Tweet
Orange, en tant que filiale de téléphonie mobile de France Télécom, est à la recherche d'acquisitions pour se développer en Afrique, dans la région du Golfe et en Asie.
L'opérateur serait notamment intéressé par l'Algérie et le Vietnam.
Nous ne redirons jamais assez que l'opérateur historique France telecom tente – semble-t-il avec quelques résistances – d'imposer la marque Orange pourl'ensemble de ses produits et services fixes, mobiles et internet. Le message aurait quelques difficultés à passer du côté de la presse, laquelle persiste à "réduire" le champ d'activités d'Orange à la partie mobile. Pourtant l'opérateur historique est un des tous premiers annonceurs de France. Le budget de rebranding étant même un des plus important budgets publicitaires depuis l'invention de la publicité.
L'opérateur espère faire avancer cette année ses projets de développement au Vietnam, a déclaré vendredi son responsable pour les activités internationales, Olaf Swantee. Le vice-président exécutif d'Orange pour les affaires mondiales, estime "avoir une très bonne chance d'obtenir cette opportunité", le gouvernement communiste vietnamien ayant pour projet de privatiser environ 20% de MobiFone, le deuxième opérateur mobile du pays.
En août 2007, France Télécom a en effet d'ores et déjà révélé son intention d'entrer dans le capital de la société MobiFone, laquelle dispose de 8,5 millions d'abonnés et 35 % de parts de marché.
Cité par le journal financier Dau Tu, Didier Lombard, président de France Télécom, indiquait ainsi : " Nous espérons la participation la plus élevée possible. Le Vietnam est un marché avec un fort potentiel de croissance. En outre, quand nous recherchons un partenariat, nous entendons construire une relation durable avec une vision à long terme. "
Cette acquisition, qui se ferait notamment dans le but d'une entrée en bourse pour 2008, intéresse également les Britanniques British Telecommunications et Vodafone. Contrairement aux propos optimistes de Olaf Swantee, la bataille pourrait être rude pour Orange.
En ce qui concerne l'Algérie, même si Olaf Swantee reconnaît que "les progrès en Algérie ont été beaucoup plus lents que prévu", les perspectives pourraient se révéler « alléchantes » : au delà de la formidable croissance qu’il a connu ses dernières années, le marché algérien de la téléphonie mobile recèle encore d’importantes potentialités. C’est ce que révèle une étude du cabinet de conseils et d’analyses irlandais, Research and Market, publié récemment.
Selon les conclusion du rapport, le taux de pénétration de la téléphonie mobile connaîtra même une croissance notable en Algérie durant la période allant de 2007 à 2010. Il devrait passer, en effet, de 82.5% à 104.3%. Le parc global des usagers de la téléphonie mobile atteindrait ainsi les 36 millions en 2010, contre plus de 25 millions actuellement.
L’étude a estimé à 200% le taux du secteur de la téléphonie sans fil durant les 4 dernières années, avec un taux de pénétration de 65%.
Les analystes de Research and Market prédisent également une accélération dans le développement des télécommunications en Algérie, avec notamment l'attribution de licences mobiles 3G, le développement des réseaux à larges bandes (GPRS) et l'essor attendu de la téléphonie sur Internet (VoIP). A l’instar de l’Egypte, l'Algérie est déjà considérée, en effet, comme l'un des pays d'Afrique qui connaissent le plus important développement de la VoIP. A noter également que l'Algérie détient d'ores et déjà un vaste réseau de fibre national et international et un projet pilote FTTH (Fiber to the Home).
Selon Research and Market, comparativement aux autres pays du Maghreb, l’Algérie reste à la traîne, sur l’activité de la téléphonie fixe, où l’ouverture de ce segment a été un « échec ». Argument avancé par le bureau irlandais, pour appuyer sa thèse : la débâcle du deuxième opérateur, Lacom, face à une concurrence jugée « déloyale ».
Sources : AFP/ JDD/ Reuters/mobile***********
generation-nt.com /leblogfinance.
L'opérateur serait notamment intéressé par l'Algérie et le Vietnam.
Nous ne redirons jamais assez que l'opérateur historique France telecom tente – semble-t-il avec quelques résistances – d'imposer la marque Orange pourl'ensemble de ses produits et services fixes, mobiles et internet. Le message aurait quelques difficultés à passer du côté de la presse, laquelle persiste à "réduire" le champ d'activités d'Orange à la partie mobile. Pourtant l'opérateur historique est un des tous premiers annonceurs de France. Le budget de rebranding étant même un des plus important budgets publicitaires depuis l'invention de la publicité.
L'opérateur espère faire avancer cette année ses projets de développement au Vietnam, a déclaré vendredi son responsable pour les activités internationales, Olaf Swantee. Le vice-président exécutif d'Orange pour les affaires mondiales, estime "avoir une très bonne chance d'obtenir cette opportunité", le gouvernement communiste vietnamien ayant pour projet de privatiser environ 20% de MobiFone, le deuxième opérateur mobile du pays.
En août 2007, France Télécom a en effet d'ores et déjà révélé son intention d'entrer dans le capital de la société MobiFone, laquelle dispose de 8,5 millions d'abonnés et 35 % de parts de marché.
Cité par le journal financier Dau Tu, Didier Lombard, président de France Télécom, indiquait ainsi : " Nous espérons la participation la plus élevée possible. Le Vietnam est un marché avec un fort potentiel de croissance. En outre, quand nous recherchons un partenariat, nous entendons construire une relation durable avec une vision à long terme. "
Cette acquisition, qui se ferait notamment dans le but d'une entrée en bourse pour 2008, intéresse également les Britanniques British Telecommunications et Vodafone. Contrairement aux propos optimistes de Olaf Swantee, la bataille pourrait être rude pour Orange.
En ce qui concerne l'Algérie, même si Olaf Swantee reconnaît que "les progrès en Algérie ont été beaucoup plus lents que prévu", les perspectives pourraient se révéler « alléchantes » : au delà de la formidable croissance qu’il a connu ses dernières années, le marché algérien de la téléphonie mobile recèle encore d’importantes potentialités. C’est ce que révèle une étude du cabinet de conseils et d’analyses irlandais, Research and Market, publié récemment.
Selon les conclusion du rapport, le taux de pénétration de la téléphonie mobile connaîtra même une croissance notable en Algérie durant la période allant de 2007 à 2010. Il devrait passer, en effet, de 82.5% à 104.3%. Le parc global des usagers de la téléphonie mobile atteindrait ainsi les 36 millions en 2010, contre plus de 25 millions actuellement.
L’étude a estimé à 200% le taux du secteur de la téléphonie sans fil durant les 4 dernières années, avec un taux de pénétration de 65%.
Les analystes de Research and Market prédisent également une accélération dans le développement des télécommunications en Algérie, avec notamment l'attribution de licences mobiles 3G, le développement des réseaux à larges bandes (GPRS) et l'essor attendu de la téléphonie sur Internet (VoIP). A l’instar de l’Egypte, l'Algérie est déjà considérée, en effet, comme l'un des pays d'Afrique qui connaissent le plus important développement de la VoIP. A noter également que l'Algérie détient d'ores et déjà un vaste réseau de fibre national et international et un projet pilote FTTH (Fiber to the Home).
Selon Research and Market, comparativement aux autres pays du Maghreb, l’Algérie reste à la traîne, sur l’activité de la téléphonie fixe, où l’ouverture de ce segment a été un « échec ». Argument avancé par le bureau irlandais, pour appuyer sa thèse : la débâcle du deuxième opérateur, Lacom, face à une concurrence jugée « déloyale ».
Sources : AFP/ JDD/ Reuters/mobile***********
generation-nt.com /leblogfinance.