Arzew plongée dans la tristesse
C’est ici que s’arrête la vie !
Le bilan des corps de haragas, qui se sont noyés sur la côté d’Arzew à Oran s’est élevé, hier matin, à 11 corps après que les garde-côtes de la ville aient repêché, entre 8 heures et 10 heures du matin, les corps de trois autres jeunes dont l’âge ne dépasse pas 27 ans. Les dépouilles ont été transportées à la morgue de l’hôpital de Mehkan qui a accueilli avant-hier les corps de huit noyés.
Depuis les premières heures d’hier matin, la ville d’Arzew a été plongée dans la tristesse, lorsque de nombreux proches des haragas s’y sont déplacés, en provenance de la wilaya de Tiaret, comme l’a indiqué El Khabar dans son précédant numéro.
Au moment où les familles des victimes effectuaient les démarches pour recevoir les corps et les transporter vers leur lieu de naissance pour les enterrer, la découverte de la neuvième dépouille a été annoncée à huit heures du matin, peu de temps avant la dixième, et avant dix heures le onzième corps est apparu à la surface de la mer, sur un total de 16 corps.
Les habitants de Arzew, qui ont afflué vers la morgue de l’hôpital de Mehkan parce qu’ils ont été marqués par l’évènement, ont été attirés par l’image tragique des mères et des sœurs de ceux que les barques de la mort ont trahi, à leur tête une femme qui a perdu trois de ses frère en même temps.
Le village de Biban Mesbah accueillait hier matin ses visiteurs par le spectacle des tentes dressées devant les logements de quatre familles pauvres, dont les membres vivent de l’extraction de pierres à côte du village. Elles ont perdu huit enfants.
Quant à la famille Bouchedjra, elle a dressé une tente devant la porte bien qu’elle n’ait pas trouvé son fils Mohamed âgé de 24 ans, parmi les corps accueillis par l’hôpital Mehkan de Oran.
Un des habitants a attiré notre attention sur ce qu’écrivaient les jeunes de Biban Mesbah à l’entrée de leur village, et que la commune effaçait à chaque fois : « c’est ici que s’arrête la vie ».
C’est ici que s’arrête la vie !
Le bilan des corps de haragas, qui se sont noyés sur la côté d’Arzew à Oran s’est élevé, hier matin, à 11 corps après que les garde-côtes de la ville aient repêché, entre 8 heures et 10 heures du matin, les corps de trois autres jeunes dont l’âge ne dépasse pas 27 ans. Les dépouilles ont été transportées à la morgue de l’hôpital de Mehkan qui a accueilli avant-hier les corps de huit noyés.
Depuis les premières heures d’hier matin, la ville d’Arzew a été plongée dans la tristesse, lorsque de nombreux proches des haragas s’y sont déplacés, en provenance de la wilaya de Tiaret, comme l’a indiqué El Khabar dans son précédant numéro.
Au moment où les familles des victimes effectuaient les démarches pour recevoir les corps et les transporter vers leur lieu de naissance pour les enterrer, la découverte de la neuvième dépouille a été annoncée à huit heures du matin, peu de temps avant la dixième, et avant dix heures le onzième corps est apparu à la surface de la mer, sur un total de 16 corps.
Les habitants de Arzew, qui ont afflué vers la morgue de l’hôpital de Mehkan parce qu’ils ont été marqués par l’évènement, ont été attirés par l’image tragique des mères et des sœurs de ceux que les barques de la mort ont trahi, à leur tête une femme qui a perdu trois de ses frère en même temps.
Le village de Biban Mesbah accueillait hier matin ses visiteurs par le spectacle des tentes dressées devant les logements de quatre familles pauvres, dont les membres vivent de l’extraction de pierres à côte du village. Elles ont perdu huit enfants.
Quant à la famille Bouchedjra, elle a dressé une tente devant la porte bien qu’elle n’ait pas trouvé son fils Mohamed âgé de 24 ans, parmi les corps accueillis par l’hôpital Mehkan de Oran.
Un des habitants a attiré notre attention sur ce qu’écrivaient les jeunes de Biban Mesbah à l’entrée de leur village, et que la commune effaçait à chaque fois : « c’est ici que s’arrête la vie ».
Commentaire