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BP a signé avec l’Ecole nationale polytechnique d’El Harrach un accord à travers lequel les étudiants pourront bénéficier des leçons théoriques, une manière de découvrir les jeunes talents pour les recruter ensuite dans les installations de BP en Algérie. Abordant le sujet relatif à l’utilisation de l’énergie solaire, le représentant de BP a tenu à mettre en exergue le climat non favorable : «Cet investissement reviendra trop cher au consommateur. Pour des investissements pareils il faudrait des incitations fiscales de la part du gouvernement.» Et comme ce n’est pas le cas en Algérie, il dira : «Quand le pays sera prêt, on investira dans ce domaine.» En matière de chiffres, BP est présente dans 100 paysà travers les six continents, employant 100 000 personnes, dont la majorité en Afrique. En Algérie, le groupe emploie 5 000 personnes, dont 2 800 dans le cadre du partenariat avec la compagnie nationale Sonatrach.
Il est utile de rappeler que BP était présente en Algérie depuis les années 50 avec la commercialisation de carburants et de lubrifiants.
Après l’indépendance, la compagnie britannique n’a pas été nationalisée ; elle avait réussi à vendre ses intérêts à l’Etat algérien, pour y revenir au début des années 90, en implantant son premier bureau dans une Algérie marquée par des turbulences sans précédent.
(c) La Tribune.
Il est utile de rappeler que BP était présente en Algérie depuis les années 50 avec la commercialisation de carburants et de lubrifiants.
Après l’indépendance, la compagnie britannique n’a pas été nationalisée ; elle avait réussi à vendre ses intérêts à l’Etat algérien, pour y revenir au début des années 90, en implantant son premier bureau dans une Algérie marquée par des turbulences sans précédent.
(c) La Tribune.
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