Elles ont grandi...

[Zacmako]

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Désolé,
les charognards des mots, adéptes du plagiat, m'ont poussé à retirer mes textes.

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[momo.05]

et tu recommenceras avec leurs enfants.........

ce sera Papi Zac!ca sera aussi fort,aussi beau,aussi bien............tu verras!

[Anitakan]

Zacmako magnifique tableau que tu dresses là de l'amour inconditionnel qui unit un père à ses filles.

L'amour de tes filles tu ne le perdra jamais, elles continueront à te combler de bonheur à t'entourer de tendresse, à chaque étape de leur vie, et tu seras toujours leur héro, le premier homme de leur vies et de loin le plus parfait.

Même loin de toi tu peut être certain que leur amour pour toi ne fera que grandir, rien ne vous séparera, que dieu vous garde les uns pour les autres.

Merci d'avoir partagé avec nous ton poème.

[morjane]

Bonjour,

Ah! zac, je crois que ce moment est le plus redouté de tout parent.
Puissent tes deux colombes continuer à t'apporter à chaque instant du bonheur et réciproquement.

Merci pour ce tendre hommage.

[nhadira]

oui vraiment sublime hommage d'un papa à ses filles et triste aussi .

[renaissance]

tres beau zac merci de partager avec nous c sublimes rimes ,j'espere que t filles te rendrons encore plus heureux malgrés leurs ages

[absente]

ils ont grandi ... oui ...
mais si tu continues à bien les regarder ... vois tu cette petite fossette là .. quand le sourire s'esquisse ?
c'est toujours la même ...
et cette façon de te tenir la main ...
cette voix qui t'appelle par ce nom si doux que toi seul possède ...toujours la même ..

ils partent ..
la maison se vide ...
le coeur se creuse ...
la vie change ...mais il reste de l'immuable ...
.. ils reviennent autre et si pareil !!

de l'or à l'état pur ...

[Wacila]

bonjour

sublime poéme, ce moment là reste une grande douleur a travers leurs bonheur, on reste nostalgique a tout ces moments passé dans la maison parental, des moments qu'on ne vivra plus jamais

[Zacmako]

Merci à vous tous d’avoir apprécié, surtout les filles qui peuvent plus ou moins se reconnaitre dans ce texte.
Lugana, ton message est passé. C'est un peu l'expérience qui parle, non?

Momo

et tu recommenceras avec leurs enfants.........
ce sera Papi Zac…

Toujours aussi imprenable notre sacrée momo. Papi ZAc… quelle idée !
Elle aura le temps d’avoir le tournis à force de tourner, notre terre, pour que je sois papi.
Sacrée Momo, va !

[momo.05]

coucou papi zac!

[samya55]

elles ont grandis

bien sur !!!! oui ça fait mal mais d'autres joies t'attendent!

[sonja]

Quelle poésie ! C'est une vraie merveilleuse du style, et du sentiment.
Des mots qui touchent, comme à ton habitude
Des pensées douces et généreuses
Merci de continuer de partager
Pensées amicales
Sonia

[sonja]

C'est une vraie merveille de style !

[Mirages]

j'ai deja lu ton joli poeme ZAC, et un plaisir de le relire,
mais je ne sais comment je ne t'ai pas remercié deja....

oui les enfants s'envolent comme les oiseaux.....dès que leurs ails peuvent les portés.... c'est la joie et la tristesse mêlés dan les coeurs des parents....
Merci ZAC

[Châma]

Plus que magnifique!!! Merci d'avoir partagé...

Elles ont grandi les petites fées que dans tes bras tu as bercées.
Leurs doux minois ont attrapé un air du temps qui a passé.
Que de regrets pour un père se souvenant de leur jeune âge,
Et de ces doux instants qui n'étaient, malgré lui que furtif passage.

Elles ont grandi, oui c'est bien vrai. Elles ont changés de perspectives.
Elles ont franchi plusieurs passerelles pour se trouver sur l'autre rive.
Dans leurs yeux se reflettent des rêves, de belles promesses d'avenir
Autant de visions des grandes choses qu'elles vont forcément accomplir.

Des demoiselles fort accomplies, qui vont s'envoler vers la vie.
Avec dans leurs bagages la fierté d'avoir eu un père tant chéri
Qui les a nourries de sagesses, les a aimées commes des déesses
Leur permettant de se bâtir solides comme des forteresses.


Elles vont partir, oui...pour mieux revenir!
Et dans tes vieux jours,
Elles seront toujours,
Tes zéphirs, tes reines,
Tes amours, ta veine,
Celles qui caresseront tes cheveux blancs
Chuchottant "Je t'aime papa" dans le silence du vent.

A un père comme il en existe peu et dont les filles savent qu'elles ont de la chance