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bouteflika :le programme!

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  • bouteflika :le programme!

    il y'ena qui aime notre president qui l'adulent!! y'en a qui le haissent...
    je viens de couvrir pourquoi: voila son programme: pour ceux qui l'aiment ils l'ont lu comme suit:
    Tout un programme: ہ lire attentivement...

    Dans notre parti politique, nous accomplissons ce que nous promettons.
    Seuls les imbéciles peuvent croire que
    nous ne lutterons pas contre la corruption.
    Parce que, il y a quelque chose de certain pour nous:
    L'honnêteté et la transparence sont fondamentales pour atteindre nos idéaux.
    Nous démontrons que c'est une grande stupidité de croire que
    les mafias continueront à faire partie du gouvernement comme par le passé.
    Nous assurons, sans l'ombre d'un doute, que
    la justice sociale sera le but principal de notre mandat.
    Malgré cela, il y a encore des gens stupides qui s'imaginent que
    l'on puisse continuer à gouverner
    avec les ruses de la vieille politique.
    Quand nous assumerons le pouvoir, nous ferons tout pour que
    soit mis fin aux situations privilégiées et au trafic d'influences
    nous ne permettrons d'aucune façon que
    nos enfants meurent de faim
    nous accomplirons nos desseins même si
    les réserves économiques se vident complètement
    nous exercerons le pouvoir jusqu'à ce que
    vous aurez compris qu'à partir de maintenant
    nous sommes le parti libéral fédéral, la "nouvelle politique".
    ***
    Et maintenant, lisez le texte en commençant par la dernière ligne et en remontant ligne par ligne jusqu'au début..c'est comme ça que l'ont lu ceux qui le detestent.. C'est surprenant!!!
    « Puis-je rendre ma vie
    Semblable à une flûte de roseau
    Simple et droite
    Et toute remplie de musique »

  • #2
    Je confirme

    Trés intelligent!!!

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    • #3
      j'apprecie énormement les subtitilés postés par tamerlan et cette fois ci c'est encore drole, amusant et intelligent !
      toutefois j'aime pas trop qu'on partage les algeriens entre ceux qui "admirent" Bouteflika et ceux qui le "detestent" ! j'ai la prétention de ne faire partie ni des premiers ni des seconds, je peux juste dire que j'aime pas qu'on s'en se fout de notre tronche aprés plus de 40 ans d'independance et aprés 200 000 morts ! c'est ce que Boutef essaie de faire, et il y arrive le bougre !

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      • #4
        qest ce qe vous pensez la cherte de la vie electricite eau,gaz ,petrole et derivee

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        • #5
          Tamerlan,
          Très malin ce texte. Et pour ceux qui n'ont pas d'avis sur le président, ils ont compris quoi?
          "Qu'est-ce que la tolérance ? C'est l'apanage de l'humanité. Nous sommes tous pétris de faiblesses et d'erreurs ; pardonnons-nous réciproquement nos sottises, c'est la première loi de la nature."

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          • #6
            moi je en critique paas le président je pense qu'il en a afait et même si ce n'est pas suffisant pour certains et d'ailleurs ça ne le sera jamais je dis merci pour ce qu'il a fait jusqu'à maintenant
            je conclus que personne ne'st aprfait alors pourquoi imposer un président parfait il a fait l'essentiel et aujourd'hui certains le renient et préfèrent se plaindre ...
            " Le savoir que l'on ne complète pas chaque jour diminue tous les jours. "
            Proverbe Chinois

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            • #7
              Je suis d'accord avec toi Zlabiya,

              Je ne suis ni pour ni contre Bouteflika.De toute façon quoi qu'il fasse, les gens ne seront jamais satisfait.
              La seule chose que je constate c'est que depuis qu'il est président le pays se porte beaucoup mieux. Ce n'est certes pas l'Eldorado, mais le pays est en progrès et ça on ne peut évidemment pas le nier.
              Quand le sage montre la lune l'idiot regarde le doigt.

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              • #8
                Louisa, Zlabiya,
                Je ne suis pas très engagée politiquement mais je suis d'accord avec vous. L'Algérie va mieux ces derniers temps et quelquesoit le président, il sera tjrs critiqué.
                "Qu'est-ce que la tolérance ? C'est l'apanage de l'humanité. Nous sommes tous pétris de faiblesses et d'erreurs ; pardonnons-nous réciproquement nos sottises, c'est la première loi de la nature."

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                • #9
                  Bonjour,

                  Citation de TIZIOUALOU:
                  j'aime pas trop qu'on partage les algeriens entre ceux qui "admirent" Bouteflika et ceux qui le "detestent" ! j'ai la prétention de ne faire partie ni des premiers ni des seconds,

                  J'aimerai aussi me joindre en partie a ce que dit TIZI, c'est a dire que tous les algériens n'ont pas forcément une position si tranchée par rapport a cela, dans la mesure ou moi aussi je ne l'aimes pas spécialement sans toute fois dire que je le déteste.
                  "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                  • #10
                    machiavel

                    c'est une analyse sur le chapitre 18 du livre" le prince " de machiavel
                    est ce que le prince doit etre "fidel "???
                    Machiavel, Le prince, chap XVIII , " comment les princes doivent garder leur foi "

                    I- Situation et objet du chapitre


                    Le chap XVIII continue le sujet annoncé au début du chap XV : celui des vertus et des vices des princes. Le chap XV a envisagé les vertus et les vices en général ; le chap XVI la libéralité et la parcimonie ; le chap XVII la cruauté et la pitié ; le chap XVIII s’occupe de la fidélité à la parole donnée.


                    On va donc retrouver ici le problème des rapports entre morale et politique. D’autres questions vont aussi être avancées, notamment celle de la " raison d’Etat " (raison d’Etat = considérations invoquant l’intérêt supérieur de l’Etat pour justifier une action contraire aux règles de droit habituelles ou aux règles morales reconnues).



                    II- Analyse du chapitre



                    1er § Un constat : il y a un écart entre les idées et les faits en politique, écart qui se vérifie en particulier vis-à-vis du problème de la fidélité à la parole donnée.


                    On retrouve donc ici la perspective de M. : non l’idéalisme mais le réalisme (politique). Ce qui compte c’est l’efficacité politique, valeur suprême. La suite du chap va justifier à partir de ces principes l’infidélité à la parole donnée



                    2ème § Comment en fait se mène le combat politique : l’homme et la bête



                    a) pour être efficace, le pouvoir doit tenir compte de ce que sont les hommes qui en sont les sujets, i.e.


                    - des êtres qui ont quelque chose de spécifique (des " hommes ") : l’aptitude à respecter un ordre légal et à avoir des sentiments moraux


                    - des êtres passionnels qui n’obéissent qu’à la force (des " bêtes ")


                    Il faut donc pour les gouverner " savoir bien user de la bête et de l’homme " (165/ 15-16). User de l’homme, c’est faire appel à la loi ; user de la bête va être défini dans le § suivant.



                    b) M. ajoute que la tradition philosophique n’ignorait pas ce précepte


                    C’est ce que donnent à entendre les auteurs anciens qui nous disent que les princes grecs comme Achille furent élevés par Chiron, le plus sage des centaures, un centaure étant un être fabuleux moitié homme et moitié cheval. M. suggère peut-être ainsi que l’idéalisme politique de la tradition philosophique n’était qu’une façade.



                    3e § Les deux manières d’user de la bête : le lion et le renard

                    a) M. précise à l’aide d’une nouvelle métaphore ce qu’est " user de la bête "


                    C’est se montrer tantôt lion, tantôt renard, i.e., faire usage tantôt de la force, tantôt de la ruse. Dans ce chap, M. insiste sur la ruse, la ruse portée à sa forme extrême : l’infidélité à la parole donnée, mais une infidélité habilement dissimulée (= le parjure + la dissimulation du parjure).



                    b) Qu’est-ce qui justifie aux yeux de M. le recours à la ruse ?


                    Un double constat relatif à la nature humaine :


                    - la méchanceté des hommes : leur caractère passionnel (ambition, goût du changement, etc.). Le prince n’a pas à compter sur la loyauté de ses sujets. A lui de prendre des précautions à cet égard, et il n’a pas à attendre d’avoir été trompé pour tromper


                    - la crédulité et la naïveté des hommes, qui donnent toute leur efficacité à la ruse du prince



                    4ème § Un exemple de renard : Alexandre VI. Leçon à en tirer : il faut savoir jouer sur l’opposition de l’être et de l’apparaître


                    Deux moments dans la progression de la pensée de M. :



                    a) M. donne comme exemple de renard A. VI



                    b) Il en tire la leçon suivante : il faut savoir jouer sur l’opposition de l’être et de l’apparaître


                    (Notamment, il va dire qu’il faut parfois que le prince revienne sur ses promesses, mais il ne doit pas le montrer).


                    La leçon peut se décomposer dans les deux éléments suivants :


                    - il faut toujours sauver les apparences de la moralité, à cause de leur effet politique


                    - il n’est pas toujours nécessaire ni même souhaitable d’être moral (i.e., d’avoir les vertus définies au chap XV par ce 1er critère d’appréciation que constitue le jugement courant)


                    Faut-il dire qu’il ne faut pas être vertueux mais seulement le paraître ? M. dit qu’il est utile de paraître pitoyable, fidèle, humain, droit, religieux, et de l’être (166/ 30-31). M. partage-t-il le jugement populaire sur la valeur des qualités morales ? Il dit seulement qu’il est " utile " (166/ 30) d’être vertueux. Pourquoi ? Sans doute parce qu’il est alors plus facile de le paraître.


                    Un point est en tout cas très clair : il n’est pas souhaitable d’être toujours vertueux ; ce serait politiquement préjudiciable. Cf. l’exemple de C. Borgia, qui n’hésite pas à trahir la parole donnée en faisant tomber les Orsini dans un guet-apens à Sinigoglia.



                    5e § Justification du précepte concernant l’opposition de l’être et du paraître : " dans le monde, il n’y a que du vulgaire " (167/ 20)


                    Deux éléments à considérer dans cette affirmation :



                    a) le " vulgaire " : que faut-il entendre par là ?


                    La foule par opposition à l’élite, la foule aveugle ou myope par opposition à une élite clairvoyante. C’est le sens de l’opposition entre :


                    - " voir " et " percevoir "


                    - " juger par les yeux " et " juger par les mains "


                    Or que voit la foule ? Ce qui est voyant : le résultat de l’action politique. Que ne perçoit-elle pas ? les moyens mis en œuvre. Autrement dit, en politique, il n’y a que le résultat qui compte. Constat peut-être pessimiste…



                    2) " dans le monde il n’y a que le vulgaire "


                    Autre constat pessimiste. Sens de ce passage : le prince n’a pas à redouter les gens clairvoyants, qui auraient " perçu " les aspects discutables de sa politique, parce que ces gens sont peu nombreux et qu’ils ne pèsent d’aucun poids auprès de la foule, si le prince a su se gagner celle-ci par certains résultats voyants de sa politique.
                    « Puis-je rendre ma vie
                    Semblable à une flûte de roseau
                    Simple et droite
                    Et toute remplie de musique »

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