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Le financement par les banques publiques des projets pétrochimiques de la société nationale des hydrocarbures semble avancer à un rythme plus soutenu que prévu. Outre la mobilisation des banques pour un traitement plus rapide de cet important dossier, trois institutions financières et non des moindres apportent dès maintenant leurs garanties.
La Société financière internationale (SFI) filiale de la Banque Mondiale et la Banque africaine de développement (BAD) vont garantir tous les crédits qui dépassent les 25% des engagements des banques, tel qu’autorisé par la LMC. Plus concrètement, les banques qui sont tenues d’octroyer un crédit d’une vingtaine de milliards de dollars à Sonatrach peuvent désormais le faire dans le respect des règles prudentielles grâce à la couverture de la BEI, de la SFI et de la BAD.
Ce dossier vient ainsi de marquer une nouvelle avancée qui permettra à terme à la compagnie nationale la réalisation, aux côtés de partenaires étrangers, de quelques 11 projets pétrochimiques. Les banques nationales, quant à elles, notamment la CNEP, la BEA et la BNA seront en mesure de placer leurs surliquidités. Dans sa dernière note de conjoncture pour le second semestre 2007, la Banque d’Algérie a expliqué à ce sujet que « de nouveaux projets d'investissement mixtes, notamment de type " project finance " dans les secteurs de l'eau et de l'énergie, ont émergé comme noyau d'absorption de ressources stables des banques ».
TSA
La Société financière internationale (SFI) filiale de la Banque Mondiale et la Banque africaine de développement (BAD) vont garantir tous les crédits qui dépassent les 25% des engagements des banques, tel qu’autorisé par la LMC. Plus concrètement, les banques qui sont tenues d’octroyer un crédit d’une vingtaine de milliards de dollars à Sonatrach peuvent désormais le faire dans le respect des règles prudentielles grâce à la couverture de la BEI, de la SFI et de la BAD.
Ce dossier vient ainsi de marquer une nouvelle avancée qui permettra à terme à la compagnie nationale la réalisation, aux côtés de partenaires étrangers, de quelques 11 projets pétrochimiques. Les banques nationales, quant à elles, notamment la CNEP, la BEA et la BNA seront en mesure de placer leurs surliquidités. Dans sa dernière note de conjoncture pour le second semestre 2007, la Banque d’Algérie a expliqué à ce sujet que « de nouveaux projets d'investissement mixtes, notamment de type " project finance " dans les secteurs de l'eau et de l'énergie, ont émergé comme noyau d'absorption de ressources stables des banques ».
TSA