De la réconciliation nationale à la reconstruction : Des avancées historiques
L’Algérie a émergé sur tous les terrains. L’économique comme le social, le politique comme le diplomatique, devenant graduellement un pays prospère et qui compte sur la scène internationale.
L’Algérie, avec les nombreuses réalisations réceptionnées depuis le début de la décennie, au plan économique, social ou culturel, se classe en 2008, parmi les premiers pays émergents. Un programme rarement réalisé dans les pays du Sud a été lancé, en 2005, par le Président Abdelaziz Bouteflika, pour changer radicalement le visage du pays. Du nord au sud, des routes et autoroutes sont en chantier, des ports et aéroports, des barrages et des blocs de dessalement de l’eau de mer ont été lancés ou sont déjà en fonction, des villes sont en train de naître, le chômage recule et la bonne gestion est devenue la règle.
Le Président Bouteflika l’a souvent dit et répété, l’argent est disponible, tant mieux pour nous, et ne suffit pas en soi, encore faut-il savoir l’investir, comme le fait le gouvernement algérien, dans l’aménagement du territoire national et mettre, par exemple, Maghnia à 8 heures seulement de route de El Kala. Les Algériens ont cessé de rêver, ils voient s’améliorer leurs conditions de vie, s’élargir la base de vie dans des urbanisations nouvelles, modernes où le béton n’a plus le monopole. Ils ne rêvent plus d’avoir de l’eau H24 dans leurs robinets. Cette eau, de qualité, est là, grâce à une adroite politique hydraulique engagée depuis le début des années 2000, pour que le plus grand cauchemar des citoyens, avec la crise du logement, cesse. Justement, le logement est aussi au rendez-vous, même si pour beaucoup il faut savoir attendre encore un peu, car le programme d’habitat (un million de logements) est en cours d’achèvement. L’une des satisfactions de cette grande expérience vécue, avec le Président Bouteflika, c’est le respect des normes, de la qualité du produit, des délais de réalisation et des coûts. C’est désormais la règle de base sur laquelle le Chef de l’Etat est pointilleux.
Un pays donc émergent au plan économique et social, mais qui a retrouvé, aussi, son équilibre politique, la confiance des citoyens en leurs institutions, en l’avenir, un retour remarquable sur la scène internationale. L’Algérie coopère sur des bases saines avec les pays des quatre coins du monde, s’acquittant toujours de ses obligations internationales, de ses engagements, en contribuant à la consolidation de la paix et de la sécurité dans le monde. Ce qui lui vaut, aujourd’hui, respect et considération, grâce au prestige international de son Président et à son action diplomatique de premier plan. Alger est rapidement devenue, depuis le début des années 2000, l’une des places importantes en Méditerranée où séjournent, outre les hommes d’affaires de plus en plus nombreux, des responsables politiques étrangers, hommes d’Etat et diplomates, pour des concertations continues avec les membres du gouvernement algérien.
L’Algérie a émergé donc sur tous les terrains. L’économique comme le social, le politique comme le diplomatique, devenant graduellement un pays prospère et qui compte sur la scène internationale. C’est partant de ce constat flatteur pour les Algériens que l’UGTA a appelé, de la tribune de son XIe congrès, à la révision de la Constitution, en invitant le Président Bouteflika à se présenter à l’élection présidentielle de 2009.
http://www.elmoudjahid.com/em/Nation...c47f29e49160b6
L’Algérie a émergé sur tous les terrains. L’économique comme le social, le politique comme le diplomatique, devenant graduellement un pays prospère et qui compte sur la scène internationale.
L’Algérie, avec les nombreuses réalisations réceptionnées depuis le début de la décennie, au plan économique, social ou culturel, se classe en 2008, parmi les premiers pays émergents. Un programme rarement réalisé dans les pays du Sud a été lancé, en 2005, par le Président Abdelaziz Bouteflika, pour changer radicalement le visage du pays. Du nord au sud, des routes et autoroutes sont en chantier, des ports et aéroports, des barrages et des blocs de dessalement de l’eau de mer ont été lancés ou sont déjà en fonction, des villes sont en train de naître, le chômage recule et la bonne gestion est devenue la règle.
Le Président Bouteflika l’a souvent dit et répété, l’argent est disponible, tant mieux pour nous, et ne suffit pas en soi, encore faut-il savoir l’investir, comme le fait le gouvernement algérien, dans l’aménagement du territoire national et mettre, par exemple, Maghnia à 8 heures seulement de route de El Kala. Les Algériens ont cessé de rêver, ils voient s’améliorer leurs conditions de vie, s’élargir la base de vie dans des urbanisations nouvelles, modernes où le béton n’a plus le monopole. Ils ne rêvent plus d’avoir de l’eau H24 dans leurs robinets. Cette eau, de qualité, est là, grâce à une adroite politique hydraulique engagée depuis le début des années 2000, pour que le plus grand cauchemar des citoyens, avec la crise du logement, cesse. Justement, le logement est aussi au rendez-vous, même si pour beaucoup il faut savoir attendre encore un peu, car le programme d’habitat (un million de logements) est en cours d’achèvement. L’une des satisfactions de cette grande expérience vécue, avec le Président Bouteflika, c’est le respect des normes, de la qualité du produit, des délais de réalisation et des coûts. C’est désormais la règle de base sur laquelle le Chef de l’Etat est pointilleux.
Un pays donc émergent au plan économique et social, mais qui a retrouvé, aussi, son équilibre politique, la confiance des citoyens en leurs institutions, en l’avenir, un retour remarquable sur la scène internationale. L’Algérie coopère sur des bases saines avec les pays des quatre coins du monde, s’acquittant toujours de ses obligations internationales, de ses engagements, en contribuant à la consolidation de la paix et de la sécurité dans le monde. Ce qui lui vaut, aujourd’hui, respect et considération, grâce au prestige international de son Président et à son action diplomatique de premier plan. Alger est rapidement devenue, depuis le début des années 2000, l’une des places importantes en Méditerranée où séjournent, outre les hommes d’affaires de plus en plus nombreux, des responsables politiques étrangers, hommes d’Etat et diplomates, pour des concertations continues avec les membres du gouvernement algérien.
L’Algérie a émergé donc sur tous les terrains. L’économique comme le social, le politique comme le diplomatique, devenant graduellement un pays prospère et qui compte sur la scène internationale. C’est partant de ce constat flatteur pour les Algériens que l’UGTA a appelé, de la tribune de son XIe congrès, à la révision de la Constitution, en invitant le Président Bouteflika à se présenter à l’élection présidentielle de 2009.
http://www.elmoudjahid.com/em/Nation...c47f29e49160b6
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