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M. BELGACEM HABA, PHD, CHERCHEUR
DANS UN LABORATOIRE AMÉRICAIN À HORIZONS
«Je veux introduire en Algérie de nouvelles technologies»
M. Belgacem Haba, diplômé PHD, est un chercheur algérien qui travaille dans un laboratoire américain de recherche et d’innovations en Californie.
Il est connu même en Europe en tant que technologue qui a permis le développement de nouvelles technologies dans le domaine électronique. Il est actuellement à Alger, il participe au forum des hommes d’affaires algéro-americain. C’est la première fois qu’il revient au pays en tant que chercheur. C’est ainsi que M. Belgacem Haba a été honoré samedi pour travaux de recherches et d’innovation par M. Boudjemaa Haichour, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication.
Vous êtes un chercheur et technologue et travaillez dans un laboratoire américain de recherche. De quelles recherches s’agit–il ?
Je travaille actuellement dans une compagnie américaine, «Tessera Fellow and CTO of Advanced Packaping and Interconnects» qui est un important centre de recherche appliquée et de développement. Nous développons les technologies électroniques et nous les exportons sous licence dans le monde entier.
Qu’est-ce que vous ramenez avec vous pour l’Algérie ?
Je ramène avec moi une nouvelle vision de faire les choses. Il s’agit essentiellement d’introduire de nouvelles technologies en Algérie avec des capacités pour les Algériens de les appliquer.
Au lieu de rester dans l’import/export, c’est d’aller un peu plus en avant pour fonder de nouvelles technologies et améliorer la production nationale.
Vous activez dans quel secteur d’activités de la recherche ?
Je suis dans le domaine de la micro- électronique. Nous développons de nouvelles technologies qui sont de meilleure utilisation électronique. Il s’agit de tous les appareils qui se rapportent par exemple aux portables, téléviseurs et cameras. Nous sommes les acteurs de l’innovation de ces produits. Pour nous, il s’agit de travailler avec des chercheurs qui voient la nécessité de développer des produits nouveaux pour l’intérieur et l’extérieur.
Est-ce qu’il y a un projet dans ce sens avec l’Algérie ?
Je suis venu dans la perspective de trouver un moyen de développer une coopération avec les centres de recherches en Algérie.
Chose qui n’existe pas jusqu’à ce jour. Il s’agit donc d’aller, j’espère dans les meilleurs délais, vers un transfert de savoir-faire et de nouvelles technologies dans notre pays. J’ai des contacts avec certains chercheurs qui activent en Algérie dans les centres de recherche. Ce n’est qu’un début en Algérie.
Mais nous avons déjà appliqué nos technologies dans d’autres pays dans le monde. C’est le cas notamment du Maroc dont la compagnie électronique concernée va fabriquer des cameras à partir de l’année prochaine.
Est-ce que vous avez des contacts précis avec les centres algériens de recherche et développement ?
J’ai déjà établi des contacts avec CTDA et certaines universités. Mais c’est au pays d’exprimer son besoin en matière de nouvelles technologies comme l’a fait le Maroc qui a trouvé l’opportunité de la fabrication des caméras.
entretien réalisé par Meziane Atmani.
DANS UN LABORATOIRE AMÉRICAIN À HORIZONS
«Je veux introduire en Algérie de nouvelles technologies»
M. Belgacem Haba, diplômé PHD, est un chercheur algérien qui travaille dans un laboratoire américain de recherche et d’innovations en Californie.
Il est connu même en Europe en tant que technologue qui a permis le développement de nouvelles technologies dans le domaine électronique. Il est actuellement à Alger, il participe au forum des hommes d’affaires algéro-americain. C’est la première fois qu’il revient au pays en tant que chercheur. C’est ainsi que M. Belgacem Haba a été honoré samedi pour travaux de recherches et d’innovation par M. Boudjemaa Haichour, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication.
Vous êtes un chercheur et technologue et travaillez dans un laboratoire américain de recherche. De quelles recherches s’agit–il ?
Je travaille actuellement dans une compagnie américaine, «Tessera Fellow and CTO of Advanced Packaping and Interconnects» qui est un important centre de recherche appliquée et de développement. Nous développons les technologies électroniques et nous les exportons sous licence dans le monde entier.
Qu’est-ce que vous ramenez avec vous pour l’Algérie ?
Je ramène avec moi une nouvelle vision de faire les choses. Il s’agit essentiellement d’introduire de nouvelles technologies en Algérie avec des capacités pour les Algériens de les appliquer.
Au lieu de rester dans l’import/export, c’est d’aller un peu plus en avant pour fonder de nouvelles technologies et améliorer la production nationale.
Vous activez dans quel secteur d’activités de la recherche ?
Je suis dans le domaine de la micro- électronique. Nous développons de nouvelles technologies qui sont de meilleure utilisation électronique. Il s’agit de tous les appareils qui se rapportent par exemple aux portables, téléviseurs et cameras. Nous sommes les acteurs de l’innovation de ces produits. Pour nous, il s’agit de travailler avec des chercheurs qui voient la nécessité de développer des produits nouveaux pour l’intérieur et l’extérieur.
Est-ce qu’il y a un projet dans ce sens avec l’Algérie ?
Je suis venu dans la perspective de trouver un moyen de développer une coopération avec les centres de recherches en Algérie.
Chose qui n’existe pas jusqu’à ce jour. Il s’agit donc d’aller, j’espère dans les meilleurs délais, vers un transfert de savoir-faire et de nouvelles technologies dans notre pays. J’ai des contacts avec certains chercheurs qui activent en Algérie dans les centres de recherche. Ce n’est qu’un début en Algérie.
Mais nous avons déjà appliqué nos technologies dans d’autres pays dans le monde. C’est le cas notamment du Maroc dont la compagnie électronique concernée va fabriquer des cameras à partir de l’année prochaine.
Est-ce que vous avez des contacts précis avec les centres algériens de recherche et développement ?
J’ai déjà établi des contacts avec CTDA et certaines universités. Mais c’est au pays d’exprimer son besoin en matière de nouvelles technologies comme l’a fait le Maroc qui a trouvé l’opportunité de la fabrication des caméras.
entretien réalisé par Meziane Atmani.
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