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Au nom de la Révolution, ouvrez les frontières avec le Maroc

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  • Au nom de la Révolution, ouvrez les frontières avec le Maroc

    L'Algérie officielle a-t-elle perdu ses principes et ses repères de fraternité, de bon voisinage, de réciprocité et de fidélité à l'Histoire? Faut-il s'y résigner après la réponse du ministre de l'intérieur à la demande officielle du ministre des affaires étrangères marocain de rouvrir les frontières? L'histoire de ce conflit ressemble à celle de deux frères dont l'un a fermé la porte à l'autre suite à une dispute. Après une si longue pénitence, comment ce frère peut-il refuser à l'autre qui le demande de lui rouvrir sa porte ?Le «cadre global» des relations maghrébines évoqué par Zerhouni n'est qu'une baliverne qui veut dire que le cercle dur du pouvoir, dont il a toujours fait partie en tant qu'ex-colonel de la SM, veut maintenir le statu-quo de l'isolement des algériens. Il est bon de se souvenir du contexte qui prévalait en cette terrible année 1994. Personne ne s'était posé la question.


    Et si l'attentat de Marrakech qui provoqua le soudain processus de rejet violent et généralisé était une action d'intoxication préméditée pour aboutir à cette grave décision de fermeture des frontières? On se souvient d'autres opérations scabreuses qui ont eu lieu en Algérie et en Europe pour justifier des rafles au petit matin, le départ des étrangers et la mise sous embargo du pays durant cette sinistre période.Aucun critère politique ou économique ne peut justifier un quelconque refus à l'ouverture de la frontière. Pourquoi empêcher des citoyens, des artistes, des sportifs ou de simples touristes de traverser à pied cette frontière, et les obliger à la survoler par avion, sachant que le visa a été supprimé depuis 2005 ? Pourquoi limiter les échanges commerciaux et saboter la densification du tissu économique frontalier ? Des journaleux imbéciles ont évoqué une «forte précarité socio-économique à l'est du Maroc» pour justifier l'urgence de la demande marocaine. Ceci n'est qu'un discours de chameau qui se moque de la bosse de son voisin. Le tissu économique algérien est en crise bien plus profonde qu'au Maroc, puisque même la manne pétrolière n'y peut rien.Au diable les pitreries diplomatiques et journalistiques, laissons parler les cœurs ! L'histoire de la fraternité algéro-marocaine peut se résumer dans l'histoire de deux hommes : le défunt roi Mohamed V et l'actuel président Bouteflika.

    Le roi Mohamed V aimait l'Algérie

    Lorsque le jeune et frêle Sidi Mohammed Ben Youssef succéda à son père Moulay Youssef en 1927, préféré à ses frères à l'unanimité par les membres du Makhzen et les Ulémas réunis à Fès, il était suivi comme son ombre par son protecteur qui l'a éduqué en tant que précepteur et qui deviendra chef de son secrétariat particulier. Cet homme qui lui voua une fidélité quasi-filiale était un algérien, Si Lounès Mammeri originaire de Taourirt Mimoune en Haute Kabylie, oncle du célèbre écrivain Mouloud Mammeri, qui le rejoignit à Rabat dès 1928 à l'âge de 11 ans et lui rendit souvent visite par la suite. La tombe de Si Mammeri se trouve à l'intérieur du palais de Rabat, signe de haute reconnaissance royale. Depuis l'accession du roi Mohamed V, surnommé par son peuple le Père de la Nation, Si Mammeri l'accompagna dans les moments les plus intenses de l'histoire de l'Humanité : la seconde guerre mondiale et la guerre d'Algérie. Dans l'une comme dans l'autre, la fidélité du roi aux idéaux ne faillit pas.Dans sa proclamation du 3 septembre 1939, le Sultan affirmait : «La France prend aujourd'hui les armes pour défendre son sol, son honneur, sa dignité, son avenir et le nôtre. Nous devons être nous mêmes fidèles aux principes de l'honneur de notre race, de notre histoire et de notre religion… A partir de ce jour et jusqu'à ce que l'étendard de la France et de ses alliés soit couronné de gloire, nous lui devons un concours sans réserve, sans lui marchander aucune de nos ressources et sans reculer devant aucun sacrifice. Nous étions liés à elle dans le temps de tranquillité et d'opulence. Il est juste que nous soyons à ses côtés dans l'épreuve qu'elle traverse et d'où elle sortira, nous en sommes convaincus, glorieuse et grandie».
    Il tint le même discours à l'égard de l'Algérie en novembre 1955… à son retour d'un exil de plus de deux ans, après avoir arraché l'indépendance du Maroc.Avec son statut de seul étranger distingué Compagnon de la Libération par le général De Gaulle, il tient tête à la puissance coloniale jusqu'à son décès le 16 février 1961. Durant son règne, le FLN, l'ALN et le MALG évoluèrent à leur guise dans tout le Maroc sous la protection royale.

    Bouteflika l'enfant d'Oujda

    L'ombre d'Abdelaziz Bouteflika plane sur Oujda, sa ville natale, aux abords des maisons appartenant à sa famille et le lycée où il fit ses études. Son nom circule sans cesse dans les conversations et les espoirs des Marocains.Abdelaziz le marocain, Bouteflika l'algérien, Abdelkader le Malien. A lui seul, il symbolise l'union des peuples maghrébins et subsahariens. Pourquoi n'a-t-il pas assez de mémoire, ni de force pour détruire ce mur invisible à quelques pas de sa ville… neuf ans après son accès à la présidence? Est-ce donc à ce poste frontière fermé depuis tant d'années que s'arrête le Maghreb des peuples ?Déjà, le 5 octobre 1963, Bouteflika, alors jeune ministre des affaires étrangères, déclarait à Oujda: «Le peuple algérien n'a pas oublié l'attitude du Maroc lors de la guerre d'Algérie. Chaque algérien se considère au Maroc comme chez lui, tout comme chaque marocain est chez lui en Algérie». Plus tard, le 15 janvier 1969, il signa à Ifrane le Traité de fraternité, de bon voisinage et de coopération, qui devait sceller «Une paix permanente, une amitié solide et un voisinage fructueux, découlant naturellement de la fraternité séculaire liant les deux peuples frères, … et viseront à l'édification d'un avenir commun et prospère.»
    C'est encore Bouteflika qui signa l'Accord du 15 juin 1972, par lequel le roi Hassan II reconnaissait définitivement le tracé frontalier et mettait fin au contentieux territorial hérité du colonialisme. Lors de l'épisode de la Guerre des sables de 1963, le président Ben Bella déclara dans une interview à une télé française : « la frontière est une notion abstraite. Elle n'existe pas sur le terrain. La nature n'a pas créé de frontières. Et les hommes suivent la nature. C'est une situation gênante pour nos voisins marocains… Le tracé frontalier est un mauvais cadeau du colonialisme.»Fermer la porte au Maroc, c'est ne pas voir plus loin que le bout de son nez. Aucune action de coopération internationale de l'Algérie ne sera crédible tant qu'elle n'est pas capable de s'entendre d'abord avec ses voisins frontaliers.
    La bonne entente maghrébine constitue le socle unique sur lequel peut se bâtir toute initiative internationale qu'elle soit arabe, africaine ou méditerranéenne. C'est une question de sécurité et de prospérité nationale.

    Saâd Lounès
    source: lematindz.net

  • #2
    Au nom DU DROIT libérez les terres des Sahraouis et le maghreb uni dont rever nos vieux sera une realite

    mr lounes
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      Matindz !!!!
      Juste pour le plaisir d'aller a contre courant du gouvernement algerien, il dira n'importe quoi.
      Si l'Algerie ouvre les frontieres un jour, Benchicou & Co trouveront de quoi alimenter leur moulin et debiter du vent a contre sens.

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      • #4
        Il a coulé de l'eau sous les ponts de la révolution depuis 62...
        Je préfère invoquer la fraternité et pourquoi pas la modernité pour l'ouverture de cette frontière.
        Y a que chez les arabes qu'on préfère ettakhalouf, on dirait...

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        • #5
          non medit
          ce n est pas une opinion du matin(de nombreux redacteurset lecteurs sont gauchistes)
          tout gauchistes sur terre ne peut etre qu anti colonialiste

          c l opinion de lounes et a le droit de s exprimer
          mais faut lui rappeler que la soumission est indefendable
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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          • #6
            @Solas

            Tout n'est pas identique partout. Le gauchisme en Occident el le gauchisme chez nous ne sont pas forcement d'une meme nature, ou du moins pas tout le temps.

            Le gauchisme des gens de Le Matin est plutot verse dans le nihilisme et l'emmerdisme qu'autre chose. Si jamais la frontiere a ete ouverte par Bouteflika, ils aurait de suite cree au scandale et tout le reste.
            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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            • #7
              C'est étonnat de lire comment cette fermeture de la frontière est présenté par certains comme d'une importance fondamentale pour le Pays ALGERIE

              Alors que tous compte fait, cela demeure un détail

              L'algérie est bcp plus forte pour se focaliser ainsi sur un detail

              Cette frontière sera ouverte un jour a l'autre et je serai curieux de lire les points de vue de ceux qui militent aujourd'hui pour sa fermeture
              .
              .
              ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
              Napoléon III

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              • #8
                C'est une question de sécurité et de prospérité nationale.

                Saâd Lounès
                Mr Lounes .

                c est le principe de la révolution algerienne et à la mémoire de 1 millions et 1/2 de martyrs ..


                D abord la souveraineté nationale est inaliénable ( pour l ouverture des frontieres et l UMA ) , car le Maroc a encore des visées sur une partie de notre territoire ..
                Dernière modification par houari16, 04 avril 2008, 21h07.
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                • #9
                  L'algérie est bcp plus forte pour se focaliser ainsi sur un detail
                  C'est vrai que cette histoire de frontière est un détail. Parce que c'est le dernier maillon d'un nébuleuse de problème "bi et multi"latéraux infiniment plus ....problématiques.

                  Et comme c'est le dernier maillon, son ouverture est conditionnée (du moins au jour d'aujourd'hui) par la mise à plat (à défaut de résolution) des autres litiges, contentieux et différents.

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                  • #10
                    pih

                    ce detail il est de la meme consonance

                    que durafour crematoire(a notre echelle evidement)
                    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                    • #11
                      Une analyse de René Naba: Ancien responsable du monde arabo-musulman au service diplomatique de l’Agence France Presse, ancien conseiller du Directeur Général de RMC/Moyen orient, chargé de l’information … que je trouve pertinente.
                      Le grand jeu occidental en Afrique face la Chine
                      Au prétexte de la «guerre contre le terrorisme», les Etats-Unis s’emploient à mettre sur pied spécialement pour le continent noir un corps d’armée qui prendra le nom de «VIII me corps d’armée» américain afin d’achever le maillage militaire de la planète par une présence physique opérationnelle sur l’ensemble des continents. L’AFRICOM dont la création a été décidée en 2007 aura compétence sur les 50 Etats membres de l’Union Africaine, à l’exception de l’Egypte.
                      Sa mission officielle est de «développer la coopération militaire avec les pays africains, d’apporter un soutien à des missions non militaires et de mener des opérations militaires sur le continent africain si elles sont décidées par le gouvernement américain».

                      L’offensive diplomatique américaine en direction de l’Afrique s’est déployée crescendo depuis deux ans, parallèlement à la pénétration chinoise, avec l’implication croissante des grands pontes de l’administration néo-conservatrice. Le ballet diplomatique américain a été inauguré par le Général William Cape Ward (novembre 2007 à Addis-Ababa), commandant en chef de ce corps d’armée, suivi de John Negroponte, l’ancien proconsul américain en Irak et responsable en chef du renseignement américain, puis de Robert Gates, le nouveau secrétaire à la Défense, enfin de George Bush.
                      Point culminant de cette offensive, la tournée du président américain sur le continent noir à la mi-février 2008, à moins d’un an à la fin de son mandat présidentiel, ne semble pas avoir réduit la résistance africaine à son projet. Quatre pays sollicités - Le Ghana, la Zambie, le Nigeria et l’Algérie- y ont même opposé une fin de non recevoir à sa proposition.
                      Dns ce contexte, sauf revirement de dernière minute, le choix se porterait finalement sur le Maroc très désireux d’abriter le siège du nouveau commandement de l’armée américaine pour l’Afrique, un moyen pour le Royaume chérifien de pérenniser sa souveraineté sur le Sahara occidental face aux revendications indépendantistes de la République Arabe Saharouie Démocratique (RASD) soutenue par Alger.

                      Le choix du Maroc de servir de pivot à la nouvelle force d’intervention américaine en Afrique, s’il était confirmé, se situerait dans le prolongement de la coopération stratégique des Etats-Unis avec les pétromonarchies du Golfe. Il viendrait en complément de la présence au Qatar, sur le golfe arabo-persique, du QG du Centcom, le commandement central américain qui ouvre une zone allant du Maroc à l’Afghanistan, et de la base navale de Manama (Bahrein), QG de la V me flotte américaine pour le golfe arabo-persique/Océan indien.
                      Dans le droit fil de cette coopération, le Royaume chérifien s’est toujours situé en pointe du combat pour la défense des intérêts occidentaux sur le continent africain, un combat qu’il confond avec la survie du régime monarchique. Membre du «Safary club» au paroxysme de la guerre froide soviéto-américaine (1948-1989), le Maroc a assuré la protection et la survie des régimes pro-occidentaux africains, notamment le Zaïre de Mobutu et le Togo de Eyadema au sein d’une alliance secrète conclue avec les encouragements des Etats-Unis, entre l’Arabie saoudite, qui en était le financier, la France, son stratège, et le Maroc, son exécutant.

                      Ce rôle souterrain a d’ailleurs été illustré tant par les complicités françaises dans la disparition de Mehdi Ben Barka, chef de l’opposition marocaine, que par le rôle dépotoir assumé par le Maroc pour les tyrans déchus et décrétés ipso facto indésirables par leur ancien protecteur malgré leur état de service patenté, comme ce fut le cas avec l’asile accordé au Président zaïrois Mobutu, répudié par la France dont il a pourtant été un zélé serviteur pendant près de trente ans.
                      Dans le cas d’espèce, le choix du Maroc se serait porté par défaut, après le refus de l’Algérie et du Nigeria, deux acteurs majeurs du continent d’accueillir le QG de l’Africom. Soucieux de diversifier leurs alliances, les Etats-Unis s’étaient d’abord tournés vers ces deux puissances émergentes d’Afrique, bien que la première soit en butte à des actions de type terroriste et le second à des troubles claniques.

                      Selon des informations de presse non encore confirmées officiellement, le QG de l’Africom devrait être édifié à l’extrême sud du Maroc dans la région de Tan Tan, à la limite des frontières du Sahara Occidental, à proximité de la bourgade de Ras Dari, choisie pour abriter ce projet. Du fait de sa proximité des côtes atlantiques marocaines, le site offre des facilités pour l’US Navy. Outre la base de Tan Tan, les Etats-Unis disposent au Maroc de la base aérienne de Ben Jarir, à une soixantaine de kilomètres de Marrakech ainsi que du site-relais de VOA (Voice of America) à Tanger. Le Maroc aurait donné son accord à l’installation du QG de l’Africom en contrepartie de substantiels avantages financiers.
                      Cet arrangement dans ses volets militaires et financiers expliquerait les déboires de la France dans la vente du «Rafale» que Jaques Chirac puis Nicolas Sarkozy ont vainement tenté de vendre au Royaume. Des déboires amplifiés d’ailleurs par les dysfonctionnements des institutions françaises qui ont fait preuve dans cette transaction stratégique portant sur l’avenir du nouvel avion de combat de supériorité aérienne, d’un amateurisme déconcertant, se lançant dans cette aventure sans concertation, d’une manière concurrente, l’Elysée voulant placer à tout prix l’appareil en guise de produit d’appel pour les pétromonarchies arabes et le constructeur Dassault, en comptable méticuleux de sa trésorerie, plutôt préoccupé de conserver la maîtrise de la détermination des prix.

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                      • #12
                        Et si l'attentat de Marrakech qui provoqua le soudain processus de rejet violent et généralisé était une action d'intoxication préméditée pour aboutir à cette grave décision de fermeture des frontières? On se souvient d'autres opérations scabreuses qui ont eu lieu en Algérie et en Europe pour justifier des rafles au petit matin, le départ des étrangers et la mise sous embargo du pays durant cette sinistre période
                        .

                        Du grand art et une prouesse journalistique formidable !!!!!!!
                        Une imagination à couper le souffle...
                        Il faut être benchichi and co pour réaliser un tel exploit.

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                        • #13
                          le Maroc a assuré la protection et la survie des régimes pro-occidentaux africains, notamment le Zaïre de Mobutu et le Togo de Eyadema au sein d’une alliance secrète conclue avec les encouragements des Etats-Unis, entre l’Arabie saoudite, qui en était le financier, la France, son stratège, et le Maroc, son exécutant.
                          Chaque chose a une fin !

                          -heureusement une prise de conscience par la plupart des pays africains !
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                          • #14
                            Dans un ocean de suivisme beni-oui-ouiste a une diplomatie qui ne sait plus ce qu'elle veut vraiment et qui declare un jour une chose, et le lendemain son contraire, des petites lueurs d'espoir s'allument ici et la. En esperant voir plus de Saad Lounes dans les colonnes algeriennes qui ne risquent pas de se faire taper dessus quand leurs opinions ne "suivent" pas.

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                            • #15
                              posté par ayoub 7
                              Dans un ocean de suivisme beni-oui-ouiste a une diplomatie qui ne sait plus ce qu'elle veut vraiment et qui declare un jour une chose, et le lendemain son contraire, des petites lueurs d'espoir s'allument ici et la ..
                              évidemment c est l image reflétée par la politique marocaine de volte face et qui est depuis le post-protectorat sous le suivisme du néo-colonialisme .. des occidentaux ..
                              En esperant voir plus de Saad Lounes dans les colonnes algeriennes qui ne risquent pas de se faire taper dessus quand leurs opinions ne "suivent" pas.
                              c est comme d habitude la bassesse de la MAP , ainsi elle recolte ce qu elle a semé : la colére et tout le monde tape dessus .
                              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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