Il s’agit d’un plan de dotation d’une brigade par commune pour venir à bout du déficit de présence évalué à plus de 50% à l’échelle de la wilaya. Désormais, les 67 communes seront toutes couvertes d’ici à la fin de l’année 2009.
Comme première phase de ce plan, l’institution envisage la construction de 17 brigades territoriales de Gendarmerie nationale, pendant que les 30 autres connaîtront la réalisation dans les prochains mois, en plus de pas moins de 6 brigades de sécurité routière.
Même si les statistique, chiffrées de la violence organisée et de la délinquence n’est pas à portée de main, l’évidence fait que Tizi-Ouzou est tristement détentrice de la palme d’or. Le diktat des forces du mal et des délinquants, devant la situation de non-Etat connue par la région, depuis les évènements du Printemps noir, fait le consensus général sur l’impérieuse nécessité de tirer la sonnette d’alarme par le niveau d’insécurité régnant.
La fréquence des actes de banditisme, rackets, squat des lieux publics, vol de véhicules, trafic de stupéfiantes, faux barrages, kidnappings, inquiète tous les citoyens, qui ne cessent de crier à l’abandon et à la non-assistance.
Les pouvoirs publics sont plus que jamais interpellés à se pencher sur ce volet et rétablir un tant soit peu l’ordre dans une région, phagocitée par la violence, le désinvestissement, le laisser-aller.
Il faut rappeler qu’à toute cette dégradation des conditions de vie de la population, exposée à des menaces au quotidien, se greffe la recrudescence de la violence terroriste, les deux fléaux s’alimentant mutuellement, contre la quiétude des citoyens. Pour rappel, depuis 2001, il a été procédé à la délocalisation de pas moins de 14 brigades de gendarmerie et là où elles sont maintenues, l’intervention relève du domaine presque de l’impossible. La détermination de l’Etat commence à se manifester pour faire, de l’année 2009, l’année de la sécurité à l’échelle de la wilaya.
Un programme de redéploiement des brigades de gendarmerie est cogité par les instances en charge de cette opération. Il s’agit d’un plan de dotation d’une brigade par commune pour venir à bout du déficit de évalué à plus de 50% à l’échelle de la wilaya.
Désormais, les 67 communes seront sécuritairement toutes couvertes d’ici à la fin de l’année 2009. Comme première phase de ce plan, l’institution envisage la construction de 17 brigades territoriales de Gendarmerie nationale, pendant que les 30 autres connaîtront la réalisation dans les prochaines mois ainsi que pas moins de 6 brigades de sécurité routière (B.S.R) seront mises en place pour prévenir la criminalité routière. Ce redéploiement, selon nos sources, assurera une couverture sécuritaire de tout le territoire de la wilaya.
Sur un autre registre, le ministre de l’Intérieur dispose d’un plan de charge, pour doter chaque daïra d’une surête et la création de surêtés urbaines et de brigades mobile (BMPJ) pour les grandes villes de la wilaya.
C’est depuis 2005 que ce programme est mis à exécution et prendra fin l’année 2009, où la wilaya de Tizi-Ouzou sera couverte entièrement. Les concepteurs de ce programme entendent agir pour faire baisser le taux de criminalité que connaît la région et, du coup, réhabiliter l’autorité de l’Etat dans la wilaya, condition sine qua non pour réussir toutes les relances à la faveur de la région.
La Dépeche de Kabylie
Comme première phase de ce plan, l’institution envisage la construction de 17 brigades territoriales de Gendarmerie nationale, pendant que les 30 autres connaîtront la réalisation dans les prochains mois, en plus de pas moins de 6 brigades de sécurité routière.
Même si les statistique, chiffrées de la violence organisée et de la délinquence n’est pas à portée de main, l’évidence fait que Tizi-Ouzou est tristement détentrice de la palme d’or. Le diktat des forces du mal et des délinquants, devant la situation de non-Etat connue par la région, depuis les évènements du Printemps noir, fait le consensus général sur l’impérieuse nécessité de tirer la sonnette d’alarme par le niveau d’insécurité régnant.
La fréquence des actes de banditisme, rackets, squat des lieux publics, vol de véhicules, trafic de stupéfiantes, faux barrages, kidnappings, inquiète tous les citoyens, qui ne cessent de crier à l’abandon et à la non-assistance.
Les pouvoirs publics sont plus que jamais interpellés à se pencher sur ce volet et rétablir un tant soit peu l’ordre dans une région, phagocitée par la violence, le désinvestissement, le laisser-aller.
Il faut rappeler qu’à toute cette dégradation des conditions de vie de la population, exposée à des menaces au quotidien, se greffe la recrudescence de la violence terroriste, les deux fléaux s’alimentant mutuellement, contre la quiétude des citoyens. Pour rappel, depuis 2001, il a été procédé à la délocalisation de pas moins de 14 brigades de gendarmerie et là où elles sont maintenues, l’intervention relève du domaine presque de l’impossible. La détermination de l’Etat commence à se manifester pour faire, de l’année 2009, l’année de la sécurité à l’échelle de la wilaya.
Un programme de redéploiement des brigades de gendarmerie est cogité par les instances en charge de cette opération. Il s’agit d’un plan de dotation d’une brigade par commune pour venir à bout du déficit de évalué à plus de 50% à l’échelle de la wilaya.
Désormais, les 67 communes seront sécuritairement toutes couvertes d’ici à la fin de l’année 2009. Comme première phase de ce plan, l’institution envisage la construction de 17 brigades territoriales de Gendarmerie nationale, pendant que les 30 autres connaîtront la réalisation dans les prochaines mois ainsi que pas moins de 6 brigades de sécurité routière (B.S.R) seront mises en place pour prévenir la criminalité routière. Ce redéploiement, selon nos sources, assurera une couverture sécuritaire de tout le territoire de la wilaya.
Sur un autre registre, le ministre de l’Intérieur dispose d’un plan de charge, pour doter chaque daïra d’une surête et la création de surêtés urbaines et de brigades mobile (BMPJ) pour les grandes villes de la wilaya.
C’est depuis 2005 que ce programme est mis à exécution et prendra fin l’année 2009, où la wilaya de Tizi-Ouzou sera couverte entièrement. Les concepteurs de ce programme entendent agir pour faire baisser le taux de criminalité que connaît la région et, du coup, réhabiliter l’autorité de l’Etat dans la wilaya, condition sine qua non pour réussir toutes les relances à la faveur de la région.
La Dépeche de Kabylie
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