus à mener jusqu’au bout leur entreprise en louant chez un particulier un local qui sera transformé en “dojo” ; reste l’acquisition d’un équipement qu’ils souhaitent recevoir par le biais d’une aide de l’APC.
Mais d’abord, il est judicieux de donner tous les moyens qu’il faut aux jeunes pour manifester leur amour du sport s’exprimer librement, pour rechercher l’équilibre au sein de la société.
Par la Dépêche de Kabylie
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